Platon Les Hommes Doivent Nécessairement Etablir Des Lois

Explication de texte Protagoras, Platon : mythe de l'origine et de la fonction du politique. Introduction : Le Protagoras (ou Les Sophistes) est un dialogue de Platon. Protagoras, originaire de la cité d’Abdère, était un sophiste particulièrement réputé. Ses longs voyages à travers la Grèce, la Sicile et l'Italie lui permirent de dispenser son immense savoir à qui voulait en bénéficier, ce qui le rendit très riche. On trouve une première fois le mythe de Prométhée dans la Théogonie d'Hésiode

démocratie Introduction Le mot démocratie vient du Grec ancien démokratia « souveraineté du peuple ». Il désigne un ensemble de principes philosophiques et politiques suivant lequel un groupe social organise son fonctionnement à travers des lois, des règles qui permettent l’égalité des membres de cette société. Aujourd’hui, la démocratie est devenue un système politique, et non plus un régime, dans lequel la souveraineté est attribuée au peuple. Il ne faut pas confondre la démocratie avec

individus, pour la satisfaction de leur intérêt égoïste seront conduits à faire l'effort de travailler et de développer leurs talents et leur raison active, c'est à dire à sortir ou à s'arracher de l'état primitif hypothétique où les hommes n'étaient pas encore vraiment des hommes raisonnables, mais sans plus de valeur que des animaux domestiques, c'est à dire du bétail, instruments et moyens pour les autres, plus forts ou plus chanceux. Il y aurait là en effet, selon Kant, une contradiction au coeur de

celui-ci représente une condition nécessaire (mais non-suffisante) à la réalisation d'une cité juste. La nécessité d'une bonne éducation, dès l'enfance, provient du fait qu'elle est essentielle pour équilibrer l'âme de l'individu. Or, on sait que, pour Platon, la justice dans la cité est concomitante à celle au sein de l'individu. On sait aussi que l'âme est divisé en trois parties: la partie rationelle (logos), la partie dynamique et vive (thumos) et la partie désirante (epithumia). De plus, chaque classe

Aujourd’hui, tout comme à l’époque de Socrate et de Platon, nombreux sont les philosophes (ou les politiques) qui soutiennent que la « justice universelle » est une fiction, et que son évocation n’est en vérité qu’un alibi destiné à justifier de nouvelles formes d’ingérence de l’Occident dans les affaires des autres nations. A l’époque de Socrate, ce sont les sophistes qui ont décrété les premiers que « l’homme est la mesure de toute chose » (Protagoras) et que, par conséquent, le bien, la justice

politique ? C’est à partir de cette analyse de l’homme à partir de nature que Hobbes cherche à répondre à la question. Hobbes nous explique que l’homme a un instinct de survie. Or il ne faut pas oublier que l’état de nature n’a pas de lois ni de règles. Donc les hommes sont dans un affrontement constant car au fond le désir de se conserver c’est ce qui va déterminer chacun à s’approprier tout ce qu’il juge utile à cette conservation de soi. Tous les coups sont permis : la loi de la jungle, la loi du

déterminations: généraliser, analyser (séparer, décomposer), et construire. C'est une activité hautement symbolique (qui passe par la manipulation de symboles) dont l'exemple par excellence est la pensée mathématique. L'abstraction n'est pas nécessairement un appauvrissement. Les classiques considéraient que plus on généralisait, moins on connaissait les propriétés de l'objet : l'extension du concept (l'ensemble des objets auquel il s'appliquait) s'étendait; sa compréhension (l'ensemble des caractéristiques

auteurs ce sont interrogés sur ce sujet. Si nous analysons la théorie de Platon, nous pouvons comprendre une autre représentation du tout. Chez Platon, l’idée est première, c’est une forme intelligible qui n’existe que dans les choses, nous pouvons la voir. L’idée est pour l’être elle-même, et elle est un élément essentiel du tout. Donc elle n’est pas représentation, or il faut établir une distinction entre les deux lieux que Platon met en évidence dans la République. L’exemple de la ligne nous permet

exact, que la position de É.Weil représente celle de Platon; É.Weil se réfère du reste explicitement au cas de Socrate, et certaines de ses affirmations peuvent être lues comme renvoyant au comportement que Socrate dans l’Apologie dit avoir adopté en certaines circonstances. Cette assimilation du point de vue de É.Weil à celui de Platon n’est donc pas tout à fait arbitraire. Ce détour par É.Weil ne signifie donc pas qu’on s’éloigne de Platon et du dialogue du Criton. Le problème est de savoir

régime politique lié à l’ethos de la Cité, mais sans lui ôter une dimension polémique typique des débats d’idées chez les anciens Grecs. En effet, des politeiai idéales se sont multipliées chez les théoriciens grecs : les modérés ou conservateurs, tel Platon, ont pour but de diminuer la licence populaire ; d’autres au contraire, tel Démosthène, veulent lutter contre la tyrannie et l’autorité personnelle. Mais au-delà de cette dimension strictement politique et polémique, Aristote fait de la Constitution