Platon Les Lois Livre I

nécessité par le déploiement de la politique démocratique européenne. □ Les chefs d’Etats devraient délibérer entre eux à propos de la gestion de leur Etat. Aucun Etat ne devrait se sentir une grande puissance afin que chaque pays puisse accepter des lois votées par la majorité. □ Post-national, pas supranational : Etat européen au dessus des autres (Etats Unis d’Europe). Post national domine pas car décision prise par l’ensemble des Etats. I1. EXPLICATION DU STATUT INITIAL DES DROITS DE L’HOMME

Strauss, « Sur la République de Platon », La cité et l’homme, Paris, LGF, 1987. Textes du recueil Héraclite, Fragments. Charles de Gaulle, Discours des 18 et 19 juin 1940. Lectures complémentaires Albert Camus, « La libération de Paris » in Actuelles, Ecrits politiques, Paris, Gallimard, 1950, p. 18-23. Quentin Skinner, « Préface » in Les fondements de la pensée politique moderne, Paris, Albin Michel, 2001, p. 7-14. Séance n° 3 : De la cité des philosophes-rois chez Platon à l’égalisation des conditions

parfaitement fictif mais présenté dans le livre I comme compagnon de voyage du grand navigateur florentin, Amerigo Vespucci. On sait, grâce à des allusions très claires à la gestation de l’œuvre dans la correspondance d’Erasme, que le second livre a été composé le premier, au terme d’un long travail préparatoire comprenant lectures, prises de notes, entretiens avec d’autres humanistes, et en en particulier Érasme, tandis que ce qui apparaît désormais comme le livre I de l’Utopie a en fait été rédigé en

au terme général, on la définit comme la société des citoyens organisés par des règles, des lois et une gouverne politique. Par rapports aux anciens grecs, la société civile (societas civilis) est l’équivalent de “polis, de la cité, de la communauté politique et de l’Etat” et qui est un lieu de “bien commun” chez Aristote et celui d’hierarchie ou le roi-philosophe regne sur les autres classes chez Platon. Puis on voit l’apparition d’une nouvelle conception de la société civile avec un contrat social

de Socrate, et les charges retenues contre lui. Puis dans une seconde partie, il sera question du procès et de la mort de Socrate. Puis dans une dernière partie, nous nous intéresserons à la postériorité de la figure de Socrate et de son procès. I. Les accusateurs et les charges A. Les accusateurs Socrate est accusé par trois de ses contemporains auprès de l'archonte-roi, le magistrat qui était en charge de toutes les affaires de caractère religieux. Il s'agit de Mélétos, Anyos et Lycon

Platon (en grec ancien Πλάτων / Plátôn), Athènes, 424–423 av. J.-C., 348–347 av. J.-C.1, est un philosophe grec, contemporain de la démocratie athénienne et des sophistes, qu'il critiqua vigoureusement. Il reprit le travail philosophique de certains de ses prédécesseurs, notamment Socrate, Parménide, Héraclite et Pythagore, afin d'élaborer sa propre pensée qui explore la plupart des champs importants, notamment la métaphysique, l'éthique, l'esthétique et la politique. Son œuvre, composée presque

carrière fulgurante, à 19 ans avec trois camarades il va racheter un gd journal juridique, qui récence et commente les décisions des juges. Puis à 21 ans il devient rédacteur en chef. A 22 ans il continue de diriger le journal et devient également avocat. I/ La culture du droit BUT : se familiariser avec le droit Quelle est la culture de base d’un juriste ? Dans un univers il y a des fonctions des métiers qui font partis et forme le corps du droit a) Les professions du droit : Le droit repose sur des

VERDEZ Licence Pluri Marina HISTOIRE GRECQUE PLATON Année scolaire 2010-2011 MR CORVISIER 1/14 SOMMAIRE I° UNE VIE PHILOSOPHIQUE 1) Sa naissance 2) Sa rencontre avec Socrate 3) Ses voyages II° LES DIALOGUE PLATONICIEN 1) Période de jeunesse 2) Période de transition 3) Période de maturité III° LES APPORTS CONCEPTUELS 1) La théorie des idées 2) Le bien 3) L'opinion 4) La justice et politique 5) La vertu 6) REMINICENCE ET CONNAISSANCE 7) La dialectique 8) L'éducation IV° L'ACADEMIE

l’est pas (// tribunal, lois, assemblée ayant le pouvoir sur le juste par ce qu’elle décrète). Cependant, la justice ne semble pas être déterminée d’avance, et cela ouvre la possibilité d’un usage injuste de la rhétorique. Cicéron considère que personne n’a parlé contre la rhétorique avec plus d’art oratoire et d’éloquence que Platon (cf Aristote, La Rhétorique, où il considère que même sans le savoir nous faisons tous de la dialectique et de la rhétorique). Platon fait d’ailleurs la distinction

La République de Platon La République (en grec : Περὶ πολιτείας / Perì politeías, « de la constitution » ou simplement Πολιτεία politeía, « la constitution »), aussi nommée La Politie dans les milieux philosophiques, est un dialogue de Platon portant principalement sur la justice dans l'individu et dans la Cité. Il s'agit de l'ouvrage le plus connu et le plus célèbre de Platon en raison, entre autres, du modèle de vie communautaire exposé et de la théorie des Idées que Platon y défend. Histoire