Platon Menon Réminiscence

déduire d’autres vérités. • La réminiscence (Platon) Les idées sont innées, inscrites dans notre âme qui les auraient déjà vues lors de son existence séparées du corps. Les dialogues et les raisonnements visent à éliminer les opinions en les confrontant et en montrant leur contradiction. La maïeutique permet de saisir la vérité qui est en soi. Lorsque l’on découvre cette vérité, elle n’a plus besoin d’être prouvée. Socrate montre dans le dialogue Ménon que l’esclave possède en lui une vérité

-399), considéré comme l’un des inventeurs de la philosophie morale et politique. Il n’a cependant laissé aucune œuvre écrite ; sa philosophie s’est transmise par l’intermédiaire de témoignages indirects (en particulier par les écrits de ses disciples Platon et Xénophon). Biographie Éléments biographiques Socrate naquit en 469 av. J.-C. (troisième année de la 77e olympiade), à la fin des guerres médiques, sans doute au mois de mai (6 du mois thargélion), près d’Athènes, dans le dème d’Alopèce, dème

cohérentes d’une réalité qui ne va jamais de soi. La vérité est une construction, une « fiction » efficace, plausible, et non pas le simple duplicata de la réalité. Les critères de la vérité On ne sait donc pas définir simplement la vérité. Platon observe dans le Ménon que si l’on savait ce qu’est la vérité, on n’aurait pas besoin de la rechercher, or cette recherche définit la philosophie. A défaut de pouvoir définir strictement la vérité, on se concentrera donc plutôt sur la question de ses critères :

meurt injustement aussi.[1] », n’énonce-t-elle pas une série de transgressions pour la société grecque que commit le maître de Platon, pour finir sur la conséquence qu’elle lui a attribuée? L’Antigone de Sophocle, Jésus sur la croix, Gandhi en Inde, Nelson Mandela pour les Noirs aux États-Unis, voilà quelques-unes des personnes exemplaires qui, à la suite du maître de Platon, ont inspiré les hommes et les femmes de ce monde à voir au-delà de ce que l’on leur dit, imposer, fait croire que ce même monde

fait que la chose est ce qu'elle est. Existe-il un createur du monde pour les choses que l'homme n ont pas concut comme par exmeple un arbre ? Nous ne savons ce qui fait qu'un arbre soit un arbre, nous ne connaissons pas l'essence des choses. Platon ne resout pas dans cette piece majeur ce probleme. Nous ne savons pas ce qui fait qe les choses sont ce qu'elle sont dans le monde (non elabores par l'homme). Pour qu'il y ai un ordre , il faut qu'il y ai quelque chose de rationnel tel qu'un concept

LUI  Je  le  crois, oui. Tout  à  l’heure, je  vous  donnais  du  latin.  Hé  bien,  à  présent, mademoiselle,  notez  qu’en grec,  corps  se  dit  sôma,  tandis que  tombeau se  dit  sêma. Sans commentaires :  notez  la  proximité. Alors, oui, comme Platon, j’aspire à être libéré par la mort, à m’envoler,  là bas…Loin.    ELLE  (rassurante)  Vous  êtes  encore vert,  cher Monsieur,  et  je pense  que  votre voyage  n’est pas  pour bientôt.    LUI  (bas) Je suis vert, mais le tronc est pourri. Et puis

informatique, etc. Descartes : le doute hyperbolique et l’hypothèse d’un malin génie qui me tromperait en toute chose. La tradition philosophique occidentale a retenu, comme point de départ de cette interrogation, le début du livre VII de la République de Platon, où se trouve l’allégorie de la caverne : voir cours de Mme Angot. Autres exemples : le film Matrix : nous pourrions n’être que des cerveaux dans une cuve ; le film eXistenZ de David Cronenberg : le monde pourrait n’être qu’une sorte de grand jeu

d’introduction démesurément longue, pas de « moignon » de conclusion). Importance de la syntaxe, de l’orthographe, de la ponctuation… Cesser de mettre des majuscules partout ! (le terme « idée » doit être mis avec une majuscule seulement quand on se réfère à Platon Par ailleurs, éviter les points d’exclamation… Pauvreté du lexique… Eviter les barbarismes « Un peu d’amour de la langue mon Dieu ! » Chaque terme introduit a une valeur philosophique… Il faut savoir retrouver les mots de base, aux champs sémantiques

LE BANQUET Tous les Dialogues de Platon dans la même collection ALCIBIADE, traduction de Chantal Marbœuf et Jean-François Pradeau. APOLOGIE DE SOCRATE, CRITON, traduction de Luc Brisson. LE BANQUET, traduction de Luc Brisson. CHARMIDE. LYSIS, traduction de Louis-André Dorion. CRATYLE, traduction de Catherine Dalimier. EUTHYDÈME, traduction de Monique Canto-Sperber. GORGIAS, traduction de Monique Canto-Sperber. HIPPIAS MAJEUR, HIPPIAS MINEUR, traductions de Francesco Fronterotta

que représente pour elle la tâche de penser l’originaire qu’elle ne peut cerner à partir de lui-même, mais seulement en partant de ce qui suit et qu’il engendre. Elle aurait pour mission de remonter vers l’originaire et ce, de diverses manières (réminiscence, dialectique, intuition, révélation, …). Mais quelle que soit la façon dont on aborde l’originaire, il fait question. 2. La question du point de départ et sa résolution. Pour répondre à la question du point de départ, il faut