Platon Théorie D Un état Idéal

siècle Moyen Age : à partir du 12ème siècle, il y a une longue période de paix. Il y a une renaissance économique avec le commerce qui va bien fonctionner. On découvre les sources du droit romain, naissance des premières universités. Ancien régime : état fort qui va se constituer, le régime politique est la monarchie en France qui va devenir la monarchie absolue. La société est plutôt limitée. Elle ne peut pas intervenir en politique. Première partie : Les institutions de l’antiquité. Section 1 :

* Etre conscient = le fait de ne pas être endormi ou de ne pas tomber « sans connaissance » * Un état qui peut être modifié par la prise de drogues ou par des troubles mentaux comme la dépression, l’anxiété généralisée, etc. * Avoir conscience de quelque chose * le fait de porter attention à un stimulus externe particulier, comme à un obstacle qui se dresse devant nous, ou à un état mental comme un souvenir, une émotion, etc. * notre capacité à nous diagnostiquer des intentions

est libérale (…) La science politique devrait pouvoir séparer les éléments objectifs de ceux qui ne le sont pas. » Elle doit connaître et présenter les conceptions. Comportements politiques qui soient alimentés par plusieurs sources, points de vue. Platon Protagoras dans ses dialogues, met en parallèle la démocratie où il y a de l’amateurisme car tous ne sont pas compétents. Il n’y a pas de choix fait que par des gens compétents. Sur les votants, combien se prononcent en connaissance de cause ? Quels

la politique ne relève pas seulement de l’action mais aussi de la réflexion. La réflexion des philosophes grecs porte avant tout sur la question du meilleur régime : aristocratique, monarchique ou démocratique. Au début du IVème siècle avant J.C., Platon a une démarche idéaliste. Il cherche à définir le meilleur régime dans l’abstrait. Il dit comment les choses devraient être. Son élève Aristote, une génération plus tard, dans les années 340/320 avant J.C. a une démarche beaucoup plus empirique. Il

réaliser soit il l'est en fonction des sources qui en compose la substance, que celle si soit formelle ou réelle. I- le droit comme idéal de justice Sous l'influence de la philosophie grecque, les romains présentaient le droit comme l'art du bien et du juste. Ils prenais dont en considération la finalité du droit, dans leur esprit celui ci s'identifie à un idéal de justice et d'équité. Les juristes consulte romain, ne se préoccupe pas par conséquent de la nature du droit, ils n'apportent en

TRAVAIL Bellatores (guerriers) Orantes (ceux qui prient, le clergé) Laborantes (ceux qui travaillent) Activité à forte contrainte ( chez les bourgeois = source d’enrichissement. RENAISSANCE Milieu XVème siècle-fin XVIème siècle Retour à un idéal classique de culture, , tout en apportant une idée nouvelle : la dignité particulière de l’homme est fondée sur ses aptitudes créatrices qui contient des possibilités de changement et de renouvellement infinies face à l’immuabilité et à la finitude

dans la collection du Belvédère dans les années 1530. Devient très connue. Elle suscite un intérêt différent des deux précédentes qui ont de suite bcp plu au public car belle d’un point de vue esthétique. Le torse du Belvédère est retrouvé dans un état fragmentaire et n’a pas été restaurée. Elle ne suscite pas d’admiration esthétique. Fascine beaucoup les artistes pas les collectionneurs (Michel Ange, imitation dans le Jugement dernier de la chapelle Sixtine / Dessin du torse, Rubens) Œuvre que les

déclare également « sociologue marxiste » et tente de montrer qu’il est possible d’intégrer l’étude des théories marxistes dans le programme académique. Tout comme Marx, son ambition consiste à critiquer le présent pour une visée libératrice et à identifier les différentes formes d’aliénation. Mais son analyse de l’espace public dans une perspective de libération, doit être nettement séparée d’une théorie de la révolution prolétarienne. Il n’envisage pas comme Marx une révolution qui aboutirait à une abolition

désir de vie 3. Approche phylogénétique (Darwin) 4. Conséquences existentielles (Schopenhauer) 5. Le désir de conservation (Spinoza) 6. La volonté de puissance (Nietzsche) 7. Le désir d'éternité (Platon) C. Le désir de mort 8. La structure kamikaze du désir 9. L'agressivité introjectée (Nietzsche) 10. La nature conservatrice des pulsions (Freud) 11. Le plaisir de se perdre D. L'indétermination

refusant qu’elle soit discutée ou examinée. Le dogmatisme est la prétention à détenir la vérité doublée de l’affirmation doctorale et catégorique d’une opinion, d’une conception, sans admettre la critique. Doute : Du latin, dubitare, hésiter, douter. Etat d’incertitude de l’esprit qui, suspendant de façon involontaire ou volontaire son jugement, refuse d’affirmer ou de nier un fait ou une idée. Le doute ordinaire est involontaire et communément perçu comme négatif, alors que le doute radical, pour Descartes