Plaute Et Molière

évènements de la vie de tous les jours et détournent certains aspects de manière grotesque pour faire rire le lecteur ou le spectateur. La comédie de l'antiquité a influencé la plupart des dramaturges de la renaissance, comme La marmite de Plaute dont Molière s'inspirera quelques siècles plus tard pour écrire L'Avare. Ces deux pièces mettent en scène une image récurrente de la comédie : Le père avare qui ne pense qu'à son argent, le valet malin et rusé qui se joue de celui-ci et les deux amoureux

l'inspiration premières des auteurs contemporains. Bertold Brecht et Sophocle se sont inspirées d'Antigone. Anouilh s'en est également inspiré pour en faire une figure de la résistance en 1944. Parmi les mythes on retrouve Don Juan le séducteur, repris par molière en 1665. ou encore Faust, (un professeur qui passe un pacte avec le Diable pour retrouver sa jeunesse), il vient des contes par Johan Spies il inspire ensuite Goethe ou encore Jean Giano. Les mythes sont souvent issu d'une tradition orale. Ces mythes

chez Corneille se déchirent tandis que chez Racine ils sont irrémédiablement vaincus) ; - comédie antique (Aristophane, Ménandre, Plaute, Térence); - farce médiévale (quiproquo, comique de gestes. Commedia dell'arte)) - comédie classique (respecte les règles du théâtre classique tout en critiquant la société ; toutes les formes de comique sont utilisées. Molière) ; - comédie sentimentale (stratagèmes, déguisements, etc... ; Marivaux.) - comédie d'intrigue (dimension satirique, contestataire

demanderons en quoi ni l’avare ni le prodigue ne savent et ne peuvent savoir le prix de l’argent qui n’est rien d’autres pour eux et pour les autres que la place de chacun dans la vie sociale. Pour cela nous nous appuierons notamment sur la comédie de Molière, L’Avare, sur le roman d’Émile Zola, L’Argent et sur les sections I et II du chapitre trois de la partie analytique de la Philosophie de l’argent de Georges Simmel. L’argent sert à l’échange, c’est un simple moyen d’échange dont l’objet est

universel et le considère comme un frein au progrès artistique. Ceci donnera lieu à la querelle des Anciens et des Modernes à la fin du XVIIème et début du XVIIIème siècles. Les fables de La Fontaine sont inspirées de celles d’Esope et de Phèdre ; Molière, de Plaute, Racine et d’Euripide. On retrouve dans « Les Caractères » de La Bruyère, des traits de ressemblance frappants avec ceux de Théophraste. 3.- Quelles sont les valeurs du Classicisme? Le Classicisme, outre l’idéal de perfection qu’il reconnaît

Devoir Maison de Français Corpus : • TEXTE A Aristophane, Les Grenouilles (405 av. J.C) • TEXTE B Molière, Dom Juan acte V scène 5 et 6 (1665) • TEXTE C, V. Hugo, Hernani, acte II scène 2 v. 520-544 (1830) Question Texte A Pour cet extrait de Les Grenouilles d’Aristophane, j’imaginerai une mise en scène totalement opposé à l’époque, y compris le langage, Dionysos aurait un langage assez grossier. La scène débute avec Charon au centre de la scène, Dionysos entrerait

ne l’a pas empêché d’avoir du succès auprès du peuple. Molière est également un auteur classique, sa pièce « le malade imaginaire » respect la règle de bienséance qui permet de préserver la morale, la règle de la vraisemblance qui assure la cohérence et la règles d’unités assurent la concentration de l’attention

d'une œuvre déjà existante. Ce n'est pas une copie, mais une transformation. On s'inspire d'un écrit que l'on prend pour modèle et on cherche à imiter ou à s'écarter de l'œuvre de départ en gardant son propre style. Les grands écrivains, tels que Molière, parlaient d'hommage aux auteurs classiques. La réécriture s'est vue illustrée de manière diverses et variées. - La citation Comme son nom l'indique, la citation est un emprunt direct à l'œuvre d'un autre auteur. On le cite afin d'étayer son

influencent la production artistique qui s'inspire des œuvres antiques. Les Mécènes a la renaissance, très friands d’art, financent les artistes. Le théâtre antique renaissant permet de redécouvrir les textes de Vitrure (1er siècle avant Jésus-Christ), de Plaute (254-184 avant Jésus-Christ) ou d'Aristote. Le théâtre de la Renaissance différencie la tragédie de la comédie. Ce théâtre tiré de la satire de la vie contemporaine des italiens a la renaissance (thème de l’adultère) est appelé aujourd’hui théâtre

gentilhomme est remis en scène. C’est pour les collégiens auxquels on fait étudier la pièce, me dira-t-on, ces pauvres collégiens à qui l’on explique que monsieur Jourdain est un bourgeois ridicule qui veut imiter la noblesse et que la "morale" de Molière (et oui, on en est souvent encore là) est là pour nous rappeler qu’il faut garder son rang. L’expérience du collège est éprouvantable ; mais tout le monde est passé par là et en a de vagues souvenirs. Ils sont vagues, tant mieux. La divine surprise