Plaute

par Molière (Jean-Baptiste Poquelin, 1622-1673). Composée de cinq actes en prose, elle est représentée pour la première fois au Théâtre du Palais-Royal le 9 septembre 1668 et publiée à Paris en 1669 chez Jean Ribou. Molière s’est beaucoup inspiré de Plaute et de sa pièce La Marmite (l’Aulularia). Malgré l’immense notoriété de cette pièce, il est important de rappeler que son succès n’a eu lieu qu’à titre posthume. I- RESUME DE LA PIECE Acte I (Scène 1) Valère est un gentilhomme napolitain

maitrise dans le jeu tragique et son rôle socio politique et moral. Pour mettre en évidence l'origine du valet, il faut d’abord mentionner qu’il était déjà présent dans les pièces de théâtre des l'Antiquité, notamment dans les comédies de Plaute (250 '' 180av. J.C.), personnage plus tard repris par la commedia dell'arte et les comédiens italiens au XVIème siècle. Le valet se rattache un peu aux bouffons et est vantard. On le retrouve dans la commedia dell’arte notamment avec Arlequin, personnage

fabyanaa.chez.com/Cours_theatre.doc Il se déroulait dans la journée, au soleil (A Rome, toujours le matin). .... Et quant aux autres auteurs (des dizaines), il n'en reste que des fragments. ... Amphitryon (-214) : Sans imiter personne, semble-t-il, Plaute a créé là un grand thème théâtral ... Maître de Calderon et de Shakespeare, il influence Corneille et Racine. Dissertation sur l'illusion théâtrale - Le bac de français pour ... pourremplacerbarbereau.e-monsite.com/.../dissertation-sur-l-illusion-thea

par Molière (Jean-Baptiste Poquelin, 1622-1673). Composée de cinq actes en prose, elle est représentée pour la première fois au Théâtre du Palais-Royal le 9 septembre 1668 et publiée à Paris en 1669 chez Jean Ribou. Molière s'est beaucoup inspiré de Plaute et de sa pièce La Marmite (l'Aulularia). Malgré l'immense notoriété de cette pièce, il est important de rappeler que son succès n'a eu lieu qu'à titre posthume Personnages : -Harpagon, père de Cléante et d’Elise, et amoureux de Mariane -Mariane

Navarre) auxquels il reviendra de loin en loin (Le Festin de pierre en 1665, publié après sa mort sous le nom de Dom Juan, puis Les Fourberies de Scapin en 1671), il se tournera seulement à deux reprises la même année (1668) vers le théâtre latin de Plaute (L'Avare et Amphitryon). Pour le reste, il construit des intrigues originales en combinant divers schémas narratifs puisés ici et là, notamment dans le Décaméron de Boccace, les nouvelles de Straparole ou de Scarron et les fabliaux… Cette conception

chargent le grec Andronikos de donner les premiers ludi scaenici (jeux scéniques) et lui demandent de traduire en latin des pièces de théâtre grecques, faisant ainsi naître officiellement le théâtre romain. Ensuite seulement, différents auteurs comme Plaute, Térence et Sénèque écriront des pièces originales mais fortement inspirées des mythes et des pièces grecques. Au départ, les nobles romains ne veulent pas d'un théâtre dans Rome car ils pensent que le peuple utilisera les édifices pour des débats

les masques par des personnages de son temps : comme le petit marquis, les précieuses du salon, les grands seigneurs et leurs valets, les bourgeois, les médecins et les savants. De la Comédie classique Molière il prend : L'intérêt pour l'intrigue (Plaute) L’intérêt pour l'analyse psychologique (Térence) le comique plus intellectuel qui mêle l'inquiétude à la gaieté L'extrait étudié est la tirade d'Arnolphe à Agnès qui se trouve à l'acte III, scène 2 de la pièce de théâtre intitulée "L'école des

naît officiellement le théâtre romain : les magistrats chargent un Grec, Andronikos, de donner les premiers Ludi Scaenici (jeux scéniques). Pour cela, il traduit en latin des pièces du théâtre grec. Et c’est seulement par la suite que des auteurs (Plaute, Térence, Sénèque) écriront des pièces originales, mais très fortement inspirées du modèle grec. Au début les nobles Romains refusent qu'un théâtre soit construit dans Rome. Ils pensaient que les représentations n’étaient pas quotidiennes et craignaient

les simples boucles, devaient briller clair comme des miroirs » (Loti). — Armes fourbies. à Fig. Fourbir ses armes : s'armer, se préparer à la guerre. Par ext. Se préparer au mieux à affronter un danger, une épreuve; préparer ses arguments. [3] Plaute, en latin Titus Maccius Plautus, né vers 254 av. J.-C. à Sarsina dans l'antique Ombrie (maintenant située en Romagne) et mort en 184 av. J.-C à Rome, est un auteur comique latin. [4] Alléguer : v. tr. 2¨ (XVIIe) Mettre en avant, invoquer (Faire

genres ont des caractéristique propre à eux : La comédie Elle s'inspire également des comédies grecques, parfois en regroupant les intrigues de deux pièces grecques. Les auteurs de comédie latine dont nous connaissons les œuvres aujourd'hui sont Plaute et Térence. La comédie met en scène des histoires rocambolesques, avec des personnages tous ridicules qui constituent la société comique. Le recours au masque a lieu à certaines périodes historiques, ou peut être en fonction des acteurs. Les masques