Playboy

selon Tom Ford (2) Une certitude : la tendance « charme indiscret de la bourgeoisie » qui inspire depuis plusieurs saisons les créateurs de la mode féminine n'a pas épargné les mâles de Gucci : pour Tom Ford, qui dit s'être référé à « un riche playboy en Aston Martin » ou au « style sophistiqué de l'acteur Jude Law » (l'interprète de « The Talented Mr. Ripley »), l'homme est une créature de luxe, qui adore se lover dans des pulls douillets et s'enrouler dans de grands manteaux de cachemire à parements

Coppola quien la lleve a la pantalla bajo el título de “Apocalypse Now”: * De la ubicación del Congo belga de Leopoldo II nos vamos al Vietnam. * Aparecen personajes que no están en la novela: personaje del séptimo de caballería, las chicas del playboy tampoco están. Contribuyen a dotar de ciertas dosis de surrealismo a la narración. * Se mantiene en la película la navegación por el río, que encarna Martín Seen. * Está el personaje de Kurtz –en la novela son comerciantes, en la film son

récit se révèle comme directement symbolique. Duel a ainsi remporté le grand prix du premier Festival du Film Fantastique d'Avoriaz en 1973. Simple et dépouillé, le scénario écrit par Matheson (d’abord publié sous la forme d’une courte nouvelle dans Playboy Magazine) se veut direct et limpide ; son sujet aurait facilement pu être adapté sous la forme d’un épisode de La Quatrième Dimension. Il traduit déjà nettement sous forme écrite une hostilité criante devant une société sclérosée. Un sentiment partagé

Catherine Breillat accuse "l'arnaqueur des stars" d’avoir profité de son état de faiblesse. Christophe Rocancourt retourne vendredi une nouvelle fois devant la justice, accusé d’abus de faiblesse par la cinéaste Catherine Breillat. Le sulfureux playboy a reçu de la cinéaste treize chèques pour un montant total de 703.000 euros. Mais Catherine Breillat l’accuse d’avoir profité de son état de faiblesse, cette dernière sortant alors d’une longue convalescence. Énième rendez-vous judiciaire pour Rocancourt

Depuis le début du XXème siècle, ce corps idéal n’a cessé de maigrir : entre 1969 et 1978, deux psychologues, Garner et Garfinkel, ont étudié l’évolution des mensurations des playmates (jeunes femmes qui font la une du magazine américain Playboy). Elles sont considérées, comme des bonnes représentantes de la beauté idéale (du point de vue des hommes). Les résultats ont montré une diminution des tours de taille et de hanche, tout comme le poids. Dans le même temps, les jeunes filles américaines

politique. »J'aime aussi plein d'autres trucs américains dégoûtants c omme le vanilla coke, le beurre de cacahuètes, le cheesecake, les onion rings, le garlic butter, les chicken wings, la root beer. Par-dessus tout, j'aime Hugh Hefner, le fondateur de Playboy. (…) Analyse : Cet extrait est un des nombreux extraits des pensées personnelles de Beigbeder. Il apparait sans réelle logique dans le livre. Il intervient entre un passage ou David décrit les superpouvoirs que son père possèderait, et un autre

(Delphine) de visiter la ville (il n’appellerait même pas le couple chez qui il devait aller). Donny, orphelin, avait comme « travail » de fouillé dans les poubelles afin de trouver des vieux magazines et les revendre. Il tomba sur un magazine « Playboy » 1972. Il tomba amoureux de Linda Mae; il se donna comme but de la retrouver (malgré les moqueries de son ami Stu). L’oncle de Stu, Erwan Dougherty, est en prison pour tentative de meurtre sur le président. Il s’entretient avec son voisin de cellule

nous emportent dans une courte hallucination, nous tirent dans un monde autre que le monde réel avec toutes ses misères. Voir la délicieuse Julia Roberts dans Pretty woman dans sa condition de prostituée métamorphosée en femme du monde au bras d’un playboy richissime, c’est grisant. C’est un conte de fées, cela fait rêver, rêver celui ou celle qui se retrouve seul le soir, qui a du mal a se regarder dans le miroir et dont la vie est désespérément misérable et sans amour. C’est une douce ivresse et une

impliquer Harney Davidson dans une nouvelle ère, une nouvelle campagne de communication est lancée. Confiée à l'agence Seven, filiale de FullSix, celle-ci repose sur un dispositif multisupport dont la presse spécialisée (Moto Journal, Cigares, Playboy, Edgar…) représente le canal off line, et Internet le moteur du marketing viral. La mécanique s'articule autour d'un mini-site de présentation du V-Rod, www.v-rod.com, qui héberge, entre autres, des modules viraux destinés à une diffusion massive

et approuvées par Apple, dissociées les unes des autres. L'argument de la qualité, brandi par Apple pour justifier son contrôle sur les applications, permet aussi de décider des contenus. Steve Jobs mène parfois à l'autocensure (l'application Playboy "habillée" pour iPad) ou à la censure comme pour cette adaptation en BD d'Ulysse de James Joyce où l'on voyait un héros nu, refusée avant un rétropédalage embarrassé. Les applications qui pourraient marcher sur les plates-bandes d'Apple risquent