Plèbe

fondent sur les lois, les plébiscites, les sénatus-consultes, les constitutions des princes, les édits de ceux qui ont le droit d’en publier, et les réponses des prudents. 3. La loi est ce que le peuple ordonne et établit. Le plébiscite est ce que la plèbe ordonne et établit… 4. Le sénatus-consulte et ce que le Sénat prescrit et établit ; il tient la place d’une loi, bien que la question ait été discute. 5. La constitution du prince est ce que l’empereur a décidé par décret, par édit ou par lettre

armées d'esclaves, fournis par les guerres de conquêtes ou à la seule culture de la vigne et de l'olivier, sur une grande échelle. La petite propriété tend à disparaître, confisquée par les puissants. Le citoyen pauvre va grossir les rangs de la plèbe urbaine qui vit dans la dépendance des riches. Cette extension de l'esclavage joue un rôle essentiel dans les transformations de la société romaine. Le travail libre disparaît progressivement. Sur les grands domaines, les esclaves vivent souvent

revendication des plébéiens. 490 : Cessation de la plèbe, elle refuse de vivre à côté du patriciat et se retire sur une colline extérieure à la cité. Le patriciat (= citoyen romain) va céder et faire quelques concessions : Création d’une assemblée spécifique qui comprend que les éléments plébéiens Deux fonctions : prérogative électorale, désigne des tribuns de la plèbe et attributions législatives : votent des plébiscites (texte voté par la plèbe applicable qu’aux plébéiens). Ensuite ces textes

periculum, i, n. :danger peroratio, onis, f : long discours, péroraison persona, ae, f. :masque, rôle, caractère pes, edis, m pied pietas, atis, f. :le respect, le patriotisme, l'affection piscis, is ,m poisson plebs, plebis, f. :plèbe poena, ae, f. :châtiment poeta, ae, m. :poète populus, i, m peuple potestas, atis, f. :pouvoir praeda, ae, f butin praemium, i, n. : récompense praesidium, i, n. : garde praetor, oris, m. :préteur preces, cum ,f pl prières

également enseigner l’éloquence hellénique (c’est le fait d’être convainquant et de bien s’exprimer à l’oral en grec), car ceux de la classe supérieure (« nobilitas ») ne voulait pas qu’il y ait d’hommes politiques nouveaux (« homo novus ») issus de la Plèbe donc, les discours se faisaient en grec. L’enseignement supérieur L’éducation se finissait pour les plus riches des élèves romains, par un séjour dans de grandes écoles de Grèce ou d’Asie Mineure, car c’était les seules qui étaient capables de

roturiers »). La citoyenneté Romaine favorise les riches en créant des différentes classes sociales : l’ordre sénatorial (classe des citoyens ayant plus d’un million de célestes), l’ordre équestre (classe des citoyens ayant plus de 400000 célestes) et la plèbe (tous ceux en dessous 400000 célestes de fortune). Mais il n’y a pas que les Romains favorisent qui favorisent les plus hautes classes, les Athéniens le font aussi involontairement avec l’élection des stratèges qui sont les citoyens les plus influents

impériales, les édits émanant de ceux qui ont le droit d'édicter, les réponses des prudents. 3. La loi est ce que le peuple prescrit et établît, le plébiscite, ce que la plèbe prescrit et établit. La plèbe diffère du peuple en ce que sous le nom de peuple on entend tous les citoyens, patriciens compris, tandis que sous le nom de plèbe on entend les citoyens autres que les patriciens. D'où, autrefois, cette conséquence, que les patriciens ne se tenaient pas pour liés par les plébiscites qui étaient

l’on appelle la Plèbe. L’analyse du Patricien sur toutes les fonctions religieuses et démocratiques va être la source de nombreux conflits sociaux. Et ces luttes sociales vont permettre à la Plèbe de remporter quelques victoires. Ce sont des victoires notables, notamment la fixation définitive vers 304 av. J.C. du Calendrier Judiciaire. À partir de ce moment là, les Pontifes ne pourront plus le modifier à leurs grès. Autre victoire majeure (la plus importante) de la Plèbe, la fixation par

souvent très âgé avec SENES en latin qui signifie sénat et qui veut dire « Vieillards » (ce sont les patriciens ; PATER, PATRES en Latin). On parle de famille patricienne.  LE RESTE DE LA SOCIETE : Il y a un deuxième groupe que l’on appelle la PLEBE ou les Plébéiens. Ce sont ses institutions qui sont à l’origine des institutions et vont constamment se combattre. Cette société est profondément inégalitaire. 1- L’organisation des institutions : Elle est calquée sur l’organisation de la

moralité des citoyens - le prêteur qui s’occupe de l’administration de la justice et les idiles curules chargés de la police de la ville - les tribuns du peuple qui s’opposent aux actes pris par les magistrats qui sont contraire aux intérêts de la plèbe Page 2 sur 35 - Le Sénat : Au main des plus fortunés et de l’aristocratie (ancien magistrats ou descendants de magistrats). Le sénat surveille l’administration des finances, s’occupe de diplomatie, donne des conseils (senatus consultes) qui ont