Pléonasme

Par ailleurs, afin d'observer le pou il convient d'utiliser « un microscope ». Il s'agit donc bien d'une démarche scientifique. On a aussi l'accumulation « la cervelle, la rétine des yeux, la colonne vertébrale, tout le corps» dans laquelle le pléonasme « rétine des yeux» accentue l'effet d'insistance. Le corps humain est ainsi fragmenté, comme éclaté sous les asseaux du pou. Cette esthétique de la violence contribue au caractère provocateur du texte. Le poète exprime ainsi sa hargne envers le

De Ronsard va l'évoquer pour amener la mort au dernier vers. Et celle-ci est amenée par une description physique faite lors des quatorze vers. En effet, des le premier, et tout le long, l'auteur met directement l'aspect physique en avant, avec un pléonasme «je n'ai plus que les os, un squelette je semble» qui celui-ci inspire la laideur puisque nous sommes face à une personne soit, faible physiquement, soit abîmé. Un corps nue et une personne qui ne semble pas agréable à regarder. Suivie, au deuxième

facettes. 1. Un portrait chargé et terrible pour indigner « celui qui vous maitrise » l.1, périphrase d’ouverture  un maitre/un tyran « vous » désigne un ensemble « larron qui vous pille » l.9 ; « meurtrier qui vous tue » l.10 : périphrases et pléonasmes  caractérisation du tyran : portrait chargé. « larron qui vous pille » l.9  acte du vol ; se comporte comme un voyou, un délinquant (un hors-la-loi) : pas de conduite morale. « pilleries » l.12 ; « luxure » l.13 ; « guerre…boucheries » l.14-15 ; « convoitises »

différents termes du sujet et notamment celle de « sujet pensant », en effet, celui-ci apparaît contradictoire puisque la notion de sujet en elle-même implique celle de conscience et donc de pensée. La formulation « sujet pensant » semble donc être un pléonasme. On verra donc dans une première partie comment on définit les termes du sujet puis dans un second temps, on s’interrogera sur les relations entre ces deux entités que sont le corps et le « sujet pensant ». Enfin, on verra que le problème posé est

l’alternative, qui doit rester singulier. – « au niveau de » est à proscrire, sauf s’il s’agit d’un élément de mesure ou de localisation. – « baser sur » est à proscrire également –> l’argument est « fondé » sur la violation etc. – « car, en effet… » est un pléonasme. – « d’une part » doit toujours être suivi de la locution « d’autre part » ; lorsque l’on souhaite énoncer trois arguments, on peut utiliser les locutions : « tout d’abord », « ensuite », « enfin ». – selon le bon usage typographique, on ne termine

suivante, « car ils ne sont pas, comme ceux des autres femmes, donnés au hasard, reçus sans examen et suivis par habitude » (l.2-3-4). Cette comparaison exprime son désaccord avec les pensées et les règles de bienséance ; mais aussi, employant le pléonasme « étourdie ou distraite » (l.8) qui vise les femmes qui n’expriment pas son point de vue, la libertine amplifie la marque provocatrice de la lettre. Cependant, Mme de Merteuil insiste sur la dureté de ses principes avec l’idée de torture,

espèce de logorrhée et c’est ainsi qu’on débouche sur le comique de mot. Il est très présent car le professeur utilise une syntaxe compliquée : «toute langues n’est en somme qu’un langage» cette définition n’apporte rien, c’est une lapalissade, un pléonasme. On remarque que dans la première réplique, la syntaxe est compliquée car il y a une série d’apposition, de groupe de mots entre virgule, qui vont séparer le sujet du verbe. Il utilise des métaphores qui rendent le discours encore plus compliquées

2), ce passage est une métaphore hyperbolique qui reflète la passion : "une telle soif" du comte pour Gina, sa maîtresse. Les groupes de mots : "intimité tendre" (L.4) et "affreuse difficulté" (L.5), sont des figures de styles. Le premier est un pléonasme qui donne plus de force à l'amour invisible qui lie Gina et Fabrice sur l'instant et le deuxième est une hyperbole qui appui sur la douleur que Mosca ressent en voyant cette scène. "Comment cacher sa jalousie ?" (L.6), il s'agit ici d'une question

- cours Une figure de style est un procédé qui agit sur la langue et crée un effet de sens ou de sonorité.   Il existe des figures de répétition : ♥ L'anaphore : c'est la répétition d'un mot ou d'un groupe de mot en début de phrase ♥ Le pléonasme : Il s'agit de l'emploi d'un terme superflu (exemple : monter en haut) ♥ La gradation : des mots sont assemblés successivement de manière croissante ou décroissante ♥ Le paralléllisme : reprend une structrure syntaxique (exemple : partir pour

peur, alors tout le monde doit être apeuré. Les vers qui suivent dressent un plan d'ensemble sur l'armée et peignent un tableau de misère. - "Il neigeait" (vers 19) : La neige revient à un moment inattendu. - "la froide bise" (vers 18) : C'est un pléonasme mais il est voulu. La bise est en effet toujours froide. Cela accentue l'impression de grand froid. C'est une harmonie imitative. Le son "s" fait penser au vent froid qui souffle sur la plaine. - Vers 20 : Cet alexandrin est parfait : on peut le