Pléonasme

cri d'humanité en faveur des noirs. L’ironie au début du §: ce sont des petits esprits qui dénoncent l'esclavage; c’est à dire les philosophes. C'est de l'ironie contre les gens qui critiquent les philosophes dont Montesquieu fait partie, avec le pléonasme "exagèrent trop". On ne fait pas d’injustice aux noirs sinon les princes auraient fait quelque chose : ridicule des esclavagistes qui ont une confiance aveugle dans les princes d’Europe qui sont inutiles. Il y a une opposition terme à terme entre

facilités qu’assure la possession d’un capital ; Le seconds exprime, les nécessités dont ils est le produit. C’est ainsi que l’on peut déduire les goûts populaires pour les nourritures à la fois les plus nourrissantes et les plus économiques (le double pléonasme montrant la réduction à la pure fonction primaire) de la nécessité de reproduire au moindre coût la force de travail qui s’impose, comme sa définition même, au prolétariat.Pour lui l’idée de gout est complètement bourgeoise car elle suppose la liberté

les autres. Toujours le marché avant l’entreprise en elle même. Le marché est tout ce qui est externe à l’entreprise. Le marché est tout élément externe susceptible d’influencer l’entreprise. Ne jamais écrire environnement externe car c’est un pléonasme. Identifier les points à aborder dans une étude de marché. Pour chacun des points démontrer l’intérêt pour l’entreprise, approfondir le contenu de ces points et on va avoir des exemple. Marché = 4 partie pour son étude Le marché Produit

« vos »… A peine trois lignes u texte ne comportent pas ce pronom. -          Peuple apostrophé dès la première ligne, par trois périphrases : o   « pauvres gens misérables » : peuple caractérisé par sa pauvreté ; LB insiste là-dessus en employant un pléonasme (« pauvres » = « misérables=, à moi que « pauvres » relève du registre pathétique) o   « Peuples insensés » : changement de ton : « pauvre » serait donc à prendre comme dans l’expression « pauvres fous » : le peuple est cette fois-ci caractérisé

qu'aucun patron de clémence ne me saurait attirer. Un bon écuyer ne redresse pas tant mon assiette, comme fait un procureur ou un Vénitien à cheval; et une mauvaise façon de langage réforme mieux la mienne que ne fait la bonne.(Montaigne,Essais) PLEONASME (n.m): répétition expressive d'une même idée.Les gestes rendaient les images sensibles ; tout était appelé par son nom, avec le cynisme des chiens, dans une pompe obscène et impie de jurements et de blasphèmes. (Chateaubriand,Mémoires d’outre- tombe) EPITHETISME

produit est tellement mis en majesté, ici, qu'il en devient l'ingrédient principal du repas. L'hyperbolisation a donc le caractère sympathique de la caricature qui permet au produit de son anonymat, de son quotidien, de son aspect par trop commun. Pléonasme Répétition dans une même expression ou un même énoncé, d'un signifié avec des signifiants différents. Ex. "Je l'ai vu, de mes yeux vu, ce qui s'appelle vu." MOLIERE. La tautologie consiste à définir le même par le même en une redondance systématique

nous poussent à être nous-mêmes. Ces leitmotivs nous demandent d’être spontanés, authentiques, naturels, donc de ne pas jouer de rôles d’interprétation. Mais qui sommes-nous sinon nous-mêmes ? L’expression « être soi même » n’est elle pas un pléonasme ? car nous ne pouvons être que nous-mêmes. Nul ne peut échapper à la présence de soi. Quand nous disons ‘je », nous faisons systématiquement la différence entre ce qui est « moi » et ce qui ne l’est pas. Nous avons donc conscience de notre identité

la césure et à la rime.  -Baudelaire met en place une morale de l'oisiveté, qui rappelle "l'indolent compagnon" qu'est l'Albatros, et qui est prônée dans "La chevelure": "ô féconde paresse,/ Infinis bercements du loisir embaumé!" (V.24/25). Des pléonasmes soulignent l'évident: "vague marine", "verts tamariniers", il y a un effort de simplicité, d'harmonie caractéristique de la paresse.  -1ère strophe: "Je respire l'odeur", 4ème strophe: "m'enfle la narine"= le poète devient oisif ce n'est plus

narrateur est à l'image d'un enfant qui ne dit pas toujours ce que l'on attend de lui. - Il utilise des adverbes qu'on pourrait qualifier de radicaux qui montre tant son caractère ingénu que la radicalité de la guerre "jamais" (l.10 ; l.27), - Pléonasmes comme "on y ajoute la guerre en plus" (l.13) : ajoute l'idée que Céline fait de Bardamu un personnage supposé à l'esprit jeune et naif qui découvre ce que font les hommes. - L'idée d'être un "puceau de l'Horreur" renforce cette idée de nouveauté

+ suffixe péjoratif « ard » • Accumulation d’adjectifs négatifs pour qualifier la façon dont le livre de Micromégas est perçu par les gouvernants (« propositions suspectes, malsonnantes, téméraires, hérétiques, sentant l’hérésie » (l 25) avec le pléonasme final qui laisse penser que le jugement est un tissu de fadaises) alors que le sujet est tout à fait anodin (les escargots et les puces !!) > disproportion, jugement injuste, les idées de Micromégas ne sont pas rejetées pour raisons scientifiques