Pléonasme

d’ailleurs que Paul Eluard plaint le plus : « Plus de malheur encore est imposé aux pauvres. ». En tant que communiste, il était sensible à la misère des individus, l’idée de manque est renforcée par les tournures négatives reprises au vers 10 : le pléonasme « Les vieux vêtements de vieilles » renforce cette idée de monotonie. On devine ici les couleurs noirs et grises. Les mots sont simples pour que tout le monde puisse les comprendre. On imagine Paris alors face à l’oppression dans le métro, lieu où

d'intrigue et de psychologie.[13] De plus, le lieu de l'action est imprécis et le temps est lui aussi tourné a l'absurde (pendule qui sonne trop de fois dans « la cantatrice chauve »[14]. 2.3 Langage: L'absurde use de plusieurs procédés sémantiques: pléonasme, répétitions, problèmes syntaxiques, certaines rimes, plusieurs proverbes et de mauvaises traductions[15]. Le langage est destructuré, il exprime le vide, l'incohérence[16]. La communication et le dialogue est souvent difficile[17]. 2.4 Thème:

Acte II scène 21 : · Figaro s’en sort habilement au début de la scène en justifiant l’impression de la différence de taille. Ainsi, l’homme qu’aurait vu Antonio semblait plus petit puisque Figaro s’est pelotonné en sautant. Prompt d’esprit, i l souligne aussi l’invraisemblance de la présence de Chérubin au château : ‘’ il souligne avec ironie l'invraisemblance de la présence de Chérubin : "revenu tout exprès avec son cheval de la porte

simple « je la relevai, l’embrassai, je rappelai ses sens » (l.25) indiquent la réactivité du narrateur, à travers ses actions successives et rapides pour la réanimer. Puis, voyant que ces gestes ne fonctionnent que partiellement, Adolphe utilise le pléonasme « je vous aime d’amour » (l.27). Cet emploi suggère une tentative, pour ce dernier, de convaincre Ellénore. Il s’agit d’une déclaration mensongère, répétée, comme le souligne le discours narrativisé « elle me le fit répéter plusieurs fois » (l.31

Soleil permet la création immortelle de l’inspiration, c’est un cycle de la création de la vie. « ! » en fin de vers=> marque d’ironie, B se moque en fait de la nature, des clichés poétiques. (B n’aime pas la nature). « immortel »+ »toujours=> pléonasme, le poète ne changera jamais d’avis. Bilan de strophe : Cette strophe célèbre le pouvoir du soleil et donc du poète mais semble ironique puisque les humains sont mis en parallèle avec des éléments de la nature peu valorisant (« vers » v10) . C’est

vint, bien qu’il se fut amusé et rapproché d’Angelina, à sa proposition de rester et d’avoir une terre avec elle, il lui dit, à la page 196 : « -Tente-moi pas, Angélina. C’est mieux. ». Sans autres mots : « il se perdit dans la nuit noire. ». Ce pléonasme de Guèvremont vient mettre de l’emphase sur le fait que le Survenant disparu complètement de la vie des gens du Chenal du Moine. Il quitte également Didace et les Beauchemin sans aucun mot. Sa vient lui appartient, et il est le seul maître de sa

terme par une expression qui le défini | - La capitale de la France - Le roi des animaux | PERSONNIFICATION n.f. | Attribuer des qualités humaines à un objet inanimé | - Cette rose aimable comme toi- Un soleil voit naître et mourir la rose | PLEONASME n.m. | Répétition de termes superflue | - Un géant vraiment grand- Descendre en bas | SYNECDOQUE n.f. | Remplacer un mot par un autre ayant une relation d’inclusion avec celui-ci (la partie pour le tout ou le tout pour la partie). Cas particulier

: même rime dans la première et dernière strophe « -eine » - Structure : ABAA  rimes redoublées CC rimes plates I) La musicalité et la modernité du poème Comment le poète à t’il fait un « poème musical » ? (pléonasme) - Utilisation d’Assonances (voyelles) en « ou » en « a » en « on » . - Utilisation d’Allitérations (consonnes) en « m », « l » et « s » - Il y a des enjambements se qui donne de la continuité dans le poème. - La symétrie de ce poème créé

mourir pour Chimène : « Il vaut mieux courir au trépas », « Je dois a ma maitresse aussi bien qu’a mon père » ; il se ressaisit finalement et se rend compte qu’il n’y a qu’un seule choix : la mort dans la gloire : « Trépas si mortel à ma gloire. » Ce pléonasme, d’ailleurs, met en évidence la mort imminente, inéluctable de Rodrigue, soit par l’épée du comte soit de tristesse pour Chimène. L’opposition entre honneur et amour fait de nouveau rage, mais cette fois le champ lexical de l’honneur prend le dessus

assimile l'une à l'autre [[u]dé[/u]finition de hvpallage :
Figure de style qui consiste à attribuer, à un ou plusieurs mots d'une phrase, ce qui convient à d'autres (sans qu'il soit possible de se méprendre sur le sens de cette phrase).]
Enfin un pléonasme « verte » (v.15) évoque le printemps et la nouveauté qu'il représente s'assimilant alors à la jeunesse.
Ce ne sont dont que compliments, galanterie dédiés à la conquête féminine qui se trouvent accentués par le groupe nominal « votre beauté)} (v