Pleur

n'y comprit rien et, d'un air désolé : "Vraiment c'est trop fort. Depuis que nous avons eu le bonheur de cet héritage, tout le monde semble malheureux. C'est comme s'il nous était arrivé un accident, comme si nous pleurions quelqu'un ! - Je pleure quelqu'un, en effet, dit Pierre. - Toi ? Qui donc ? - Oh ! quelqu'un que tu n'as pas connu, et que j'aimais trop." . Roland s'imagina qu'il s'agissait d'une amourette, d'une personne légère courtisée par son fils, et il demanda : "Une femme

elle est. Ne me demande pas de changer, parce que je suis née comme je suis, peut etre pas parfait(e) et avec des defauts, mais... tu attend quoi ? Le contraire ? Il est impossible. Quand je pense qu'il existe la chiurgie esthétique, j'ai envie de pleurer, car on devrait s'aimer comme on n'est. Non ? À mon avis, il ne faut surtout pas laisser nos éventuelles déceptions nous gâcher la vie. On doit être capable de tirer un trait sur son passé, être capable d'accepter le fait que le soleil ne puisse

comme le motif du meurtre. Meursault est un marginal, il vit sa vie sans en prendre conscience, sans penser à ce qu'il ressent, ressent-il quelque chose d'ailleurs? Le doute plane toujours; à l'enterrement de sa mère il ne montre pas sa peine, il ne pleure pas. Il ne montre pas d'envie d'épouser Marie : « Le soir, Marie est venue me chercher et m'a demandé si je voulais me marier avec elle. J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait. Elle a voulu savoir alors si

6 : « Mais près d'un jet d'eau qui pleure et qui prie ». Le poème est ensuite construit autour de l’axe formé par le « C », « ? », seul signe de ponctuation du poème, et « O ». Et on peut se demander si le bassin d’où jaillit le jet d’eau ne serait pas un œil, le O représentant la pupille, d’où jailliraient, non pas un jet d’eau, mais des larmes pleurant la mort de la colombe poignardée. D’ailleurs le vers « Et vos regards en l'eau dormant » et le verbe « pleure » peuvent faire penser que le bas

les empêcher de dormir. En manque de sommeil, professe-t-il, un innocent devient au fil des heures de plus en plus furieux à cause de l'injustice dont il est victime, il crie, il fulmine. Un coupable devient au contraire plus calme, il se tait ou pleur, car il sait qu'il est là à juste titre. (fin de mon extrait). Dans cette extrait on voit l'impitoyable dureté de la Stasi, on va s'intéresser en particulier aux divers techniques employé par le réalisateur pour mettre en avant la dureté du système

dans ma tête, et résonnaient dix fois à l'intérieur, j’allais devenir folle... Celle-là, depuis qu’elle était arrivée à la maison, depuis qu’elle était devenue “le nouveau membre de la famille”, je la détestais, elle ne faisait que pleurer, pleurer, et encore pleurer. Je me suis levée de mon lit, prête à détruire tout ce qui se trouverait à travers de mon chemin, et je me suis dirigée vers la pièce voisine, là où elle était. Je ne savais pas comment la faire taire, mais je m’approchai d’elle, la

a fait mal dapprendre quitter ceux qui nous quittent, dapprendre les aimer en silence, le dos tourn, les yeux baisss. De devoir apprendre son coeur la force de se vider tout en demeurant habit. Apprendre pleurer en souriant, sen aller en aimant mon avis, les tragdies a fait partie de la vie, on va pas baisser les bras parce quon est malheureux. Je me suis rendu compte dune chose, quand on vous brise le cur, il faut se battre de toutes ses forces et saccrocher la vie, parce quelle continue

motifs. - L’axe de symétrie figuré par le « C », le « ? » et le « O » unit les 3 motifs du dessin même si le texte invite à une interprétation polysémique du calligramme : 1. « un jet d’eau qui pleure et qui prie » + « le jet d’eau pleure » → personnification qui associe l’eau aux larmes et justifie le motif du bassin en forme d’œil ; 2. Cet axe de symétrie, associé à l’expression initiale du jet d’eau , « Tous les souvenirs (…) Jaillissent

rire ? », « rire au nez de quelqu’un ». • Le rire est proche des larmes : « Jean qui rit, Jean qui pleure », « mieux vaut en rire qu’en pleurer », « pleurer de rire ». • Diverses formes du rire : farce, ironie, satire, divertissement, comédie, burlesque, caricature… II.Le rire et le corps : • Le rire est humain : « rire est le propre de l’homme » Aristote, « l’homme est le seul animal qui pleure et qui rit » Voltaire, le rire est inné=les bébés rient (rire de gorge). • Le rire : un phénomène

qui vient développer « étrangeté des armes » l.20) : une bombe lacrymogène (= qui fait pleurer) utilisée pour se défendre contre un agresseur, simple d’utilisation. Or faire pleurer l’autre signifie le « toucher », toucher sa faille, avoir accès à sa souffrance, provoquer une émotion forte ( rappel : la souffrance pour le dealer est associée au froid or lui n’a jamais froid donc ne souffre jamais donc ne pleure jamais, il ne connaît pas les larmes). Les larmes sont associées à la honte, à l’humiliation