Poids de l'âme

sage de tous les hommes, de se sauver en maltraitant les lois ni de les obliger à tourner autrement." - Créon3. "Il n'est pas de malheur pire que de ne point comprendre." - Chœur4. "Ceux qui font preuve d'orgueil, les dieux les écrasent de tout leur poids dans une main puissante." - Le Garde5. "Moi qui reste, je suis là, accablé, abandonné de tous, le dernier de tous les malheureux." - Hémon6. "J'ai compris combien les erreurs de mes jugements ont été funestes pour moi-même." - CréonDans cette tragédie

à la prudence et au discernement. A mes sept ans, mes parents m’ont annoncé que j’avais atteint « l’âge de raison », l’âge de ne plus faire de bêtises, de caprices et avec fierté j’ai quitté le monde des « petits » pour devenir plus grand, mais le poids de la raison, de la liberté et de la responsabilité m’inquiétaient déjà. Allait-il falloir ne plus « prendre ses désirs pour des réalités », modérer mes désirs, me maîtriser, être et non plus devenir raisonnable. Et les adultes, eux, étaient-ils si

la mort La mort est représentée en tant que figure anthropomorphe ou comme personnage fictif dans de nombreuses mythologies et cultures populaires. La personnification dans la mort en tant qu’entité vivante est liée à l’idée de la mort et à son poids historique et philosophique. A- La mythologie grecque Recommandation de Circée à Ulysse : « Mais quand tu auras traversé l’Océan, jusqu’au rivage étroit et au bois sacrés de Perséphone, où croissent de hauts peupliers et des saules stériles,

vivons ou plutôt, tel que nous le percevons. C’est l’art le plus condensé et riche pour celui qui désire comprendre les méandres tortueux de la psyché humaine. La boîte, symbole des refoulements dans l’âme de Diane. La condensation déplacée qu’est la boîte bleue anodine, représente en fait l’âme de Diane torturée par une terrible culpabilité. Elle finit par l’ouvrir et s’y engouffrer, aspirée par les remords, dévorée comme les démons qui sortent de la boîte de Pandore. C’est d’ailleurs sous une

des muses, filles de Mémoires et de Zeus qui président à la création , et dont les voix se confondent avec celle du poète. Ronsard reprend aussi implicitement la doctrine des quatre fureurs, la fureur divine est l’affection par laquelle dieu enlève l’âme à sa condition déchue pour l élever progressivement jusqu’à lui. On parle alors d’enthousiasme, ce qui signifie étymologiquement être habité par les dieux. Boileau dans L’Art poétique s’appuie donc sur l’autorité non critiquable des Anciens, d’ailleurs

renforcent, se confortent, se contiennent ensemble rassurant dc pas effort pr accomplir devoirDevoirs inséparables les uns des autres« chaque obligation traine derrière elle la masse accumulée des autres, utilisant par la pression qu’elle exerce le poids de l’ensemble »De la contrainte à l’obligation· Dressage · Rassurant + goût pour ?· Sté s’intègre au moi en formant le moi superficiel ( stable) = une nécessité (mon sort en dep) (≠ moi profond pas stable)Instincts qui se font faceInstinct social

(chrétiens non membres du clergé), ils les nommaient sans demander l'avis du pape à Rome. L'Église catholique était alors très décentralisée : les grands évêques étaient plus proches du pouvoir impérial que du pape. De plus, les empereurs avaient un poids important dans la nomination des papes. • À partir de 1059 l'élection pontificale est faite par les cardinaux. Le nouveau pape,Grégoire VII (1073-1085) décide de renforcer le pouvoir de l'Église. Il veut nommer lui-même les évêques et faire en sorte

lien entre les détails techniques et la doctrine physico-morale de l’homme. Conjonction du rhétorique et du spirituel. Style vu en terme d’unicité autour du majestueux, du sublime, pas de catégorisations plurielles des styles. Le sublime « enlève l’âme, il lui fait concevoir une plus haute opinion d’elle-même ». * Boileau, éloge de la pensée sublime, la force du simple. Alliance idéale et perdue du symbolique et du formel. Grandeur du texte comme supplément d’âme et de sens par-delà la lettre

La rime peut être : Pauvre : un son en commun Suffisante : deux sons en commun Riche : plus de deux sons Ex : levé – tué = 1 son Loup – filou = 2 sons Parade – rade = 3 sons La disposition de la rime RIMES SCHEMA EXEMPLE Suivies/plates AABB Poids-pourquoi-flammes-âme A A B B Croisées ABAB Lapin - rusé - pain - aisé A B A B Embrassées ABBA Lui – ivre – givre – fui A B B A 3- LE RYTHME Le ver est rythmé par :

l’idée de répétition, d’enfermement Structure syntaxique : - deux phrases : une phrase sur 4 strophes, très longues ; une phrase plus courte (dernière strophe) : idée d’une voix qui s’étend, s’étire, s’allonge, sentiment mélancolique qui immerge l’âme - temps verbal : présent de l’indicatif : répétition, présent d’énonciation (les faits se déroulent au moment où ils sont évoqués) - structure : 1) 1re phrase= phrase complexe : - 3 propositions subordonnées temporelles (quatrains 1 à 3) avec anaphore