Poilu

martyre et le sacrifice. La couronne de lauriers symbolise la victoire. Elle représente les vertus militaires et l’héroïsme. Les feuilles et les fruits du cerisier annonce le printemps qui fleurira. 2) Les symboles guerriers Il y a deux poilus, un mort et un autre debout armée d’un fusil. Il brandit l’arme et s’appui dessus Il y a des obus, des fusils et une lance. C’est objets servent a se défendre, a blesser ou bien a tuer. Cela est représenté comme des trophées. Le casque symbolise

d'honneur, casque de poilus, des fleurs de lauriers). _ Le monument ressemble à une pyramide à sommet avec un autre dessus et le symbole de la couronne de lauriers. _ Il n'y a pas de statues et autres Les symboles : | Description | Interprétation | Animaux | Aucun | Aucun | Objets | Couronne de Laurier, légion d'honneur, casque de poilus, une épée. | La couronne de Laurier représente la puissance, la légion d'honneur l'honneur, casque de poilus les soldats ,

Guerre est une peinture à l'huile réalisée sur des panneaux de bois (qui sont donc les supports) de l'oeuvre. Panneau de gauche : des soldats en armes portant un sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités.Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté

| | |Séance 4  |Analyser un corpus de trois lettres de |Lettre de Joseph Dézarnaud à sa femme, |Lecture et analyse de ces trois lettres, à | | |Poilus : fanatisme, révolte et désespoir |7 juillet 1914; |l’aide d’un questionnement méthodique. | |Lecture |Rappel : les caractéristiques de la |Lettre de René Pigeard à son père, 27 |

de patrouilles, de corvées, de bombardement et même de relève. Les soldats qui ont participé à cette guerre ont été surnommés «  les poilus » car on présumait qu’ils étaient malpropres mais également virils. Pourtant, la plupart d’entre eux disposaient d’un matériel adapté pour se laver et se raser. La relève se faisait après un mois afin de permettre aux poilus de manger plus ou moins chaud et de sommeiller à l’abri. L’approvisionnement en vivres était laborieux. Des hommes de troupes sillonnaient

authentiques. Ce recueil présente quelques textes qui retracent chacun des aspects particuliers de différentes tranches de vie. Ainsi, ces textes se répartissent dans 4 grands chapitres intitulés:  La vie quotidienne du soldat: - les bleus et les poilus - les rats - la boue - le confort de l’Etat Major  Le feu: - on assassine des hommes - face à l’ennemi - la mort en face - la peur  L’arrière: - donneurs de leçons illusions de l’arrière retour du nouvelles du front

Barque a réussi à faire des frites. Cette situation n'écœure pas les villageois qui n'hésitent pas à exploiter les richesses des combattants « L'exploitation du malheur public est un trésor ». Lamuse est repoussé par Eudoxie et parallèlement, les poilus profitent de ce misérable répit pour écrire leurs lettres. Chapitre 6 : « Habitudes » Cela fait 17 jours que l'escouade vit dans le « chenil », lieu de crasse et de désordre, lieu repoussant. Cependant les hommes prennent goût au repos, « En

panneaux principaux est appelée triptyque La couleur : dans cette œuvre Otto DIX utilise principalement des nuances de rouge et de brun. La couleur dominante est le brun, brun de la terre des tranchées, environnement quotidien et unique horizon des poilus. Le rouge est utilisé pour représenter le ciel tourmenté sous lequel les soldats partent au front (panneau de gauche), l’amas de viscères ensanglanté (panneau central) et le feu du champ de bataille (panneau de droite). L’artiste choisit le rouge

l'angoisse et l'attente. Il est vrai que ces soldats qualifiés de poilus du fait de la rareté de l'eau et par conséquent de leurs difficultés à ce raser vivaient dans l'ennui. Les poilus étaient des forçats de la guerre, ils dormaient et rêvaient pour s'évader de cette ennuie et de ce chaos. Ils s'occupaient comme ils pouvaient en jouant aux cartes, en lisant ou même en parlant, la solidarité devint un maitre mot pour les poilus. Leur principale activité reste l'attente, car ils doivent être prêts

fera six cent mille à un million et demi de personnes[ massacrés. Malgré tout on essaye parfois en vain de rassurer la population en faisant de la propagande, presque toutes es lettres des soldats sont censurés pour ne pas inquiéter la famille du poilus mais aussi pour ne pas divulguer les conditions et les plans de combats au cas où il y aurait des espions. La SGM est la plus violentes de toutes aux niveaux civils puisque c’est à cette époque qu’apparaissent les camps d’extermination comme Auschwitz