Poilu

soldats durant la Première Guerre Mondiale. B – J’en conclus donc, qu’être soldat au front n’étais pas une partie de plaisir car ils n’avaient pas une seconde de répit, même quand ils se reposaient, ils étaient en permanence sur leur garde. Les poilus, (qui désignait un homme fort, courageux, un soldat aguerri, qui n’avait pas froid aux yeux et que les gens admirait) restaient un mois dans les tranchées avant d’être relevés et envoyés à l’arrière où ils pouvaient manger chaud, à leur faim et dormir

L’APRES GUERRE 1) Le retour chez soi 2) Les retrouvailles entre poilus après la guerre CONCLUSION DOCUMENTS ANNEXES INTRODUCTION La première guerre mondiale est un conflit militaire majeur du XXème siècle qui marquera des générations. Des milliers de combattants ont été mobilisés, ils pensaient partir pour un conflit court et sans grandes difficultés. Or, la réalité fut différente et ils vécurent l’enfer pendant quatre années. Les poilus ont du s’adapter à ce nouveau mode de vie. Nous nous intéresserons

front, ces sinistres tranchées dans lesquelles des millions de soldats ont péri. Tardi avec sa BD n’a pas fait un travail d’historien quoique très bien documenté. Il s’agit juste d’une succession de situations non chronologiques vécues par quelques poilus visiblement pas contents de participer à cette « fête » Mais si on y réfléchit bien, l’histoire avec un grand H n’est qu’in fine la somme de toutes les petites histoires vécues pas des hommes héroïques ou non, courageux ou pas, civils ou militaires

Lors de la première guerre mondiale de 1914 à 1918, les solda(r français appelés «Les Poilus », n’avaient que la lettre comme moyen de communication. Vivant dans les tranchées, les conditions de vie étaient très dures, comme le dit André Fribourg dans sa lettre envoyés a un destinataire dont nous n’avons pas trouvé le nom : « Voilà près d'un mois que je ne me suis ni déshabillé, ni déchaussé ; je me suis lavé deux fois : dans une fontaine et dans un ruisseau près d'un cheval mort ; je n'ai jamais

démobilisation(La démobilisation est le fait de renvoyer à la vie civile des soldats mobilisés.) à toute personne qui dénoncerait les auteurs de la chanson. Cette hécatombe(sacrifice) a engendré des refus de monter au front et de nombreuses mutineries chez les Poilus, "qui ne refusaient pas de mourir pour la patrie" mais qui trouvaient " le suicide par l'offensive inutile". Le général Pétain nommé en catastrophe un mois après l'offensive, en remplacement du général Nivelle disgracié, a sévèrement réprimé les

1916, est le reflet de l’hécatombe du conflit qui a engagé un grand nombre de nations entre 1914 et 1918 et que l’on a nommé la Première Guerre Mondiale après 1945. Ce roman autobiographique, qui reçu en hommage le prix Goncourt, relate la vie des Poilus dans les tranchées de Soisson, de l’Argonne et de l’Artois et illustre l’absurdité intrinsèque de toute guerre. Ainsi, à première vue, il semble que Le Feu s’inscrit dans un idéal de paix alors même que le conflit fait rage, ce qui atteste de l’audace

Lorsqu’on regarde la première page de couverture, nos yeux sont attirés vers le fond du titre puisque c’est le seul qui est en couleur : ROUGE. Cette couleur symbolise le sang, la guerre, la destruction, la colère. Puis, ils descendent vers les deux poilus, portant leur camarade. Celui de gauche est terrorisé et le regard de celui de droite est attristé. Ils continuent leur chemin vers l’homme souffrant et termine enfin sur l’arrière plan : les cadavres entassés, des barbelés, de la boue. LES

de grands ennemis pour les soldats. Le plus terrible était la relève qu’ils vivaient comme un véritable supplice malgré leurs moments de temps libres. Les hommes manquaient de nourriture, ce qui entraînait la famine avec énormément de morts. Les poilus vivaient avec la fatigue car ils étaient obligés de rester éveillés pour voir si l’ennemi arrivait pour les attaquer et car il n'arrive pas a dormir a cause des poux. Le froid les faisait énormément souffrir. Ils restaient dehors jour et nuit ainsi

ou lors des assauts. Les combats sont violents, traumatisants, comme nous le montre le témoignage 1b. De nouvelles armes sont mises en place : lance flamme, gaz de combats, bombardement aériens. La peur de la mort est toujours présente pour les poilus, qui peuvent recevoir un assaut à tout moment, ou bien mourir sous les effets du « gaz moutarde ». Les nouvelles armes sont bien plus meurtrières, et font des ravages dans les deux camps, provoquant de nombreuses pertes et mutilations. Après cette

sacrifice, le désintéressement, l’altruisme… Tous ces hauts sentiments sont mis en valeur dans les récits guerriers que sont Les Perses ou Le Feu. De manière toutefois très nuancée dans ce dernier : ce qui fait la noblesse de l’attitude des «  poilus  », malgré leur humilité, c’est leur courage dans le quotidien des tranchées. Clausewitz décrit de façon différente la notion d’ « héroïsme » : pour lui ce n’est pas le soldat, mais bien le chef de guerre, qui s’illustre par son «  génie martial