Poilu

œuvre est donc une chanson, aussi appelée «Chanson de Lorette» ou «Chanson de Vaux». Les paroles sont d’auteurs anonymes. La seule certitude est qu'ils étaient des soldats engagés dans l'armée française pendant la Première Guerre mondiale, des «poilus». La chanson n’ayant pas un seul auteur, on connaît différentes versions. Les paroles les plus connues sont celles qui ont été publiées par le journaliste communiste Paul Vaillant-Couturier. Mais l’anarchiste Henry Poulaille, qui fut soldat sur le

HDA Ecrire sur la grande guerre : Dans la première lettre de poilus, nous voyons la fierté de l’engagement de Julien Christol. Comme une bénédiction il veut dégager une juste vengeance qui est donnée vis-à-vis de ces ancêtres. Dans sa lettre, Julien utilise le mot sacrifice 2 fois pour montrer qu’il est parti de sa propre volonté est non parce qu’on l’aurait forcé. Dans la deuxieme lecture de planche sur les poilus nous voyons l’enthousiasme et le miracle. Gaston est un des rescapés , il se dit

qui servaient au "nettoyage de tranchées". Avec ces armes, les poilus cachés dans les fossés étaient tous brûlés ce qui rendait leurs pauvres protections dérisoires. Autre moyen qui rendait leur protection dérisoire : les gaz (gaz lacrymogène, gaz phosgène et disphosgène, gaz ypérite et les gaz moutarde) brûlait les yeux et provoquait des troubles de la respiration, et l'asphixie était redoutable car elle faisait souffrir les poilus et provoquait des réactions Des grenades lancées par les lance-grenades;

comme un monstre car il veut revoir toute les pansements des blessés même si cela leur fait mal. L'inspecteur est un homme fière et quand il a voulu montré ses talent sur le petit berger Landais il l'a tué. 3. La nouvelle est un témoignage d'un poilus. Tout d'abord, le récit est rédigé à la première personne du singulier.Le Pronom personnel « je » désigne a la fois l'auteur, le narrateur et le personnage principal : « Blaise Cendrars » est le nom du narrateur mais également celui de l'auteur. De

durant la Première Guerre Mondiale : “il faut ramener (…) un bout de fil de fer boche” (l. 8-9), “cette veille d’attaque (…) la France entière danse” (l.26-28). 2 - Le pronom personnel "on" : “quand on sort du gourbi” (l.1) renvoie à la fois aux poilus et au narrateur. Ce pronom personnel permet de créer un effet de groupe. 3. a) Le pronom personnel qui implique le lecteur est «  vous  » : “le froid vous mordille le menton” (l.1). Ce pronom crée un effet de proximité avec la situation des soldats

permettre de limiter la diffusion d’idées hostiles ou d’indiscrétion mais également éviter de préciser les positions des soldats, au risque d’informer l’ennemi, de transmettre des idées pacifiques et finalement de dévoiler les conditions de vie des poilus (les soldats qui étaient dans les tranchées). Au début de la guerre , les courriers étaient tellement nombreux que le gouvernement ne pouvaient tous vérifier . Donc pour s’assurer que leur démarche fonctionne le gouvernement s’occupe de contrôler

bien d’autres. Il existe deux sortes de lettres : Les lettres fictives comme les lettres persanes, de Montesquieu ou les liaisons dangereuses de Choderlo de Laclos, et les lettres authentiques comme celles de Mme de Sévigné, de Voltaire ou encore des poilus, témoignage de la guerre. Mais nous pouvons nous demander si l’écriture d’une lettre permet de défendre efficacement ses idées. Dans un premier temps nous verrons les lettres défendant des idées puis celle qui par politesse ou pudeur ne disent pas

I. DESCRITION DES PANNEAUX Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté dans le panneau de gauche, l'arrière plan du panneau central est occupé par la représentation

représenté comme un soldat français. Il porte donc l’uniforme bleu horizon et le casque. Mais pour rappeler le prince du conte, le poilu porte une épée et non un fusil. Il se dirige vers le lit où se trouve la princesse, représentée comme une alsacienne, pour la « libérer ». Elle porte la tenue traditionnelle alsacienne : la robe et la coiffe noire alsacienne. Le poilu représente la France qui sauve l’alsace représentée par la princesse de son emprise. Ils sont tous les deux dans un château médiéval

DESCRIPTION I. Les éléments iconiques (ce qui est représenté) Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté dans le panneau de gauche, l'arrière plan