Poilu

(L40). Les cas sont traités rapidement et beaucoup sont jugés sans preuve, ils seront en quelque sorte fusillés pour l’exemple (il y aura au total 3500 condamnations liées aux mutineries). Puis il adopte des mesures dans le but d’améliorer la vie des poilus : l’alimentation est améliorée mais surtout il améliore les permissions. Il prend une stratégie moins offensive que celle de Nivelle, il dit attendre des chars et des renforts américains avant de reprendre l’offensive pour calmer cette sorte de grève

disparaît rapidement . B. LA GUERRE DE TRANCHEES OU DE POSITION .1915 – Début 1918. Photographie doc 3 p 23 + Calque au rétroprojecteur ( vue aérienne du front , aquarelle d'André Devambez ) Doc 1 fiche polycopiée : le témoignage d'un poilu réunionnais en 1915.. Alors que le service militaire n'est pas obligatoire , 14 000 réunionnais vont se porter volontaires .Ils furent d'abord incorporés dans les troupes coloniales puis dans les troupes métropolitaines , 3 000 d'entre eux ne reviendront

où on peut la voir : Ce tableau est conservé au Stadmuseum à Dresde en Allemagne. DESCRIPTION et ANALYSE : Panneau de gauche : Des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : L'arrière plan du panneau central

Chanson de Craonne 1. Description L’œuvre est une chanson. Son titre est «  Chanson de Craonne ». L'auteur est inconnu, la seule certitude est qu'il était un soldat engagé dans l'armée française pendant la première guerre mondiale, un « poilu ». On pense qu'il est originaire du midi. L’œuvre a été produite en 1917 dans la version que l'on connaît aujourd'hui. C'est une chanson populaire et contestataire. Elle a été interdite par le commandement militaire qui la censura en raison de ses paroles

Le Kebab le Kebab le Kebab le « Le colonel Barbaque ». Nous remontons dans le temps jusqu’à la Grande Guerre de 14-18. Un ancien poilu, Quentin Ripoll, rescapé des tranchées se réfugie en Afrique noire, incapable de mener une vie civile sereine : « J’ai toujours su que je n’arriverais pas à revenir des tranchées. Trop loin. Trop longtemps. Mais ceux qui m’attendaient avaient l’air de tellement y croire que je me suis laissé faire. Je pensais encore qu’ils avaient peut-être raison. Je les ai laissés

amoncellement de corps déchiquetés et éviscérés (bombardements) surplombé par un cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte d'où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules qui évoquent les conditions d'hygiène abominables dans lesquelles ont vécu les poilus dans les tranchées (maladies, épidémies). Ce cadavre tend une main, tentative désespérée d'obtenir de l'aide dans un univers d'où l'humanité a disparu, son appel à l'aide reste suspendu dans le vide. Au dessus de cet amas de viscères et de corps flotte

aussi des livres (poésie, théâtre).
Il meurt en 1971 après une longue hospitalisation. ce tableau fût le clou du salon des indépendants ( exposition d’art depuis 1884 ) et fût très commenté. poser le thème : car comme on peut le remarquer des poilus sont représentés, on les reconnaît grâce à leur uniforme, ce tableau est donc une représentation de la première guerre mondiale. contexte historique Je rappelle que la première guerre mondiale aura durée de 1914 à 1918. Gromaire fit son service

sont des lettres de Poilus provenant du front lors de la Guerre 14-18. Quant au document 3, celui-ci est une lettre d’un combattant allemand lors de la Guerre 14-18. 2) Selon Jules Gillet et Jaque, le front leur faisait allusion à l’enfer. Les deux parlent de l’horreur du front dans lequel ils bataillent pour survivre. Pour cela ils décrivent l’hygiène de vie et les coups de canons et de grenades qui tuent des milliers d’entre eux. Enfin à la fin de leur lettre, les deux poilus disent adieu à leur

T (titre du document) L’expérience combattante dans une guerre totale O (origine) R (résumé) N (nature) Carnets de Louis Barthas (édités en 1978) La vision de la guerre à travers les yeux d’un poilu Récit Louis Barthas autobiographique un poilu à partir d’un ordinaire journal 1 A (auteur) D (date (s) novembre 1914 et juin 1915. Après l’invasion du territoire français (« la France était envahie ») à l’été 1914 (guerre de mouvement…), l’attaque

l’arrêt des combats. => L’armistice est signé le 11 novembre 1918 à Rethondes.2. UNE GUERRE VIOLENTEA. Dans les tranchées, des conditions de vie et de combat très difficiles · La guerre devient industrielle : les poilus sont victimes d’armes de plus en plus perfectionnées (avions, chars, gaz, mitrailleuses). Ils souffrent aussi de la fatigue, de la faim, de la boue, des poux, des rats, de l’éloignement de leurs familles. Leur moral décline peu à peu