Poilu

6-13 septembre : la bataille de la Marne L’armée française arrête les Allemands sur les bords de la Marne, à quelques dizaines de kilomètres de Paris. L’épisode célèbre des "taxis de la Marne" voit les voituriers parisiens transporter les poilus jusqu’au champ de bataille. Ainsi, sur le front Ouest, dès la fin de l’automne, les troupes s’enterrent dans les tranchées. Cette guerre de position durera près de 4 ans. 1915 22 avril : première utilisation de l’arme chimique dans l’histoire

cm de large B-Couleur et lumière 1) Couleur Dans cette œuvre Otto DIX utilise principalement des nuances de rouge et de brun. La couleur dominante est le brun, brun de la terre des tranchées, environnement quotidien et unique horizon des poilus. Le rouge est utilisé pour représenter tour à tour le ciel tourmenté sous lequel les soldats partent au front (panneau de gauche), l’amas de viscères ensanglanté (panneau central) et le feu du champ de bataille (panneau de droite). L’artiste choisit

rayonnement de l'équipe nationale de rugby qui le pratique lors de chacun de ses match. Les parloes : Ka mate! Ka mate! Ka ora! Ka ora!  Je meurs ! Je meurs ! Je suis vivant ! Je suis vivant ! Tenei te tangata puhuru huru  C'est l'homme poilu Nana nei i tiki mai, Whakawhiti te ra  Qui fait briller le soleil à nouveau pour moi A upane! ka upane!  Un pas vers le haut, puis un autre A upane! ka upane!  Un pas vers le haut, puis un

Dans cette oeuvre le peintre utilises seulement des couleurs sombres , notament du rouge et du brun qui représente le sang , la violence et la mort . Les élément représentés : Sur le panneau de gauche on aperçoit des soldat qui porte l'uniforme des poilus . Ils avancent de dos dans la brume et forme une masse aveugle qui avancent vers le front et ses atrocités . Le panneau central lui contrairement au panneau de gauche est composé d'un arrière plan occupé par la représentation de ruines : restes

Seconde partie : interprétation. Otto Dix nous transmet son message a travers l’exagération de la scène qu’il a vu. En accentuant le côté horrifique et dégoutant du tableau, il veut choquer le public. ‘’Le poilu c’est celui qu’on admire mais dont on s’écarte’’ ‘’On a peur d’un poilu mais on le respecte pour ce qu’il a fait et endurer’’ En clair ces soldats sont des idoles pour beaucoup de personnes mais uniquement pour leurs actes et non pour leurs personnes. Dans ce cadre sombre, les personnages

lundi 21février 1916 vers 7 heures, un obus de 380 explose dans la cour du palais épiscopal de Verdun. 1300 obusiers ravagent la zone. L’infanterie allemande monte à l’assaut des lignes françaises. Certains soldats sont équipés d’un lance-flamme. Les poilus résistent à la première attaque. Philippe Pétain, commandant de la 11ème Armée, organise la riposte. Mais les attaques vont se renouveler pendant plusieurs mois. Il n’obtient pas de renforts mais les troupes sont renouvelées, et toute l’armée française

1934, s’inspirant du poème de J.S Bach d/ La joie explose et envahit Panturle devant l’accomplissement de sa destinée et sa communion avec le cosmos 2/ Une fusion entre l’homme et la terre a/ * Terre personnifiée « bonne volonté » l.20, « poilue » l.26 * Homme chosifié : enfant = « fruit » l.5, Panturle= « colonne » l.36 b/ L’homme devient élément de la nature * Panturle est un « mouton savourant la saladelle du soir » (l.14) « Le beau silence s’est épaissi en lui et autour

. Il y a 6 ans FOURMIZE FOURMIZE Meilleure réponse - Choisie par le demandeur C'est une expression qui remonte, si je puis dire, au début du XXe siècle, et plus exactement à l'époque du premier conflit mondial. Oui, les tranchées et les poilus. Bien donc à cette époque la vie était rude et les balles nombreuses comme tu le sais. Et un jour, un soldat en a pris une dans le derrière, et son copain a crié : il a pris une balle dans l'trou ! Et depuis, les hommes pour se changer les idées,

personnages sont donc représentés à taille réelle ce qui intensifie la force de l'oeuvre. *Décrire l’œuvre *Panneau de gauche: des soldats en armes portant sac au dos (les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. *Panneau central: l'arrière plan du panneau central

ligne continue de front de la mer du Nord jusque la Suisse. - de 1915 à 1917 la guerre de position ou guerre des tranchées. Les armées s'enterrent sur place et fortifient leurs positions pour tenir de chaque côté de front. Dans les tranchées, les « poilus » et les combattants ennemis connaissent des conditions de vie épouvantables et affrontent des formes de violences inconnues jusqu'à maintenant (tirs d'obus, utilisation de gaz asphyxiant). Les offensives ne permettent pas de grandes avancées et se