Poilu

de bataille où la mort et la cruauté règnent en maîtres. C'est une oeuvre figurative, car on peut reconnaître des éléments du réel. DESCRIPTION Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : l'arrière plan du panneau central

morale de la France en 1918. Quelle image avait-on des « poilus »? En 1918, après la fin de la guerre, la France est soulagé que ce massacre soit finit. Mais elle est pour autant bien consciente de la situation : des millions de morts, des villes a rebâtir, des blesser à soigner, des familles à retrouver, etc. Elle est en état de choc face à toutes ces destructions présentes et un élan de soutien les uns avec les autres apparait. Les poilus en France sont vus comme des héros. Des hommes forts et

rappelées. La Croix‑Rouge française forme 7 000 bénévoles.  Ces effectifs sont renforcés par des infirmières venues d’Angleterre, des États-Unis et du Canada. Outre les soins donnés dans des conditions pénibles, les infirmières apportent, comme des Poilus l’ont raconté dans leurs témoignages, la douceur qui console des hommes torturés par d’extrêmes douleurs. En reconnaissance, plusieurs d’entre elles sont décorées de la Croix de guerre et de la Légion d’honneur. LES VEUVES, UNE DIFFICILE RECONNAISSANCE

majeur de la Renaissance : le retable d'Issenheim de Mathias Grünewald. Descriptif du tableau : - partie de gauche : des soldats avec des armes portant un sac à dos ( on peut voir l'uniforme des soldats et leurs armes portées par les poilus ( surnom donné au soldat français durant la Première Guerre mondiale ) ). Ils tournent le dos aux personnes qui regardent le tableau et marche dans le brouillard. Ils forment une armée humaine sans qu'on puisse reconnaître les visages , une foule

cadre de l’histoire des arts nous avons étudié des œuvres portant sur la 1ère guerre mondiale de 1914 à 1918. Quels témoignages de la première guerre mondiale les artistes ont ils laissés? Nous étudierons d’abord le tableau d’Herter «Le départ des poilus» que nous comparerons au poème d’Alan Seeger «J’ai un rendez-vous avez la mort». Albert Herter est né en 1871 et est mort en 1950, il est d’origine américaine et appartient à une famille de créateur immobilier. Il étudie la peinture à New York puis

l'Autriche-Hongrie. Le 11 Novembre 1918, l'Allemagne signe l'armistice à Rethondes. II Une guerre "mondiale" et "totale" A La guerre est vécue dans les tranchées par les poilus... Docs étudiés: doc 3 p 23, sur les conditions de vie dans les tranchées, doc 3 p 24 à propos du front de Verdun, doc 5 p 23 à propos des mutineries. Le terme "poilu" est utilisé pour désigner les militaires français dans les tranchées. Les conditions de vie y sont en effet difficiles et l'hygiène est faible. Lors des assauts

Renaissance : Période entre le 15éme et le 16éme siécle 2 : ANALYSE DESCRIPTIVE et ANALYSE PLASTIQUE Description Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté

la guerre ! Au début l’uniforme du soldat est rouge donc très voyant et pas très résistant, puis par la suite il devient bleu marine avec un casque plus solide qu’un simple képi. On appelle les hommes qui partent à la guerre les poilus*, ils ont chacun un fusil a baïonnette. Le front se situe à l’est de la France et il s’étend sur plus de 800 Km. On appelle la première guerre mondiale la guerre des tranchées. Les femmes participent aussi à la guerre

mouvement sans fin et sans commencement, tous étant de dos. • Au premier plan, on distingue une roue de chariot qui est en partie dissimulé par la brume. • Au second plan, on aperçoit des soldats portant l'uniforme ( sac, casque et armes ) des poilus. Les jambes écartées des soldats prouvent qu'ils sont en mouvement. Les soldats sont de dos, on ne peut donc pas voir leur visage et leurs expressions. La file de soldats donne l'impression de n'avoir ni commencement ni fin. Les soldats forment ainsi

choix d’un nombre limité de couleurs renforce encore l’aspect désolé de la scène représentée, en accentuant le dramatisme de l’image. La couleur dominante est le brun, brun de la terre des tranchées, environnement quotidien et unique horizon des poilus. Le rouge est utilisé pour représenter tour à tour le ciel tourmenté sous lequel les soldats partent au front (panneau de gauche), l’amas de viscères ensanglanté (panneau central) et le feu du champ de bataille (panneau de droite). L’artiste choisit