Poilu

échec cuisant qu’ils ont connu lors de la bataille du Chemin des Dames le 16 avril 1917. l.15 : « Un seul devoir, et simple : demeurer avec le soldat, vivre, souffrir, combattre avec lui » : Depuis que les mutineries sont apparues, les soldats (les « poilus ») sont davantage respectés par les chefs militaires et par Clemenceau. Il veut remotiver les soldats car il a conscience que la victoire repose sur eux, et notamment sur leur forme physique et morale. C’est pourquoi Clémenceau effectue de nombreuses

Corrigé Brevet Histoire-Géo-ECJS Série Collèges 2012 Première partie : sujet au choix Premier sujet : histoire Questions Document 1 1) Les poilus vivaient dans des tranchées dépourvues d’hygiène, ils trainaient dans la boue et l’environnement était très dangereux puisqu’ils se faisaient régulièrement bombardés. Beaucoup sont blessés ou meurent dans ces tranchées : « boue jusqu’à la ceinture », « bombardement continuel », « les tranchées s’effondrent » Document 2 2) Pendant la Première

soldats dans les tranchées sont terribles : humidité, vermines, les rats, la faims, le manque d’hygiène… ●Le bilan de la guerre est lourd : près de 10 millions de morts, 6 millions de blésées : il s’agit d’une violence de masse. Un poilu : nom affectueux données aux poilus soldats français de la guerre 1914-1918. Une tranchée : un fossé creusé dans le sol destinée à bâtir abrité les combattants. Le front : la zone des combats. Une guerre totale : une guerre qui mobilise l’ensemble de la population

et accueille les soldats montant au front. Dans cette œuvre, Otto Dix utilise principalement des nuances de brun et de rouge. La couleur dominante est le brun, brun de la terre, des tranchées, environnement quotidien et unique horizon des poilus. Le peintre choisit le rouge car c'est une couleur organique, celle du sang, mais aussi pour sa valeur symbolique. En effet, dans notre culture, le rouge symbolise la violence et la mort. Les couleurs sont sombres, ternes et sales comme

Ta mère elle aime tellement le cul qu'on lui laisse des pourboires ! Ta mère est tellement grosse que quand elle s'allonge sur la plage les partisans de GreenPeace la remettent à l'eau en croyant voir une baleine échouée ! Ta mère est tellement poilue que quand elle va promener le chien, c'est elle qu'on carresse. Ta mère est tellement vieille qu'elle a connu Tabata Cash vierge. Ta mère est tellement conne, lorsque qu'on lui demande ce que c'est la ménopause elle croit que c'est une touche

cherche a déborder l’autre. De novembre, a décembre 1914 , la ligne de front se dressent de la mer du nord, jusqu'à la suisse , sur 700 km. • Poursuivont avec la guerre de position, qui eu lieu de 1915, jusqu'à mars 1918. Les conditions de vie des poilues dans les tranché sont effroyable, ils sont victimes de la boue, des poux, des rats, des odeurs, du bruits, de la fins et de la soif. La souffrance moral prend place, suite a une omnipresence de la mort, la peur des gazs, la mutilation, la souffrance

Autour des yeux : lunettes rondes, de soleil, ...lorgnons, monocle, lentilles de contact, cils longs, noirs, ... sourcils épais, minces, ... Le nez : long, en trompette, tordu, retroussé, poilu, crochu, large, cassé, proéminent, gros, petit, aplati, écrasé, rouge, Les oreilles : pointues, poilues, décollées, en chou-fleur, La bouche : tordue, grande, large, étroite, ouverte, souriante, autour de la bouche : lèvres rouges, gercées, fardées, Les dents: éclatantes, blanches, plombées

barbelés, mines….. Vie dans les tranchées par mots clés : savoir se servir des lettres de poilus pour reparler de la peur, du froid, de la boue, des rats et du manque d’hygiène, de la faim, de la soif, du bruit et de la peur. Livre et textes à connaître : Erich Maria Remarque : à l’ouest rien de nouveau (soldat allemand dans les tranchées, livre profondémment pacifiste, il sera condamné par les nazis). Lettre de poilus. Edition librio : recueil de lettres. Plusieurs documentaires de qualité. Visites des

peinture, qu’elle soit grasse ou maigre. Description détaillée : I. Les éléments iconiques (ce qui est représenté) Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté

indescriptible de tension nerveuse. Cette vie était pénible, dans la boue gluante et sans hygiène. Le manque d’eau pour la toilette et la saleté des latrines provoquaient des  maladies. Les soldats qui ne pouvaient se raser reçurent en France le surnom des « poilues ». L’Absence totale d’hygiène menait à une vie pénible. Les temps libre du soldat étaient divisées en deux parties. Celle ou tout lui était imposé dont la corvée, les patrouilles, les travaux. Et celle qu’il pouvait se réservait. Certains soldats