Point de fuite

partir de la tête du Christ vers les cotés et les coins du tableau. Point de vue mathématique : 
L'organisation du tableau est fondée selon la théorie du nombre d'or. En effet, la Cène est placée dans un dodécaèdre régulier, figure très liée à phi. "cosmogonie arithmétique fondée sur la sublimité paranoïaque du nombre douze." Cette oeuvre, tantôt surréaliste, tantôt religieuse, est principalement basée sur le mysticisme : point principal de l'oeuvre. C'est donc comme prévu, par les lignes droites

pour empêcher toute fuite d'air par le nez, tout en maintenant la tête en arrière. • Avec la main placée sous le menton de la victime, ouvrez légèrement sa bouche tout en maintenant son menton soulevé, en utilisant la "pince" constituée du pouce placé sur le menton, et des deux autres doigts placés immédiatement sous sa pointe. • Après avoir inspiré sans excès, appliquez votre bouche largement ouverte autour de la bouche de la victime en appuyant fortement pour éviter toute fuite. • Insufflez progressivement

a pris la fuite. Vous notez ce qui s’est passé pour les raconter à la police. (70 mots) Il était 9 heures. C'est exactement l'heure de pointe d’aller au travail. Quand j’ai passer devant le supermarché de Carrefour à vélo. Soudain, un enfant d’environ 5 ans a précipité dans la rue. J’ai fait le frein urgent. En ce moment, un automobiliste m’a renversée avec une vitesse rapide. J’ai tombé à la terre, blessé la jambe de droite. L’automoliste n’a pas cessé de rouler, il a pris la fuite avec une vitesse

d’abord la perspective du tableau donnée grâce au trompe l’oeil du plafond à caisson et des murs latéraux tapissés. Pour la peinture, Léonard de Vinci a incisé sa toile pour tracer les lignes de fuite de la perspective, et ainsi, un trou au niveau de la tempe droite du Christ correspond au point de fuite principal. La place de Jésus dans la tableau, centré, est très importante et tout à été mis en oeuvre pour que le Christ prédomine dans la Cène de Léonardo de Vinci, qui a également fait que son

Grieux (bonne famille, prêtre) / Manon (milieu modeste)· Milieu œuvre, fin 1er récit enchâssé, moment clé : accomplissement acte irréversible. DG incarcéré dans prison Saint-Lazare / Manon hôpital Salpêtrière · Récit évasion de DG selon son propre point de vue. Personnage sans scrupule ni remord, inconscient, prend chemin criminalité Mvt 1 : les menaces et la prise en otage du père supérieur • texte narratif : la première étape de l’évasion de DG, doit récupérer clés · Temps récit · Enjeu centrale

regards vers le centre de l'œuvre c'est-à-dire le bras tendant les glaives. Le moment crucial, prétexte du tableau. Les frères Horaces prêtent serment à leur père de sacrifier leur vie pour la patrie. Les lignes de fuite du carrelage au sol et des murs aboutissent à ce point de fuite central où culmine la tension dramatique. La composition du groupe des hommes est tendue, construite à base d'obliques. Il s'en dégage force et virilité. Le groupe des femmes construit à base de courbes et d'arabesques

comédie. A travers ces différentes références, on éveille la connaissance du visiteur. La légende de Phèdre est bien connue, c’est pour cela que l’auteur de ce spectacle veut surprendre le publique en précisant des événements inattendus, comme la fuite d’Hippolyte dès le début de la pièce, « Et quitte le séjour de l’aimable Trézène » vers 2, on relève aussi tout le champ lexical du départ, « je pars » vers 1, « fuirai ces lieux » vers 28, « exil » vers 40, une répétition du verbe fuir, «  vers

d’attaque Angle d’incidence Vent relatif Fa = ½ ρ V S Ca 2 ___________________________ ___________________________ Zone de dépression ___________________________ Tx = ½ ρ V2 S Cx ___________________________ CP Bord de fuite Zone de surpression ___________________________ Centre de poussée « CP » Son centre d’application s’appelle : ___________________ COMPOSANTES DE LA FORCE AERODYNAMIQUE (Fa) La portance____________________________________________________________________________________

désespoir encore en délibère ? Lève les yeux, perfide, et reconnais ce bras Qui t’a déjà vengé de ces petits ingrats ; Ce poignard que tu vois vient de chasser leurs âmes, Et noyer dans leur sang les restes de nos flammes. Heureux père et mari, ma fuite et leur tombeau Laissent la place vide à ton hymen nouveau. Rejouis-t’en, Jason, va posséder Créuse : Tu n’auras plus ici personne qui t’accuse ; Ces gages de nos feux ne feront plus pour moi De reproches secrets à ton manque de foi. Jason Horreur

qu’il perçoit, une vision de l’altérité. Il s’agit d’abord du mari jaloux dont la perception obéit à un certain narcissisme. Plus qu’il se voit, le personnage s’identifie à une représentation transfigurée positive de lui-même : " Il ne vieillissait point " (l. 4), " il se plaisait à sa personne, satisfait de sa tête un peu plate " (l. 8-9) ou encore : " Comme il avait épousé une femme plus jeune que lui de quinze années, ces coup d’œil fréquents aux glaces, le rassuraient. " (l. 13-15). Il reste d’autre