Pointe-Sauvage

car c’est l’ingénu qu’on veut entendre. L'ingénu est le porte-voix de l'auteur ; Voltaire expose son point de vue sur le théâtre Double allitération au début, Jeune Ingénu qui marque l’insistance Paradoxe : la prison est le lieu où se développent les capacités de l'Ingénu L'Ingénu n'a pas été influencé par l'éducation => individu plein de bon sens face au texte ; il représente Le Bon Sauvage « La dernière scène m'a beaucoup ému » : concession de la part de l'Ingénu L'Ingénu est modeste et reconnaît

nature d’où il puise son bonheur ; il se contente de ce dont il a besoin uniquement et vit au service de sa collectivité. A l’inverse, l’homme civilisé est opprimé par de nombreuses règles qui encadrent sa société et ces règles sont nombreuses au point de se contredire elles-mêmes et d’amener les européens à enfreindre la loi. Le manque de liberté est donc emblématique de la société européenne présentée dans cet ouvrage qui donne la primauté à l’état de nature. La violence, la colonisation : Cette

se faire avoir. II/ Forces et faiblesses de la polémique de Rousseau à propos de l'apprentissage des fables On remarque que Rousseau a un ton très polémique. Son désir de nous prouver la justesse de sa thèse comprend certes des points forts, mais aussi des points faibles. a) La force de cette polémique est dans le but que Rousseau cherche : l'éducation On remarque un ch.lex. Abondant de la morale (l.3-4) : « morale », « vice », « vertu », « défaut » « se corriger »... Il n 'hésite pas

Pour plusieurs historiens, la Renaissance aurait eu son point de départ conventionnel en 1492 quand Christophe Colomb découvrit l’Amérique. Ce Nouveau Monde fut en effet un levier puissant pour faire évoluer le paradigme de la civilisation judéo-chrétienne et contribuer aux fondements de l’humanisme naissant. Les trois premiers textes du corpus se situent dans le siècle qui suivit la rencontre des Amérindiens : Jean de Léry relate quelques-unes de ses expériences dans l’Histoire d’un voyage fait

      De là l'homme peut  répondre à la question « qui suis­je? » par « je suis un  être pensant conscient de mon existence et unique », c'est une certitude, je suis  bien un être humain parmi d'autre. La réponse apportée semble donc exacte de  ce point de vue.       Puisque l'homme se sait lui­même qu'il a conscience de son existence et du  moment où il a connaissance de soi, il va pouvoir forger sa propre identité au  cours du temps et pourrait alors lui permettre de répondre plus exactement  à la 

et mériterait que ce modèle hypothético-déductif soit appliqué à d'autres domaines: il veut fonder la Science Universelle (appliquer les mathématiques à la physique ou la biologie par exemple). Avant de trouver la vérité, Descartes recherche un point de départ: une vérité. Un fait incontestable duquel il peut déduire toute la science. Il part en Hollande pour s'éloigner la censure Romaine. En 1633, procès de Galilé devant l'acquisition, on le mènera à parjurer sa théorie. Au même moment, Descartes

agrémenté ce travail de quelques analogies à la pensée de Socrate, d’Aristote et surtout de Platon qui ont, bien avant Hobbes et Rousseau, abondamment traiter de la problématique du passage de l’état de nature à l’état social. Le premier point sur lequel il est important d’insister concerne la relation que l’homme naturel entretient avec ses semblables. C’est là que les divergences entre les deux auteurs apparaissent. En effet, si pour Rousseau l’homme à l’état de nature s’indiffère de ses

aux critiques que les indiens adressent aux français. L’ouverture intellectuelle de Montaigne se démarque donc nettement de l’attitude de ses contemporains. II. Un texte critique : 1. Critique de la candeur des Cannibales - Montaigne pointe l’inconscience des cannibales qui se sont « laissés piper au désir de la nouveauté » (l.5) et ont « quitté la douceur de leur ciel pour pouvoir voir le nôtre » (l.6) prédisant que de ce commerce naîtra leur ruine. - La 1ère phrase possède ainsi

femelle: « Dieu dit: « Faisons l'homme à notre image, comme notre ressemblance, et qu'ils dominent sur les poissons de la mer, les oiseaux du ciel, les bestiaux, toutes les bêtes sauvages et toutes les bestioles qui rampent sur la terre. » « Dieu créa l'homme à son image, À l'image de Dieu il le créa, Homme et femme il les créa. »[2] Dans la seconde version, la femme fut

revenant sur ses paroles, il a pu me dire que c'est « ce que papa dit ». Cette éducation ne permet pas aux enfants de se construire une véritable pensée dès le plus jeune âge. Il faut attendre des rencontres avec les autres pour qu'il ait différents points de vue et puisse se mettre à penser par lui-même. Lors de son arrivée dans son parcours scolaire, l'éduqué est mis en face de méthodes qui sont les mêmes pour tous. Il suit un programme existant depuis longtemps et pouvant être modifié en fonction