Points Communs Et Différences Classiques Néoclassiques

cette réalité, qui va prendre la forme mathématique (comme par exemple l'utilisation des dérivées pour résoudre les problèmes de maximisation). A partir de ces décompositions-recomposition, le but est d'établir une loi ou une théorie économique (la différence repose dans le degré de confiance que l'on peut placer dans une idée. Lorsque l'on sera quasiment certain de ce que l'on affirme, on affirmera qu'il s'agît d'une loi économique. Lorsque le degré de certitude est moins élevé, on affirmera qu'il s'agît

contre la monnaie. La monnaie vaudra au départ elle-même son poids pour arriver à la dématérialisation de la monnaie. « Toute chose égale par ailleurs » : beaucoup de variables conditionnent un phénomène (prix, occasion…) : Loi de la demande. Henri Point-carré : « La science c’est savoir pour prévoir afin de pouvoir. » Élasticité de la demande par rapport au prix : indique en % de combien varie la quantité d’un produit par rapport au prix : l’INSEE mène des enquêtes : Ex : les fumeurs : si les cigarettes

partielles ou inadaptées Les auteurs classiques : la « lutte » contre l’état stationnaire Les économistes classiques écrivent aux débuts de la révolution industrielle en Angleterre. S’ils sont conscients des transformations majeures qui se déroulent sous leurs yeux, ils n’appréhendent pas naturellement la croissance comme un processus de longue période, susceptible d’améliorer durablement les niveaux de vie de la population. Néanmoins, la pensée classique en la matière est caractéristique

Economie Internationale Chapitre 1 : Les théories du commerce international I. Des pré-classiques aux néoclassiques : Analyse de base 1. Les mercantilistes Auteurs à retenir : Montchrétien, Bodin, Colbert, Ortiz, Hume, Petty, Cantillon Entre le XVème et le XVIIIème siècle, après la Renaissance. Le mercantilisme est présent dans toute l’Europe. Remplacée par la doctrine classique au XIXème. A. de Montchrétien : rôle économique de l’Etat est celui de l’enrichissement du royaume, il à un concept

d’économie des organisations on range des approches très diverses ; trois grands courants sont représentés : · Approche contractualiste  : Les approches contractualistes de l'organisation renvoient à la branche néoclassique de la nouvelle économie institutionnelle (on parlera de « théorie standard étendue ») : l'entreprise y est conçue comme un « nœud de contrats »5 à partir desquels est organisé la production. On doit la majorité à Ronald Coase ainsi qu’à Oliver

INTRODUCTION: * première réflexion économique: ANTIQUITE * terme économie: deux mots grecs: - OIKOS: maison -NOMOS: ordre; loi; règle = donc l'économie est conçue du point vu étymologique comme l'administration ou gestion de la maison = les structures sociaux de cette époque est différent de la nôtre et le rapport marchand n'existait carrément pas et les entreprises pour la plupart avaient de dimensions artisanales • Dans l'atmosphère chrétienne artisanal: (l’économie

nature de l'environnement. Celles-ci reconduisant ainsi, d'une certaine façon, l'opposition à l'âge classique entre la philosophie naturelle et la philosophie morale (qui incluait aussi la sociologie, la politique, l'économique, etc.). L'expression anglaise de « science sociale » ferait sa première apparition en 1824, dans un livre du coopératiste William Thompson (en)[1]. Le problème principal, et commun, qu'ont à affronter les sciences dites sociales ou/et humaines est celui de la méthode à suivre

fiduciaire) pour stimuler la production de biens consommables qui devient la vraie mesure de la richesse. Le rôle de la monnaie va s’estomper jusqu’à devenir neutre. Cette transition est assurée par des mercantilistes tardifs qui sont sur certains points des anti-mercantilistes.   4 - La critique du mercantilisme et les premiers efforts de systématisation de la pensée économique. La naissance de la pensée quantitative Premières critiques partielles du mercantilisme, approches nouvelles. Apparition

Du point de vue idéologique, on peut distinguer 3 courants principaux dans la formation de cette science : - l’économie politique néoclassique fondée sur l’action régulatrice des marchés, une faible intervention de l’Etat, la liberté d’entreprendre et d’accumuler. - l’économie marxiste qui démontre le degré d’exploitation auquel sont soumis les travailleurs par le capitalisme et l’impérialisme et qui cherche à construire les bases économiques du socialisme. - l’économie keynésienne, marquée par

microéconomie = dure car trop formalisée Elle s’est mathématisée et coupée de ses racines historiques. Aujourd’hui c’est la théorie néoclassique qui est dominante en microéconomie (recherche, enseignement) Prix nobels d’économie = néoclassiques Classiques : Smith, Ricardo Ils démontrent l’avantage du libéralisme économique avec une démarche nouvelle (néo) Les classiques se concentraient sur les groupes sociaux, les néo sur l’individu (individualisme méthodique). Théorie de la main invisible : dans