Poiret

Le roman se passe à Paris en 1819 dans une pension miteuse qui porte le nom de Maison Vauquer. Dans ses murs se côtoient des pensionnaires et des habitués du quartier. Ils ont pour nom Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac et le père Goriot. Quelques personnages émergent de ce groupe de pensionnaires : Vautrin, mystérieux pensionnaire d'une quarantaine d'années qui se fait passer pour un ancien commerçant; Eugène de Rastignac

François Coty, homme d'affaires visionnaire, innove à tous les stades de la conception d'un parfum, notamment grâce à une association avec le verrier René Lalique pour la conception des flacons. En créant la marque Les Parfums de Rosine en 1910, Paul Poiret lance la génération des couturiers-parfumeurs. Pour le parfum, l'important est de délivrer un message : des parfums concepts cherchent à séduire la femme tour à tour sophistiquée et provocante, naturelle et romantique. À l'image de Claude Montana

Situation Ce texte s’inscrit comme le précédent dans de présentation générale des lieux et des personnages : la maison, surtout les deux pièces au rez-de-chaussée, puis madame Vauquer, Michonneau, Poiret, Couture avec Victorine, enfin Vautrin, sans oublier les domestiques, Christophe et la grosse Sylvie. Le lecteur connaît maintenant le cadre et chacun des habitants.Rastignac déjà été nommé et son portrait physique esquissé (pages 36-37) : « Eugène de Rastignac avait un visage tout méridional,

a une cinquantaine d'années, Maître Derville, l’avoué du père Goriot, Sylvie la cuisinière de la pension et Christophe, jeune garçon travaillant à la pension Vauquer, Madame Couture, veuve d'un commissaire-ordonnateur, Victorine Taillefer .Poiret, un pensionnaire rentier épris de mademoiselle Michonneau Frédéric de Nucingen, époux de Delphine Goriot Henri de Marsay, l’amant de Delphine de Nucingen Maxime de Trailles, amant d'Anastasie de Restaud Il a entendu parler de ; Marquis d'Ajuda-Pinto

Université Paris 1 Panthéon - Sorbonne Master 2 Sciences du Management Spécialité Logistique Nicolas POIRET Quelles stratégies logistiques innovantes et durables pour le transport de marchandises en ville ? Mémoire de fin dʼétudes Maître de mémoire : M. Patrice VOL PhD Professeur associé Paris 1 Panthéon - Sorbonne Année universitaire 2009 / 2010 Les stratégies logistiques innovantes et durables pour le transport de marchandises en ville Remerciements Je tiens tout particulièrement

complet : « GABRIELLE CHASNEL » ; la boutique ne désemplit pas. En 1915, à Biarritz, elle ouvre sa troisième boutique et première vraie maison de couture. Suivant sa seule inspiration, elle raccourcit les jupes et supprime la taille. A l'instar de Paul Poiret qui supprima le corset en 1906, elle libère le corps de la femme. Ses boutiques bénéficient de la clientèle de toute la société élégante qui s’est repliée pendant la guerre dans ces deux stations balnéaires. Naissance d'un style : « la reine du

propriétaire de la pension Vauquer, qu'elle tient depuis une quarantaine d'année. Son affaire ne marche plus très bien. Elle a deux employés : Christophe et Sylvie.      Mademoiselle Michonnau : C'est elle qui dénonce Vautrin, avec la complicité de Poiret. Pour cela, elle le drogue et le frappe sur l'épaule pour voir réapparaitre son immatriculation.       Bianchon : Jeune étudiant en médecine, c'est un bon ami de Rastignac. Il s'occupera de Goriot durant ses dernières heures et paiera une partie

une association de hauts voleurs, de gens qui travaillent en grand, et ne se mêlent pas d'une affaire où il n'y a pas dix mille francs à gagner » selon les renseignements du chef de la police M. Gondureau. La délation Mademoiselle Michonneau et M. Poiret ne seront pas en reste dans cette course à la richesse. Eux, ils ont choisi leur formule, dénoncer Vautrin alias Jean Collin ou Trompe-la-Mort pour empocher la mise promise à celui qui aidera à confondre le bandit. Il fallait s’y attendre de la part

est vrai que l’on se parfume de plus en plus jeune par coquetterie. Si le parfum est apparu comme un produit de luxe aux débuts de son lancement, c’est principalement en raison des marques hautes couture qui ont étendu leur marque aux parfums. Paul Poiret, qui a déjà révolutionné le monde de la couture, s’attaque à la parfumerie devenant ainsi le premier couturier-parfumeur avec les parfums « Rosine ». Suivent ensuite des couturiers tels que Chanel, Dior, Nina Ricci, Kenzo, etc. qui commencent à offrir

mode, Baker lancera en 1926 le Bakerfix, pommade plaquante, qui connaitra un véritable succès. Pour les couturiers des années 20, préoccupés de libérer le corps de la femme, Joséphine devint le mannequin idéal. Le couturier qui la sculpta fut Paul Poiret, plus généralement connu comme « celui qui tua le corset ». Le vêtement se composait désormais d’une tunique légèrement attachée aux hanches, glissant le long du corps. La mode fut à la simplicité. Dans les années 1920, le charleston fut un excellent