Poliade

structurants: -Le Centre urbain (édifices publics, valeurs symboliques ou fonctionnelles) parmi ces édifices ---l’Acropole qui désigne la partie la plus haute de la cité. Elle est le centre religieux dans lequel est établi les sanctuaires, les « Poliade », divinités protégeant la cité. Acropole qui pouvait également être un centre politique. -L’Agora désigne un lieu de rencontre, un lieu où se remplissent les transactions commerciales, les débats politiques, assemblées populaires, centre religieux

photographie aérienne de l’Acropole qui permet de localiser les principaux lieux dédiés à Athéna, la patronne de la cité d’Athènes. Le document 2 est prière adressée à la déesse qui permet aux élèves de comprendre l’importance de la divinité poliade pour les habitants d’Athènes. Le document 3 sont deux fragments de la frise des Panathénées, aujourd’hui conservés dans des musées, qui montrent plusieurs participants à la procession : des métèques porteurs d’hydries à gauche, un magistrat :

(et que Salammbô énumère pieusement dans sa prière, faisant acte de foi et d’érudition)355, celui que Maury lui a indiqué comme le plus « local », le plus « indigène », le plus propre, finalement, à « corporifier » Carthage : « C’était la divinité poliade de Carthage, comme Minerve était celle d’Athènes... Le titre de Notre maîtresse, Rabbetna, que Tanit reçoit constamment sur les monuments épigraphiques, indique effectivement qu’on la regardait comme la divinité souveraine de Carthage par excellence