Poliade

probablement par le rassemblement d'une collectivité de soldats, de personnes capables de défendre le territoire (citoyen-soldat-paysan). Elle a aussi un caractère religieux. En Grèce, la religion imprègne la vie de la Cité. On parle de cultes poliades: c'est un culte civique. Chaque cité a ses Dieux et toutes les opérations de la vie de la cité sont précédées par des sacrifices. 3-5- La réflexion: La Cité antique n'est pas l'Etat moderne. Qu'est-ce que l'Etat moderne? C'est l'Etat tel

« sanctuaire du grand Apollon » situé sur l’île de Délos ; début du culte consacré à Démétère dans la cité d’Eleusis. A l’époque de Pisistrate, vont se développer les 2 cultes principaux d’Athènes : la déesse Athéna (= celle qui protège la ville ; poliade) ; grandes fêtes Panathénées qui donnent lieu à de grands cortèges, concours d’athlétisme, de poésie, de musique… ; le culte de Dionysos (534) qui donnent lieu aux grandes Dionysies. On a à Athènes des cultes publics organisés par la cité qui donnent

Ils pouvaient également sauver les humains. Il y a un culte au niveau de la famille mais aussi au niveau de la cité, c’est à dire que la vie politique s'accomplit toujours sous la garantie et la vocation d'un Dieu. On va parler de Dieu poliade. Les Dieux poliades sont des Dieux attachés à une cité. De plus, dans le calendrier public, il y a des jours réservés aux cultes des dieux. C’est un laïque au sein de cités grecques qui s’occupent des questions religieuses. Puis plus tard, ce sera un magistrat

Hestia : fille de Cronos et de Rhéa, elle est la déesse du Foyer et du Feu sacré. Il y a des variantes et Dionysos par exemple est une très grande divinité dans quelques cités. La divinité la plus importante dans une cité est une divinité poliade. C- Les Héros A côté de ces Dieux il y a des héros/héroïnes – des hommes ou des femmes qui ont été divinisés après leur mort pour service rendu de leur vivant à leur communauté. Les héros font l’objet d’un culte. Certains sont devenus très

composé de maisons privées d’édifices publics auxquels sont attribués des valeurs fonctionnelles. Acropole au sens littéral : la partie la plus haute de la cité. Symboliquement l’acropole est le centre religieux dans lequel sont établies les divinités poliade cad qui protègent la cité. L’acropole dans certaines cités pouvait être un centre politique. L’agorah, lieu de rencontre, ou se font les transactions commerciales, les débats politiques. Dans de nombreuses cités, c’est dans cette agorah qu’ont

composé de maisons privées d’édifices publics auxquels sont attribués des valeurs fonctionnelles. Acropole au sens littéral : la partie la plus haute de la cité. Symboliquement l’acropole est le centre religieux dans lequel sont établies les divinités poliade cad qui protègent la cité. L’acropole dans certaines cités pouvait être un centre politique. L’agorah, lieu de rencontre, ou se font les transactions commerciales, les débats politiques. Dans de nombreuses cités, c’est dans cette agorah qu’ont lieu

divinităţi poliade. în fiecare oraş sălăşluiau anumiţi zei . Numele multora dintre aceste divinităţi sunt astăzi uitate; numai din pură întâmplare s-a păstrat amintirea zeului Satrapes, ce tutela oraşul Elis, cea a zeiţei Dindymene, din Teba, amintirea zeiţei Soteria, din .ăîgium, a lui Britomar-tis, din Creta, a zeiţei Hyblaea, din Hybla. Numele unor zei ca Zeus, Athena, Hera, Jupiter, Minervă, Neptun, ne sunt mai cunoscute, şi ştim că adeseori se refereau tocmai la aceste divinităţi poliade. Dar faptul

composée d'un centre, de faubourg, d'un ou plrs ports. Le centre urbain regroupe des edifices publiques, il est au coeur de la vie sociale. L'acropole ( la partie la plus haute de la cité) est un centre religieux dans lequel sont etablit des divinité poliades = les divinités qui protegent la cité. L'agora est avant tout un lieu de rencontre ou s'exprime le commerce et un lieu de debat politique. Cest a l'agora que se reunissent les assemblées du peuple. Lieu politique et religieux. Des rempart delimite

déjà la langue grecque se précise ainsi que s'affine l'esprit propre à cette civilisation. Des petites royautés ( basileia ) comprennent des clans ( genos, pluriel : génê, 'YSV1l ). Enfin, apparaissent lentement les cités ( 1toÂ.etç ) et 1'esprit poliade particulier au génie grec. Deux grandes puissances - si l'on omet Sparte puis la civilisation punique de Carthage - vont occuper la sphère méditerranéenne : la Grecque (Ve-ille s.) et ensuite la Romaine (à partir du ile s. av. n. è. jusqu'au début

y a déjà une religion à Rome qui est fondé sur le paganisme. A. LA RELIGION DANS LA ROME PAÏENNE Elle est fondée sur le paganisme qui reconnait le culte de plusieurs Dieux. Ces cultes représentent un caractère très marqué, c’est le cas des cultes poliades qui sont rendus aux Dieux protecteurs de la Cité. Un culte d’Etat est organisé sous l’autorité du Roi et celle du Grand pontife. La religion romaine a pour but de protéger la Cité de Rome, d’obtenir la prospérité, la victoire dans les guerres et