Poliade

démocratie directe. L'un des premiers travaux de sera de reconstruire les maisons des Dieux et des habitants, les bâtiments, après le ravage de Xercès. Ils vont donc on construire une acropole (une cité en hauteur) avec des temples dédiés aux dieux et à Poliade (garante de la cité). La garante de la cité à Athènes c'est Athéna. Les temples ne sont pas comme nos églises, ils sont sacrés, les humains ne peuvent donc pas y entrer. Une statue d'Athéna représente sa présence à l'intérieur du temple. C'est une

pouvaient être que des dieux, mais ils restent sans contact avec les hommes et n'interviennent pas dans leur vie. Ils n'ont donc pas besoin de témoignages pieux. Les grecs avaient une forme humaine, ils s'attachaient à un lieu ou à une cité. (divinités poliades). Les cités considèrent leur religion comme l'expression même et le garant du pacte social. Cette anthropomorphie explique dans une très large part le développement de la structure. On adore un pieu qui d'informe est devenu sculpté à l'image du

(Socrate = dernière victime de ces procès intentés contre des citoyens qui mettent en péril la Cité) Paradoxe : religion grecque polythéiste (libre) pas de dogmes Religion civile, sans dogme, qui s'exerce collectivement, pas de culte privé (divinité poliade). A aucun moment il n'y a de rapport intime entre l'homme et son Dieu (→ monothéisme). → étonnant de parler d'impiété - Anaxagore (physiocrate) : lune planètes ne sont pasdes divinités Impiété → contenir les idées, afin de ne pas saper les fondements

être obéit .Pour être obéit il faut obtenir une adhésion, un consentement, il faut donc fonder le pouvoir pour justifier l’obéissance qui lui est due. On peut ainsi vouloir fonder l’autorité en dieu ou en référence au divin. Ex.1 les divinités poliades (protectrice de la cité : comme Athéna pour Athènes) dans l’Antiquité grecque. Ex.2 la monarchie de droit divin ( cf. Bossuet) Ainsi la politique se présente comme une administration du sacré, ie de l’inviolable, ce à quoi on s’interdit de

également sauver les humains. Les Dieux se battaient entre eux. Il y a un culte au niveau de la famille mais aussi au niveau de la cité càd que la vie politique s'accomplit toujours sous la garantie et la vocation d'un Dieu. On va parler de Dieu poliade. Dieux poliades = dieux attachés à une cité. Dans le calendrier politique, il y a des jours réservés aux cultes des dieux. Côté romain: en matière religieuse, ils n'ont pas été originaux. Elle est fondée sur un panthéon. A Rome, il n'y a pas de mythologie

territorial : la cité se constitue comme un corps civique mais aussi comme un territoire polarisé sur un chef-lieu. — Un élément religieux On peut le décomposer en deux. D'une part, le développement de divinités et de cultes liés à la communauté (poliades), qui remplacent et/ou s'ajoutent aux anciennes pratiques familiales et tribales (chasses, sacrifices, banquets). Cependant, c'est peut-être plus une conséquence qu'une cause du mouvement vers la cité. D'autre part, le développement des grands sanctuaires

des archontes. La cité conservait soigneusement des archives administratives et législatives entreposées dans le sanctuaire de Dionysos. Outre Dionysos, les principales divinités honorées sont Déméter, lors des Thesmophories, Apollon, la divinité poliade, ainsi qu'Athéna Épipyrgitis et Aphrodite. La cité est célèbre pour ses intellectuels, et notamment ses philosophes : Protagoras, Leucippe, Démocrite, Anaxarchos sont tous originaires d'Abdère. La population de la cité est peut-être comprise entre

« IUS » des règle émanant des divinités « FAS ». Droit laïc à Rome. Différents cultes non-absents de la vie de la citée. Civil et religieux imbriqués l'un dans l'autre. Citée Romaine a ses propres dieux qui veille sur la citée. Ce sont des divinité poliades. On voit alors apparaître un culte officiel. Assuré d'abord par le roi puis par le grand pontife (chef collège des prêtres). Principaux dieux : « Jupiter, Junon → moissons, et minèrve → justice » Culte officiel rendu sur le Capitole, archive et trésor

la cité latine pré-chrétienne postérieurement) la religion organise le lien social. Puis, la cité se faisant intégrante, des croyances multiples cohabitèrent. Chaque citoyen a ses dieux personnels, dans une cité qui a les siens propres (les dieux poliades) et dont la vocation est de préserver le salut commun. Progressivement, le conformisme religieux laisse la place à des lois communes, afin de favoriser la coexistence de tous. La religion de la cité aura alors une fonction civique dépourvue de dogmatisme

souvent. Le droit Romain est cependant plus formaliste. Chapitre IV : la christianisation de l'empire • • L'empire Romain est transformé par le changement religieux qui se produit au cours des premiers siècles. Les religions de l'antiquité étaient poliades c'est à dire particulière à chaque pays. Chaque peuple a sa religion. Personne n'envisage d'en changer. Chaque peuple ne nie pas l'existence des Dieux des autres. ( Romains et Grecs ont les mêmes dieux. Juste les noms qui changent ) ex : Bacchus