Politique économique

SOMMAIRE REMERCIEMENTS P INTRODUCTION P I- LES ACTES DE GESTION COURANTS DES ENTREPRISES PAR UN EXPERT COMPTABLE DES DIVERS FORMES SOCIETAIRES P A- Les enjeux économiques du traitement comptable de sociétés P B- Les liens étroits entre comptable et le traitement juridique de sociétés P II- LE TRAITEMENT JURIDIQUE COMPLEXE D’UNE INFORMATION COMPTABLE P A- L’analyse juridique de la situation comptable d’une entreprise

| | | |DAO : | | | | | | | |Document de politique Economique et Sociale | | | |DPES : |

recette. => rapport entre le besoin et la demande 2. Les différents niveaux d'analyse 5. Économie politique MACRO 4. Source économique 3. Économie d'entreprises 2. Gestion MICRO 1. Comptabilité Politique « POLIS » => cité. On dit que l'économie est politique si elle dépend de la culture. => La politique économique est donc l'action de l'État

Le
problème
c’est
que
les
individus
en
veulent
toujours
plus.
Si
les
ressources
sont
 limitées,
les
besoins
sont
illimités.
Cette
réflexion
est
à
l’origine
d’un
grand
débat.
Le
 rapport
Stiguitz
présente
ce
débat.
 
 
 Nos
économies
sont
tournées
un
objectif
actuel
:
la
croissance
économique.
 
 En
général,
l’étude
de
l’économie
se
divise
en
deux
branches
:
 
 • La
microéconomie
:
théorie
du
comportement
de
l’individu
‐>
échanges

 objectif
 principal
:
 l’étude
 des
 marchés.
 L’objectif
 de
 la
 théorie
 des
 marchés
 est
 d’expliquer


------------------------------------------------- Economie Générale  Chapitre 1 : Introduction à l’analyse et aux idées économiques 1) L’économie en tant que science Définition : Il ne s’agit pas du système global d’échange, de consommation, de production dans lequel vit une collectivité (au sens de l’économie française) mais de la discipline scientifique appelée parfois science économique. 1.1) La place de l’économique au sein des sciences On peut classer les sciences en différentes

peuvent parfois être incompatibles. Introduction : Chaque pays possède sa proprestratégie afin d’améliorer la santé de son économie. Plusieurs outils sont utilisés afin d’en mesurer la performance économique d’un pays. Le carré magique est un de ces outils qui permet de mesurer laperformance économique d’un pays. En quoi cet outil de mesure peut-il être qualifié de magique ? Nous allons voir d’abord la définition du carré magique et ensuite comment ses objectifs sontincompatibles. I- Définition

conséquences ultimes. On constate divers facteurs de la famine comme la sécheresse et autres conditions climatiques défavorables dans de nombreux pays qui est l'une des causes principales, mais aussi les conflits armés, l'agitation politique et des politiques économiques inadaptées. Tout d'abord, on étudie la famine d'aujourd'hui au niveau des conditions climatiques. On remarque que cela fait maintenant plusieurs années que certaines régions d'Afrique ne bénéficient pas de précipitations importantes

meilleur choix pour un pays développé en ce début du XXIe siècle ? Introduction : Le discours dominant des institutions internationales (OMC) et de la plupart des gouvernements est favorable au libre-échange. A l'opposé, certains mouvements politiques, des associations parfois très actives (ATTAC, la Confédération paysannes de José Bové, etc.) dénoncent les excès inadmissibles de ce libre-échange. Et paradoxalement, l'OMC a le plus grand mal à éviter que de nombreux pays recourent, sous les prétextes

l’environnement L’analyse de l’évolution de l’environnement Les influences du macro environnement Politique Économique Analyse PESTEL Socioculturel Technologique Légal Ecologique Le modèle PESTEL Politique • Stabilité gouvernementale • Politique fiscale • Régulation du commerce extérieur • Protection sociale Économique • Cycles économiques • Évolution du PNB • Taux d’intérêt • Politique monétaire • Inflation • Chômage • Revenu disponible Technologique • Dépenses publiques de R&D • Investissements

aux licenciements (dans le cas contraire, l'entreprise renonce à embaucher par crainte de ne pas pouvoir licencier quand elle l'estimera utile) et l'absence d'intervention de l'Etat, par ex à travers la fixation d'un salaire minimum (SMIC) et une politique monétaire et budgétaire active. Le chômage Keynésien désigne une situation de chômage où les entreprises renoncent à produire faute de débouchés : c'est un chômage lié au niveau insuffisant de la demande. Les Keynésiens s'opposent à cette idée