Politique Monétaire Chinoise

sur la politique monétaire américaine et chinoise et d’analyser les conséquences de celles-ci au niveau de la stratégie de développement de l’économie mondiale. Et donc de tenter de répondre à la question suivante : « Les politiques monétaire menées par les Etats Unis et la Chine, cette dernière décennie, sont-elles des accélérateurs ou des freins à l’économie mondiale ? »  Mais pour cela il nous faut d’abord définir certaines notions importantes : Les instruments de la politique monétaire

Le régime de change, ou régime de taux de change, d’une zone monétaire fait partie de la politique monétaire adoptée par les autorités monétaires, qui détermine en grande partie le comportement du taux de change de la monnaie vis-à-vis des autres devises. Les politiques de change des principales puissances économiques (hors Chine) sont des régimes de changes flottants (appelés aussi régime de changes flexibles). Ce régime flottant suit son court sur la tendance du jour, on parle de dépréciation

monnaie chinoise s’apprécie et ce déprécie donc en fonction de l’appréciation ou la dépréciation du dollar lui même par rapport à l’euro, au yen, ou à la livre sterling. Les experts internationaux sont d’accord pour dire que le Yuan est actuellement sous évalué, et à penser que le dollar vaut environ 2 yuans et non pas 6.7 comme les cours officiels l'indiquent aujourd’hui. Lors du sommet de Davos, les responsables de la Banque Centrale de Chine réaffirmaient que l’axe principal de la politique monétaire

des taux les plus bas au monde, c'est le premier exportateur mondial le fait que l'économie mondial va mal avec une baisse de régime des pays riches et l'apparition de mesure protectionniste à un impacte directe sur l'économie chinoise. Politique budgétaire :Politique de relance La Chine a rendu public un plan de relance économique de 4.000 milliards de yuans (392 milliards d’euros) pour 2009 et jusqu'à fin 2010, pour stimuler la demande intérieure face au ralentissement de la croissance du

phénomène est l’adoption d’une politique monétaire très expansionniste dans un certain nombre de pays émergents comme l’Argentine, l’Inde, la Turquie, le Vietnam,… D’ailleurs, la remontée des prix des métaux précieux contribue aussi à cette tendance inflationniste. Un autre risque d’inflation qu’on peu mentionner est la hausse du coût du travail pour les économies comme celles de la Chine du Brésil. Une grande partie des pays émergents a choisit une politique monétaire « inflation targeting », c’est

plusieurs secteurs d’activité soulève l’inquiétude de nombreux observateurs. Malgré certaines mesures restrictives, l’économie roule toujours à plein régime : les autorités gouvernementales chinoises seront-elles en mesure d’orchestrer un atterrissage en ́ douceur a de leur économie? Les facteurs de la croissance chinoise. Une croissance due en grande partie à l’investissement public et particulièrement à l’investissement immobilier, 30% du PIB en 2009. Comment fait la Chine ? Elle utilise son armée

 Rapport Économie monétaire Année Universitaire : 2014-2015 Chine: l'inflation a été de 1,5% en avril L'inflation en Chine a légèrement augmenté en se positionnant à 1,5% en avril, contre 1,4% en mars, a annoncé samedi le gouvernement, rassurant potentiellement les marchés face à leurs craintes d'une spirale de déflation. La hausse des prix à la consommation mesurée sur un an, principale jauge de l'inflation dans la deuxième économie mondiale

La politique monétaire consiste en des actions délibérées des autorités monétaires d’un pays (centrale plus ou moins indépendante, gouvernements) sur la masse monétaire en circulation, les actifs financiers (vente ou achat de Bons du Trésor, opérations dites d’ « open markert »), la politique de crédit (via la fixation de taux d’intérêt directeurs) et éventuellement sur la politique de change (Chine), dans l’objectif de réguler l’économie au service du minimum d’inflation et du maximum d’activité

croissance de 7,7 %. Cette croissance est liée au plan de relance mais aussi aux banques chinoises qui ont fortement accru leurs prêts (75 % de plus sur les neuf premiers mois de 2009 par rapport à l'année 2008). Mais environ 20 % de ces sommes auraient été utilisées à des fins spéculatives provoquant une flambée boursière à la bourse de Shanghai et à la bourse de Hong Kong Pour la Banque mondiale, la croissance chinoise a été tirée par les investissements et par la consommation qui s'est bien tenue. Toutefois

économies sont attirées par la faible valeur de la monnaie chinoise. Elle utilise le « chacun pour soi » pur et dur. D’un autre côté, elle empêche l’importation puisque le prix des produits vendus à l’intérieur du pays est moins coûteux que celui venant des pays internationaux. De plus, la Chine devrait avoir une limite c’est le risque de connaitre l’inflation, c'est-à-dire que le yuen n’ait plus de pouvoir d’achat à cause de la masse monétaire trop excédentaire dans son pays. Mais ceci ne freine pourtant