Politique Structurelle Européenne

extérieurs I- Les remédiations nationales II- Les aides extérieures Conclusion Introduction Après son entrée dans l’Union Européenne en 1981, et constamment suite à son adhésion dans la zone euro, la Grèce a connu une croissance relativement rapide résultant des plusieurs mesures de stabilité économique véhiculées par les politiques économique de l’organisation. Entre 2009 et 2010, elle fait face à une crise PARTIE 1 : LES ORIGINES DE LA CRISE GRECQUE I- Les causes

l’intérêt général. La base de la pensée keynésienne réside dans le fait de considérer que la demande effective (= niveau de la consommation et le niveau de l’investissement) détermine le niveau de production donc le niveau de l’emploi. Les stratégies politiques de relance keynésienne se fondent également sur l’importance du rôle de l’Etat dans l’économie. Il ne croit pas à l’autorégulation de l’économie par les lois du marché : l’Etat doit intervenir en tant qu’agent régulateur car le capitalisme livré

La politique de la ville   Introduction :  - Politique globale qui traite des bâtiments, de personnes - Politique transversale car va comprendre l’ensemble des partenaires (état collectivité…) - Politique citoyenne car les habitant sont associé à cette démarche = démocratie participative   Elle va concerner plusieurs ministères, c’est un ensemble de politique public. Elle va avoir une logique transversale et contractuelle sur un territoire pour lutter contre exclusion et violence et

devant le Royaume-Unis, alors que l’économie espagnole est la cinquième économie de l’Union européenne et la huitième puissance économique mondiale (en PPA). De même une situation économique d’un pays d’une région… permet d’évaluer la richesse produite par une zone à un moment donnée. Elle s’évalue à partir d’indicateurs quantitatifs (donnés conjoncturelles) et d’indicateurs qualitatifs (donnés structurelles). On peut donc se poser la question suivante : Quelles sont les situations économiques en

faire repartir l’activité du pays au cœur de la crise des dettes souveraines européennes, la Grèce reste enlisée dans une profonde récession. Elle connaîtra, d’après les projections, un repli économique d’environ 6 % en 2011 et le taux de chômage est maintenant à 16½ % de la population active. De plus, bien que la compétitivité s’améliore peu à peu, le pays n’a pas encore entrepris une masse critique de réformes structurelles indispensable pour redynamiser la croissance. «L’activité reste orientée à

d'une nouvelle défiance des investisseurs, les taux espagnols oscillent maintenant aux alentours de 6,5%. Un niveau dangereux. Lorsqu'ils ont dépassé la barre des 7%, la Grèce le Portugal et l'Irlande n'ont pu faire autrement que réclamer l'aide européenne. D'autre part, les capacités financières de l'État se réduisent comme peau de chagrin. D'abord, la crise réduit les rentrées fiscales et plombe les dépenses. Les recettes de TVA ont chuté de 14% depuis le début de l'année. Les dépenses sociales

Dans quelle mesure peut-on expliquer le différentiel de croissance entre les Etats-Unis et l’Union Européenne par une nouvelle vague d’innovations depuis le début des années 1990 ? Depuis la révolution industrielle, l’innovation stimule la croissance en lui donnant son rythme et sa nature. Suite à la révolution industrielle, Les Etats-Unis a vu sa société de consommation commencer à prendre forme vers les années 1920, puis après la deuxième guerre mondiale. Durant les Trente Glorieuses, on parle

d’association avec l’Union européenne le 17 juillet 1995 à Bruxelles, ont inscrit clairement la Tunisie dans une démarche d’ouverture et de libéralisation de son économie. Ces engagements internationaux achèvent également, et sans possibilité de retour en arrière, la rupture avec une stratégie de développement autocentré qui avait prévalu depuis l’indépendance, rupture dont les premiers actes avaient été la mise en oeuvre, en 1986, d’un programme d’ajustement structurel. « Nous sortons de trois

PARTIE ETATS UNIS ET EUROPE Les problèmes structurels des pays occidentaux. Quelles politiques économiques peut-on mener pour résorber ces problèmes ? La politique de change, possibilité de faire baisser l’euro voire de revenir au Franc : la baisse du taux de change ne peut pas être une solution au problème structurel de la France. En fait, si on revenait au franc, celui-ci se déprécierait par rapport à l’euro. Cela doperait les exportations mais freinerait l’importation (hausse du prix du pétrole)

l’endettement antérieur des ménages : les facilités de crédit à la Consommation ; • Les attitudes, motivations, anticipations des ménages sur l’évolution des prix, des marchés, de l’emploi… ; • Les politiques économiques de redistribution du revenu : le relèvement du SMIC accroît la consommation ; • La politique fiscale ou monétaire peut modifier sensiblement les comportements des consommateurs ; • Le changement démographique peut, à long terme, influencer la structure de la consommation ; • Le niveau