Politique Structurelle Européenne

conjoncturels (§1) et à des problèmes structurels (§2) susceptibles de s'entretenir (§3). Chapitre 7 du livre. Introduction §1 les problèmes conjoncturels I Définition Les problèmes conjoncturels sont les problèmes contingents, immédiats, susceptibles de s'estomper ou de disparaître rapidement de manière spontanée, selon les économistes libéraux confiants dans les lois du marché, ou par l'action de la puissance publique en prenant des mesures de politique économique dite conjoncturelle, selon

enjeux de la construction européenne à l’horizon 2020 Le « fil rouge » de cette intervention et le suivant : les questions concernant l’Europe sont très techniques, relativement intelligibles. Mais le débat public sur ces questions n’est pas régulé et il est donc complètement faussé. Globalement, les hommes et femmes politiques ne font pas leur travail d’explication, ce qui explique la sous-information du public. Ceci s’explique en partie par le manque de courage des politiques ! 1 – Quelques clés

Maroc a conclu avec l’Union Européenne en 1996 un accord d’association portant sur la création d’une zone de libre échange à l’horizon 2010. Cet accord créera certainement des opportunités pour notre pays en matière de modernisation du tissu industriel, de transfert de savoir-faire, de développement des investissements extérieurs et, partant, de croissance économique et de bien être. Il préconise une ouverture progressive du marché marocain aux produits de l’Union Européenne sans contrepartie pour les

crise grecque au mécanisme européen de stabilité financière : 10 4. Les profils des pays en difficulté : 10 Situation économique au Portugal: ………………………………………………………………… 15 UNE CRISE SYSTÉMIQUE EXACERBÉE PAR LA MONTÉE DES TAUX : 15 UN MODÈLE ÉCONOMIQUE FRAGILE : 15 2. Un potentiel de croissance difficile à évaluer : 15 3. Un manque criant de compétitivité : 18 LES LIMITES DE L'INTÉGRATION ECONOMIQUE : 19 1. Une utilisation peu pertinente des fonds européens : 19 2. L'effet anesthésiant

aussi économie. Ce dernier point est particulièrement sur le devant de la scène depuis le début de la crise en 2007. L’importance des unions inter-pays s’est alors révélée primordiale. Nous l’avons d’ailleurs vu concrètement avec l’essor de l’Union Européenne sur le plan politico-économique international. Nous pouvons expliquer la notion d’économie-monde conformément aux idées taylorienne et fordienne comme étant « un morceau de la planète économiquement autonome, capable pour l'essentiel de se suffire

mécanisme qui permet de reporter dans le temps la perception d'impôts pour le financement des dépenses publiques. Traditionnellement, le financement par endettement était privilégié par les gouvernements pour les dépenses d'immobilisation. La politique en matière d'endettement public qui découle de cette « règle traditionnelle » de financement des immobilisations est la suivante : financer par endettement les nouvelles acquisitions de capital fixe et prévoir le remboursement progressif du coût

dollar américain. Le résultat a été la création de deux institutions financières internationales: le Fonds monétaire international(FMI), principalement chargé d’éviter les dévaluations compétitives; la Banque mondiale(BM), chargée de prêter aux pays européens et au Japon pour accompagner leur reconstruction. Par ailleurs, la lutte contre le protectionnisme s’inscrivait dans les Accords généraux sur le commerce et les tarifs, ou General Agreement on Trade and Tariffs(GATT). I- LE FONDS MONETAIRE INTERNATIONAL

Les banques centrales doivent-elles demeurer indépendantes ? Prob : L’indépendance des banques centrales renforce-t-elle l’efficacité des politiques économiques ? Introduction I. Les vertus de l’indépendance 1) Les fondements 2) Avantages en termes de politique monétaire 3) Avantages en termes de politique budgétaire II. Les limites d’une banque centrale indépendante 1) L’inflation 2) Les limites liées à l’exercice de l’indépendance 3) Les limites liées au « policy mix » Conclusion

I. PRÉSENTATION DES ACCORDS UE - PAYS ACP. PARTIE I : Les différents accords de coopération 1. La coopération avant LOMÉ La coopération entre l’Union Européenne et les pays d’Afrique subsaharienne, Caraïbes et Pacifique (pas encore nommé le groupe ACP) a commencé en 1957 par la signature du traité de Rome. Celui-ci prévoyait une aide sous la forme d’une « convention d’application relative à l’association des Pays et Territoires d’Outre Mer ». Les deux conventions de Yaoundé (1963 et

intra-régional……..………………….……………7 3.1. le caractère similaire des économies maghrébines………………………….…………...7 3.2. Une faible complémentarité structurelle……………………………………………….. …7 4. Evolution des IDE dans les pays du Maghreb…………………………………………….8 5. Obstacles à la réalisation de l’intégration maghrébine ………..………………….…… ..9 5.1. Le défaut de convergence des politiques économiques..……………………….……... ...9 5.2. La faiblesse des infrastructures de transport…..…………………………………….… .10 5.3. Un cadre institutionnel