Polyeucte

1645 ( la veuve, La galerie du Palais, La suivante, la Place royale, … ) Puis il écris : Médée (1635), L’Illusion comique (1636) et . il connaît un grand succès en 1637 avec le Cid. Il écris ensuite des tragédie : Horace (1640), Cinna (1642), Polyeucte (1643), … après un long arrêt il reprend avec Œdipe en 1659. Puis, Sa dernière œuvre fut Suréna en 1674. 5. A partir des années 1660, l’étoile montante du théâtre français s'appelle Jean Racine, dont les intrigues misent davantage sur le sentiment

de l’année, ces gens-là déclament contre les vices. Ils prouvent en trois points et par antithèses que les dames qui étendent légèrement un peu de carmin sur leurs joues fraîches seront l’objet éternel des vengeances éternelles de l’Éternel; que Polyeucte et Athalie sont les ouvrages du démon; qu’un homme qui fait servir sur sa table pour deux cents écus de marée un jour de carême fait immanquablement son salut, qu’un autre pauvre homme qui mange pour deux sous et demi de mouton va pour jamais à tous

comédie serait une erreur. Au théâtre, les tonalités sont bien souvent mélangées. Même en ce qui concerne l'esthétique classique. Celle-ci prétend à la pureté des genres, mais n'échappe pas pour autant à ce mélange. Par exemple dans la tragédie Polyeucte de Pierre Corneille, le personnage de Félix est un personnage comique et lorsqu' Arpagon dans L'avare de Molière est berné par ses propres enfants, il devient un personnage tragique. Certes, ces analyses restent circonscrites à un personnage et ne

1636, La Galerie du Palais 1633, La Suivante 1634, La Place royale 1634, l’Illusion comique 1636). En 1637, avec Le Cid, un triomphe suivi d’une querelle avec l’Académie Française, il inaugure une série de tragédies : Horace 1640, Cinna 1641, Polyeucte 1642, toutes trois inspirées de l’Antiquité latine. L’échec de sa dernière tragédie Suréna en 1674, et la rivalité avec Jean Racine qui emporte les faveurs du public, le font renoncer au théâtre. Il meurt à Paris le 1er octobre 1684, laissant derrière

1637 : Le Cid, triomphe qui installe définitivement Corneille ds la posit° de 1° dramaturge français / querelle des doctes qui va en fait prolonger et non amoindrir le succès de la pièce / succès en suite d’Horace, en 1640, puis Cinna en 1641 et Polyeucte en 1642. Reçu en 1647 à l’Académie Française Echec en 1651 de Pertharite, puis Œdipe en 1659 / donne une édition de ses œuvres complètes en 1660 et ses « Trois discours sur le poème dramatique » en accompagnement de cette édition. Emergence d’un

soit l'option choisie, aura, du fait même du choix réalisé, des conséquences négatives. Ce dilemme est appelé « cornélien » du nom de son inventeur Pierre Corneille, qui l'expose dans plusieurs de ses pièces, dont les plus connues sont Le Cid et Polyeucte. Racine a mis en scène un choix cornélien dans sa pièce Andromaque, au sujet de l'héroïne éponyme. Dans la pièce Le Cid, Rodrigue, qui doit épouser Chimène qui l'aime et dont il est amoureux, doit venger l'honneur de son père « bafoué » par le père

l'hiver 1636-37 avec une tragi- comédie, le Cid, pièce baroque qui fait scandale et qui déclenche une véritable querelle littéraire, arbitrée par la toute jeune Académie Française. De 1640 à 1642, il donne la représentation d'Horace, de Cinna et de Polyeucte, tragédies régulières qui remportent un succès sans partage. Membre de l'Académie en 1647, il publie des comédies héroïques (Dom Sanche d'Aragon en 1650), des pièces "à machines" (Andromède en 1650), des tragédies (Rodogune en 1644-45, Nicomède

("Médée"), mais ce n'est qu'en 1640 qu'il se lança dans la voie de la tragédie historique — il fut le dernier des poètes dramatiques de sa génération à le faire —, donnant ainsi ce que la postérité considéra comme ses chefs-d’œuvre : Horace, Cinna, Polyeucte, Rodogune, Héraclius et Nicomède. Déçu par l'accueil rencontré par Pertharite (1652, pendant les troubles de la Fronde), au moment où le début de sa traduction de L'Imitation de Jésus-Christ connaissait un extraordinaire succès de librairie, il

permettent d’accéder à une véritable liberté intérieure et à une authenticité absolue. C’est ce que, dans une optique chrétienne, découvre Polyeucte, lui aussi emprisonné et dans l’attente de son exécution : « Et l’heureux trépas que j’attends Ne vous sert que d’un doux passage Pour nous introduire au partage Qui nous rend à jamais contents. » (Polyeucte, IV, 2, v. 1151-1154.) Dans le cas de Clindor, la prison lui permet de faire la différence entre la vie et la fiction (on dirait aujourd’hui

naissance. Ses œuvres : Les pièces les plus connues sont : Le Cid, Horace, Cinna et Polyeuctes. 1)La comédie Ses premières pièces furent essentiellement des comédies. -Mélite, se première création en 1629. -La veuve en 1632. -La Galerie royale en 1633. -Le Menteur en 1643. … 2)La tragédie : -Médée, sa première tragédie en 1635. -Le Cid en 1637. -Horace en 1640. -Cinna en 1642. -Polyeuctes en 1642. Ainsi que de nombreuses autres. MOLIERE : Sa vie : Jean-Baptiste Poquelin