Polygone simple

narratif peut être identifié grâce aux caractéristiques suivantes : • présence d'une suite d'événements qui font partie d'une action. • présence d'indications temporelles (ensuite, le lendemain...). • présence de temps du récit (en général le passé simple et l'imparfait mais on peut aussi y trouver le présent de narration ou du passé composé) • Des verbes d'action. Descriptif Forme de discours qui a pour but de produire une image de ce que le lecteur ne voit pas mais qu'il peut imaginer. Le texte

foraines du champ des Manoeuvres ou encore Marengo. Pas plus de précisions en ce qui concerne l’année. L’action dure à peu près un an, de juin à juin. Importance de la chaleur. Le style Camus utilise le passé composé et non le passé simple, écrivant comme Meursault parle. Les phrases sont courtes, sans connecteurs logiques. S’inspire du procès à la fin du roman Le Rouge et le noir. Le titre peut avoir été inspiré du poème de Baudelaire « L’Etranger ». Référence au Procès

de Fabrice, qui est brouillé. Il ne parvient pas a saisir correctement les détails de la scène : « il avait eau regarder » Il a un regard limité. Son regard n'a pas l'ampleur épique d'un militaire Le temps du regard brouillé est le passé simple : le survol des actions sans attention. Les hommes sans grandeur. Les hommes dans ce teste sont désacralisé, même le maréchal Ney par l'adjectif « gros » et par son niveau de langue ( récurrence : il « jurait », imparfait : habitude de

paragraphes ? Le présent est utiliser dans les deux 1er paragraphe, il utilise le présent pour qu’ont se sente dans le texte a l’instant présent . Les 3 autres temps utilisés sont : Dans le paragraphe suivant il utilise l’imparfait, le passé simple, et le présent Il utilise ces 3 temps car un nouvel élément rentre dans le texte qui bouleverse les 2 1er paragraphe l’endroit change les animaux se sauvent 2 personne rentrent dans cet environnement 4-quelles sont les 3 caractéristiques principales

s'aiment trop et depuis trop longtemps pour que leurs conflits paraissent menaçants comme jadis. Le présent du couple, serein, apaisé, - « déchire » (v.34), « protégeons » (v.35)- s'oppose très clairement à un autrefois douloureux marqué par le passé simple - « pris » (v.19)-, l'imparfait « ressemblait » (v.8) et le passé composé - « ai perdue » (v.18)-. La lenteur impose même son empreinte, ralentit la consistance de cet affrontement, lorsqu'il advient. C'est ce que suggèrent les comparatifs dans les

Alexandra Karara 4ème langues modernes Didier Van Cauwelaert : Un aller simple. Lorsque j’ai commencé à lire ce livre, j’avais le sentiment que j’allais l’aimer car l’histoire m’intéressait énormément. En plus, la lecture était vraiment compréhensible donc je suis rentrée facilement dans l’histoire. Personnellement je recommande ce livre aux lecteurs qui préfèrent les histoires qui pourraient être réelles, car je crois que ça correspond à cette catégorie. Les lecteurs peuvent interpréter

capacité d’illuminer sa « nuit profonde » mais qu’elle n’en a pas eu le temps ou la volonté de le faire. | Emploi du passé composé « elle a passé » (v.1), « elle a fui » (v.12 | Signale un fait certes récent (sinon il aurait employé le passé simple) mais achevé, terminé, dont l’espoir n’a été qu’un germe. | La gradation entre les deux verbes employés aux deux extrémités du poème | Met en évidence le fait que le poète a sombré. En effet, le premier verbe prend des connotations de rapidité

Fiche de lecture + n°:Un aller simple de Didier Van Cauwelaert 1. Genre de l’œuvre. /2 C’est un roman 2. Explication du titre + extrait /6 ‘Un aller simple’, le titre vient du roman que l’attaché humanitaire qui accompagne Aziz au Maroc a écrit. Il avait choisi ce titre parce qu’il savait qu’il ne retournerait plus en France, c’était donc un aller simple 3. Les personnages principaux. /6 Aziz : le personnage principal de l’histoire, c’est un garçon d’origine

l’arme car « l’égalisateur se soulevait à chaque pulsation ». L’état de stress du personnage accélère son rythme cardiaque, l’adrénaline le pousse à l’acte final. Enfin, les discours narratifs et descriptifs sont présents en alternance, le passé simple succède à l’imparfait et inversement. Tantôt « le poids tirait », tantôt « il tira ». Ainsi est racontée la marche de Claude, telle qu’il la vit quand tout à coup il commet un meurtre. Il n’y a eu aucune préméditation, le lecteur ne s’attend pas à

le poids de ces lames de rasoir de jours en jours et depuis deux ans. Mais le jour ou celles ci céderont, ce sera terminer, tout ces efforts fait pour survivre dans ce monde d'injustices ne m'auront mener qu'a un simple suicide, acte de lâcheté pur. Et ce sera le départ pour un aller simple vers un long voyage, un voyage dont personne n'est encore revenu. Alors je me dis que l'endroit ou nous allons doit etre si merveilleux qu'on refuse d'en repartir après y avoir mit les pieds, oui c'est ce que je