Polymyosite

mérite d'être tentée. La mise en route du traitement n'empêche pas la biopsie car les anomalies ne disparaissent que tardivement. DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL * Avant de retenir le diagnostic de pseudo-polyarthrite Rhizomélique, il faut éliminer une polymyosite, un cancer métastasé ou un myélome. La périarthrite scapulo-humérale est fréquente chez le sujet âgé mais ne s'accompagne pas d'un syndrome inflammatoire important. Signalons l'existence de cas de pseudo-polyarthrite Rhizomélique néoplasiques.

Parkinson - Neuropathie (innervation extrinsèque de l’estomac ou système nerveux entérique) : diabète, amyloïdose, SIDA, GuillainBarré, lésion du nerf vague (post-chirurgie) Myogènes Pathologie de la couche musculeuse lisse de l’estomac : sclérodermie, polymyosite, amyloïdose, lupus, dystrophie musculaire de Duchenne, gastrite à éosinophiles, radiothérapie abdominale Post-infectieuses - Gastroentérite aiguë : virus Norwalk, rotavirus - Virus d’Epstein-Barr, cytomégalovirus, Trypanozoma cruzi Endocrines Diabète

vitaux, comme le cœur, les poumons ou les reins sont atteints, la maladie est plus grave et peut mettre la vie en danger. Dans de rares cas, les malades développent en plus de la sclérodermie une autre maladie auto-immune, comme le lupus ou la polymyosite, ce qui peut entraîner des complications supplémentaires. Le diagnostic  omment fait-on le diagnostic de la sclérodermie ? C Les premiers signes de la sclérodermie amenant le malade à consulter un médecin (le phénomène de Raynaud ou le reflux

et lésions érythémateuses; protéinurie aboutissant parfois à un syndrome néphrotique; leucopénie, thrombopénie; Induction possible de maladies auto-immunes: anticorps antinucléaires, exceptionnellement lupus induit, pemphigus, myasthénie ou polymyosite 5.3.6 Immunodépresseurs: Ciclosporine (Sandimmun et Néoral, avec meilleure biodisponibilité): 2.5 à 5 mg/kg/J en deux prises à 12 heures d’intervalle. surveillance: très rigoureuse de tension artérielle et fonction rénale. Azathioprine (Imurel*):

VIH peuvent avoir une origine inflammatoire ou toxique ; dans ce dernier cas, elles sont souvent secondaires à un traitement par la zidovudine et caractérisées par une faiblesse de la musculature proximale. Une myopathie inflammatoire diffuse (polymyosite) peut s’observer à tous les stades de l’infection VIH. Les céphalées sont abordées au chapitre suivant. Douleur neuropathique Les principales causes de douleurs neuropathiques associées à l’infection VIH sont les neuropathies à VIH, les névralgies

Myasthénie et autres affections de la jonction neuromusculaire Daniel B. Drachman 367 Démarche clinique devant une affection musculaire Jerry R. Mendell 368 Dystrophies musculaires et autres maladies du muscle Robert H. Brown, Jr/Jerry R. Mendell 369 Polymyosites, dermatomyosites et myosites à inclusions Marios C. Dalakas 2518 2524 2527 2540 SECTION 4 SYNDROME DE FATIGUE CHRONIQUE 370 Syndrome de fatigue chronique Stephen E. Straus 2545 SECTION 2 MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL 348 Crises

   8945432     19   Trombaguite  oblitérant  8945482   Maladie  diffusante  des  tissus  de  liaison    5485812   Lupus  systémique  rouge  8543148   Dermatomyosite  (polymyosite)  5481234   Sclérodermie  systémique    1110006   Maladie    hybride    des  tissus  de  liaison    1484019   Syndrome  de  Chergen    4891456   Rhumatisme    5481543  

la cavité articulaire. Formes d'arthrite Arthrite infectieuse Arthrite juvénile Arthrite psoriasique Arthrite réactive Arthrite rhumatoïde Arthrose Bursite Fibromyalgie Goutte Lupus Maladie de Behçet Maladie de Still Pagets Phénomène de Raynaud Polymyosite et dermatomyosite Pseudogoutte Pseudo-Polyarthrite Rhyzomélique Sclérodermie Spondylarthrite ankylosante Syndrome de Felty Syndrome de sjörgen Tendinite Les maladies apparentées Maladie de Lyme Maux de dos chroniques Syndrome du canal carpien Syndrome

d’autres articulations majeures (poignets, coudes, épaules), et rarement les petites articulations (doigts, pieds). Des myalgies peuvent parfois les accompagner, ou dominer le tableau ou être inaugurales, en réalisant exceptionnellement un tableau de polymyosite. La présence de lombalgies est inhabituelle, tout comme une atteinte des articulations sacro-iliaques. Les poussées articulaires guérissent sans séquelles, habituellement en quelques jours à quelques semaines, mais Stomatologie APHTES, APHTOSE

de conduction persistants Neuropathie motrice multifocale Neuropathie phrénique Atteintes nerveuses tronculaires Neuropathies actiniques Intoxications (métaux) Syndrome des fasciculations bénignes Myasthénie Organophosphorés Myosite à inclusions Polymyosite Camptocormie et « tête tombante » Dystrophies musculaires Cytopathie mitochondriale Déficit en maltase acide de l’adulte Hyperthyroïdie Hyperparathyroïdie Neurone moteur inférieur Affections vasculaires/actiniques Maladies inflammatoires/dysimmunes