Polyptote

dimension épidictique - Auto-valorisation Ces prises de position nécessitent une dimension épidictique, qui coïncide avec la solennité et l’emphase du propos (parallélismes des relatives, des hypothétiques, des tours en « ni+COD » / répétitions, polyptotes et dérivations (perdant-perd, mourant-mourrai, victoire-vaincu, envie-envieux) / anaphores /expressions de la totalité ou intensifs (tous mes ennemis, tous mes envieux, tout chargé d’infamie, partout, jamais, tant de gloire, tant de fois). Rappel

( 1 5 10 15 20 )M Lol, frappée d’immobilité, avait regardé s’avancer, comme lui, cette grâce abandonnée, ployante, d’oiseau mort. Elle était maigre. Elle devait l’avoir toujours été. Elle avait vêtu cette maigreur, se rappelait clairement Tatiana, d’une robe noire à double fourreau de tulle également noir, très décolletée. Elle se voulait ainsi faite et vêtue, et elle l’était à son souhait, irrévocablement. L’ossature admirable de son corps et de son visage se devinait. Telle qu’elle apparaissait

16), le mot « guerre » 3 fois (v. 1, 13 et 16) ; le mot « rythme » 4 fois (v. 2, 9, 13, 16), le mot « bruit » 2 fois (v. 4 et 5), le mot « marée » 2 fois (vers 1 et 16), « saisons », 3 fois (v. 2, 13, 16), « mot » 2 fois (v. 11 et 14). Etc. d- Polyptote : le verbe « battre » apparaît sous diverses formes : « bat » (v. 1), « combat » (v. 1 et 6), « bataille » (v. 1) ; « battait » (v. 2 et 13), « battant » (v. 8) ; « battaient » (v. 16), « battent » (v. 9). e- Parallélismes : la même structure est

rapidement -«elle en mangea 16 …. Six pots » : gradation descendante -Omniprésence du pluriel dans ce qui est mangé -Anadiplose -> effet de lourdeur et d’infini [ 2) La nourriture, la bonne chaire à foison .Champ lexical de la nourriture .Le polyptote l.32 .Champ lexical boisson « boire » « bar » « buveur » « flacon » « gobelet » : aussi présent que celui de la nourriture, les personnages sont de bons vivants .L’alcool est précieux « verse m’en sans eau » : effet comique .Personnification du

plus d'exactitudes possible de dire sa pensée à son frère. Elle cherche sans arrêt à corriger ses propos. L'épanorthose est donc très présente pour donner l’expression exacte qu’elle souhaite dire. Cette idée de correction est renforcée grâce au polyptote “ envoyait”/ “envoie”. Elle interroge son frère et s'interroge sur la manière de dire ( comme souvent dans le théâtre cf beckett ) grâce à la présence de phrase interrogative et l’adverbe interrogatif de manière “comment”. Elle va peu à peu redéfinir

c’est le curé qui l’a=> c’est son savoir qui lui permet son émancipation(touche de jalousie dans la négation=> psychologiquement les causes de sa haine, son ignorancepolyptote: du vrb “lire” sous forme infinitive conjugué à l’imparfait(lisait)polyptote se poursuit => trace de la violence du père se fait sous le livreConclusion:L’originalité du portrait => contraste avec le milieu familial social de héros Absence de Julien(début)+ position(fin)=> pas sa place dans cette famille et anticipe

Bien Lecture : Bien pour le ton ; des hésitations parfois, surtout vers la fin. Il faudra t'entraîner – ta lecture ne prend pas spécialement beaucoup de temps. Projet de lecture : Bien Rappelle tes grandes parties au fil de ton explication avec la polyptote, tu peux ajouter l'anaphore de « j'aime » et ses points de suspension« je tremble, je frissonne » : terminer l'interprétation« c'est toi » : forme emphatique injure ? Oenone est plus que surprise, elle est tétanisée, elle pressent la mort inévitableattention :

temps de crise (le feu sacré)et notion de force puisqu'une flamme peut détruite. Tout cela nous ramène donc à une idée d'espoir pour la France. Mais il ne s'arrete pas là. Pour accentuer encore d'avantage cette idée d'espoir l'auteur emploie un polyptote, ligne 18, « ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas ». Ainsi il contourne une évidence : la suprématie allemande ce jour là. Mais de Gaulle arrive à retourner le problème et passe d'une situation négative à une situation positive. Il montre

l’argumentatif. L’éloge ou le blâme sont les figures qu’il emploie dans sa lyrique amoureuse, mais il se passe des arguments du logos proprement dit. Faits d’expression : répétitions (anaphore, tautologie : répète le même mot avec le même sens. Polyptote : utilisation de deux mots de la même famille). Emphase. Rimes banales (deux infinitifs du même groupe). Paronomase : presque homophonie. Diaphore. Syllepse.

* Parataxe : (juxtaposer) forme d’asyndète consistant à juxtaposer deux propositions qui devraient être unies par un rapport syntaxique de subordination. * Paronomase : rapprochement de mots dont le son est à peu près semblable. * Polyptote : figure de répétition qui consiste en ce que, dans un même segment de discours, apparaissent plusieurs occurrences grammaticales d’un même mot. * Présupposé : information qui reste stable dans un énoncé, même si l’énoncé devient négatif ou