Polyptote

: quatrins : portrait moral de la femme - tercets : portrait physique - portrait d'une femme inconnue, elle est fantasme physique et moral de Verlaine - son apparition étant brève elle est d'emblée plus forte, le poète vit ce moment pleinement POLYPTOTE (usage de plusieurs termes formés sur le même radical) = "aimer" v2. et v4. - Paradoxe = femme inconnue mais aimée et aimante - l'auteur essaye d'oublier sa solitude et son mal de vivre quotidien au travers de ces vers Verlaine est habitué à la

180), sa lenteur (sonnet 21), son irrésolution, que manifestent les divers balancements présents dès le premier sonnet (« Soit de...soit de » / « Je me plains...je me ris »), les anaphores, les énumérations, les antithèses, les asyndètes et les polyptotes, toutes figures qui créent un monde de l’indécision et de l’instabilité d’où ne peut jaillir qu’une musique « basse » (sonnet 60). La tristesse ne s’aurait s’accommoder d’un style élevé. Il faudra au recueil une « corde plus basse » (sonnet 165)

vie. rythmes et sons : "bruit", "écho", "sifflent", "son d'une cloche" : l'appel universel à la révolte. la vie organique : "sang", "cervelle", "veines", "oreilles", "coeurs" : le corps dans une présentation crue et naturelle. le combat : un polyptote : "bat", "combat", "bataille", "battait", "battant"... impressionde martèlement dans une connotation guerrière renforcée par un vocabulaire de révolte : "guerre", "salpêtre", "émeute", "assaut", "révolte", "vieilles colères". Ce poème clandestin

remplacé par des éléments de phrase plus complexes, jouant sur l'implicite Le roi des animaux.= le lion La Venise du Nord = Bruges Personnification Elle représente une chose ou une idée sous les traits d’une personne La forêt gémit sous le vent Polyptote consiste à employer plusieurs formes grammaticales (genre, nombre, personnes, modes, temps) d’un même mot, dans une phrase. -« […] Madame se meurt ! Madame est morte ! […] » - « Tel est pris qui croyait prendre. » Prétérition Une prétérition

jour » et « le soir », ainsi qu’une opposition de CCL ; « chez elle » et « au Louvre ». Cela montre le temps accordé à se préparer seulement pour une seule soirée. Ensuite on retrouve le vocabulaire de l’éloge avec « bal, festin royale » et une polyptote avec « se parer et parure a la ligne 2 » qui souligne un évènement exceptionnel ainsi que l’importance de la tenue2. Ensuite a la ligne 2 le « on » est un pronom indéfini qui montre que La princesse est soumise au regard de la cour. Le rythme binaire

« m’écriai-je »Triple anaphore de l’adj « perfide » champ lexical de la trahisonPassage de dialogue « : », « elle me répéta », » m’écriai-je » « répondit-elle »Accélération du rythme Le dialogue est fait de répliques brèves Allitération en « p »Les polyptotes figure de l’insistance qui utilise plusieurs mots de la même famille (racine)Une théâtralité entre les échanges courtes et rapidesPréfixe « im » négation impossibleChantage (ML meurt)Il lui avoue son amour en passant du « vous » à « tu »Ils se

visionnaire, et ceci par la couleur rouge dominante, la couleur de la révolution « la vision rouge de la révolution »(l41), Zola fait aussi référence à la révolution de 1789 « guillotine »(l21), « la Marseillaise »(l16-17). On trouve également le polyptote du mot « ensanglantait »(l29), « saignant »(l30), « rouge »(l41), « sang »(l43). L’utilisation du conditionnel vers la fin « galoperait »(l43), « promènerait »(l43-44), « sèmerait »(l44), « hurlerait »(l44) « auraient »(l45),  « flamberait » (l48)

-destruction matérielle ("en cendres", "ruines") = destruction totale -pertes humaines, gradation crescendo des victimes, on part des plus faibles ("vieillard","femmes","enfants","filles") -Champs lexical de la mort ("mourir","égorgées","sanglantes") + polyptote ("mort/mourant") = montre l'aspect macabre de la scène. -déshumanisation de la vie humaine ("demi-brûlée") = les victimes sont mises en tas comme des objets, elles sont chooséifiées. c) Les critiques des justifications de la guerre -critique religieuse

que l’infidélité est générosité de cœur envers toutes les femmes, satisfaction du désir de changement et noblesse de la conquête. Logique marquée par des connecteurs :  « Quoi qu’il en soit », « Mais », « Enfin ». Dom juan maitrise donc bien l’art de la persuation le polyptote qu’il utilise pour repeter un meme mot qu’on fait varier grammaticalement , comme employée a la ligne52 «  engagée , engae , engagement » , puis pour accentue son discours il s’aide de tonalité presque polémique de la réplique : « Quoi ? », et

voulu ne pas mourir » + didascalie « doucement »Emploi conditionnel  Antigone accepte sa mort prochaine + s’y soumet sans violence « doucement »L 27 : « écoute, j’ai bien réfléchi toute la nuit », « je suis plus pondérée », « je réfléchis plus »Polyptote « réfléchir » + superlatif de supériorité « plus »  I argumente mais s’appuie aussi sur sa raison et sa supériorité « je réfléchis » - « il ne faut pas trop réfléchir »« je comprends un peu » - « je ne veux pas comprendre »« il est le roi » - « moi