Polyptote

la démarche féminine (sorte de danse) -v4 « soulevant, balançant » = portrait en mouvement : mouvement aérien de la robe + allitération en « s » qui donne amplitude de la beauté B) Un coup de foudre brutal lors d’une rencontre furtive -v3 polyptote « passa » « passante » = rapidité + passé simple = action ponctuelle, mouvement furtif -v6 = rupture entre femme en mouvement et homme immobile : « moi,je » répétition du pronom personnel tonique = choc du poète assourdit par la foule +« comme un

Enjambements : rythme cassé : découvertes progressives du rat. « canton » : toujours la campagne. « Téthys » : encore pédantisme. « notre Rat » : lien entre le lecteur et le locuteur, pacte d’ironie. « crut » : se trompe. « voir en les voyant » : polyptote (mot répété mais différemment) : vu devrait être la réalité mais dénonce mauvaise perception. Exagération, se vit en mode épique. Discours direct : volonté d’émancipation et dépassement de la figure paternelle. « Pauvre sire » : le prend de haut

course d'aviation Paris Rome « Pape Pie X » (v. 7) « christianisme » (v. 8) assonance Transgression de la tradition poétique au moment ou il est question de la tradition = paradoxe entre fond et forme « Europe » (v. 7) « Européen » (v. 8) Polyptote Insistance « Tu lit les prospectus les catalogues les affiches qui chantent tout haut » (v. 11) Énumération Effet d'accumulation = banal écrits de la ville différent de la poésie « affiches qui chantent tout haut » (v. 11) personnification

Les personnages parlent de leur intimité : cœur (v.14), « âme » au v.18. L’élan amoureux est aussi exprimé par les didascalies (v18 bis, 31 bis) *langage oratoire, éloquent : anaphores récurrentes chez Hernani (v.2 à 5 +25 à 28) ; polyptote (un même verbe utilisé à des temps différents) au v.28 ; gradation au v.12 dans la réplique de Dona Sol 2) la liberté le registre burlesque (consistant à traiter un sujet noble ou sérieux de manière comique)

Bour Chloé 1g2Commentaire de français sur la peste d’Albert CamusCet extrait provient de la Peste, qui est un roman d'Albert Camus qui paraît en 1947, deux ans après la fin de la Seconde Guerre Mondiale en France. Ce roman appartient au cycle dit « de la révolte », en compagnie de l'essai intitulé L'Homme révolté (1951) et de la pièce de théâtre Les Justes (1949). Ce cycle, qui vient après le « cycle de l'absurde » fait voir des personnages conscients de l'existence comme absurdité, et qui se perçoivent

juxtaposition de phrases sans coordonnants alors qu’il devrait en avoir (ex : il n’est pas venu, je le regrette) Périssologie → pléonasme involontaire qui résulte de la négligence ou de l’irréflexion. (ex : monter en haut, sortir dehors…) Polyptote → figure qui consiste à employer dans la même phrase plusieurs fois le même mot à des cas différents ou un verbe à des modes, des personnes et des temps différents ; cela fixe l’attention de l’auditeur sur un leitmotiv. Prétérition → annoncer

théâtralisée :· Suzanne est spectatrice, le pronom « je » revient souvent dans le texte, elle transmet la scène au lecteur fictif qu’est le marquis « vous » et au lecteur réel c’est-à-dire nous. On note « je la vis » repris par « je n’ai jamais rien vu » (polyptote).· Les effets sur Suzanne sont la peur « la frayeur » et « je tremblais ».· Des exagérations montrent un tableau terrifiant «  des plus terribles imprécations ».· Les explications données sont aussi visuelles «  elle ne voyait plus que des démons

résolutions tiennent », « Croyez-vous le pouvoir ? »- « Hé » Interjection qui donne de l ‘émotion aux paroles. - Phrase impersonnelle + Présent de vérité générale : « Il est difficile de résister à ce qui nous plait »-Parallélisme de construction = polyptote+ répétition anaphorique du ‘’vous’’= « vous seul vous opposez vous seul vous imposez » = il insiste la aussi sur le fait qu’elle n’a plus de raison de résister à l’amour-Il ajoute à cela l’expression de son amour : ‘’un homme qui vous adore’’ (procédé

n’est déjà plus concernée.· « moi, je » plus de nous (mère/fille) mais 2 êtres qui n’ont plus de véritable lien : ne se comprennent plus· V44 réflex° sur le fait de donner du sens quand il n’y en a pas : bonheur de M remplacé par amour pour fils· Polyptote sur racine de « certain » avoir des certitudes ds monde qui n’en offre aucune : monde absurde· « il est vrai » présent qui ressemble à vérité générale : très blessante, contrairemt à Jan, la M fait la ≠· La mère dit qu’elle ne veut pas blesser mais

(peut-être) advenir : le départ de Clov. « Fini, c’est fini, ça va finir, ça va peut-être finir. » Part. passé, action accomplie, passé révolu, Périphrase temporelle, futur proche Constat au présent Beau polyptote avec une progression du passé au futur, du certain au probable ou au possible qui exprime avec autant de fermeté que de sobriété la perspective et le désir d’une fin qui se produit, se prépare et en même temps se fait indéfiniment attendre. De cette