Polyptote

structure phrastique - et la façon dont elle mime le travail du poète, et ensuite au décryptage du réseau d’images. 2- Plan : La structure du texte, des phrases : une progression difficile La désillusion poétique : le pathétique : Polyptote « revient/reviens » antanaclase car sens différent (propriété, verbe de mouvement) or ils sont mis sur le même plan « aussi ». Ambivalence (appartenance l.4/souvenir l.3) + dérision de l’espoir de « guérison » ; « pas plus que le merle »

avec des stichomythies le Loup veut savoir et insiste (6 interrogatives) contraint le chien a exposer les inconvénients de sa servitude  le Loup voit ce qui est peu pour le Chien : renoncer a sa liberté quelque chose d’intolérable « attaché ? » + polyptote du verbe vouloir « ou vous voulez » « veux » « voudrais » qui insiste sur le fait que le Loup et libre et fais ce qu’il souhaite. La morale de cette fable n’est pas explicite, il n’y a pas de maxime ni de retour a l’énonciation cependant (v40) « pas

"si je l'aime"// "s'il m'aime". * Puis un sentiment de déception, de tristesse s'empare d'elle. En effet, la désillusion de Lyse est grande et accentuée par le champ lexical du chagrin. Ainsi elle utilise "faux espoir", "mépris "doublé d'un polyptote avec "mépris", "amour outragé", "ingratitude", "ma peine", " défiance" qui rime avec "vengeance " pour caractériser son sentiment. * Lyse entre dans une colère noire. En effet, l'utilisation de "ingrat "(premier mot du monologue) résume son humeur

logique Argument ad hominem Questions rhétoriques 2ème personne / apostrophes ethos Poésie Homonymes Création lexicale Assonance / allitération Autre Articles définis/indéfinis Démonstratifs Hypotypose Epanorthose Anadiplose Polyptote Choix onomastique Interro-négative Conjonction adversative Variation diastratique du langage Désigner ou montrer quelque chose/quelqu’un/ un lieu / un temps

une pour son usage particulier.         Emma, qui lui donnait le bras, s'appuyait un peu sur son épaule, et elle regardait le disque du soleil irradiant au loin, dans la brume, sa pâleur éblouissantes... Nous sommes dans la parole d’Homais, et la polyptote indique une pensée tautologique (Homais parle pour parler) On retrouve ce même goût pour une parole qui s’impose sans rien véhiculer d’autre dans l’usage absolu du verbe Le hiatus entre les deux paragraphes indique que la parole d’Homais ne touche

d'attente accentué par le fait qu'elle ne soit pas nommée, pas d'indication sur son passé, déterminant indéfini « une beauté ». « alors », adv temporel qui marque le caractère soudain de l’événement qu'est cette apparition· Répétition « beauté » et polyptote : « belle » : insistance sur son apparence exceptionnelle· métonymie « une beauté » terme abstrait qui se détache du pluriel « belles personnes » qui fait que cette singularité se détache d'un ensemble vague et stéréotypé. Elle répond aux canons

incantatoire. Comme le philtre du 2e quatrain, il désigne une emprise magique, un envoûtement. Un chant incantatoire avec sa logique de répétition est présent dans la musicalité du poème : le mot « charme » revient avec l'adjectif « charmant » c'est un polyptote (la répétition d'un même mot sous plusieurs formes). On le retrouve dans le verbe « marcher » : c'est un anagramme (deux mots formés avec les mêmes lettres). La marche de la beauté est déjà une musique et une danse. On retrouve partout les allitérations

révélant des conflits se trouvent déjà dans la Nature. L’idée de conflit est illustrée par la dualité suggérée par les termes comme « ciliées d’aiguilles » (v.3) ou « deux versants » (v.12), la répétition du terme « litige » (v.13 et 16) ainsi que son polyptote « litigieuses » (v.16), l’adjectif qualificatif « équivoque » (v.17), l’expression « fourvoyé dans une mêlée d’ailes et de ronces » (l.18-19). La confrontation se matérialise dans les expressions « face aux haches » (v.34) ou encore « au front »

15) → gradation / GN = determinant + nom + subordonnée relative II/Le rire du supplicié A. rire inquiétant G. est un homme au rire de supplicié/ étymologie du mot « monstre » → celui qui doit être montré/ rire subjugue la foule(l.1), divertit / polyptote du vb. « rire » marque ce rôle / rire inquiétant « personne ne se dérobait à ce rictus » B. homme malheureux rire imposé aux autres mais aussi à lui/ malheureux de susciter l'hilarité paradoxe « sa face riait, sa pensée non » (l.1-2) + asyndète de

l’inaction. C’est une vertu (ironique ?) 4. Mimésis (espace, temps, locuteur, destinataire, connotation). Les commentaires sont une aide à l’explication et pour la rédaction. Homéoptote : rime en mots qui sont morphologiquement semblables. Polyptote : rime mécanique (ex : nouvelles/renouvelles) Il n’y a pas la même morphologie mais le même radical. Rejet : partie inférieur en nombre à l’hémistiche pour finir le vers. Contre-rejet : se commence par 4 syllabes. Il faut se poser la question