Polysémie De La Cause

l’idéologie ! MARX dénonce la distorsion, WEBER voit en la légitimation un moyen de maintenir l’ordre social, GEERTZ dit que l’intégration permet de faire vivre les gens ensemble. * L’utopie interroge, dit son indignation, elle remet en cause l’équilibre. MARX, FREUD, NIETZSCHE et même BOURDIEU sont des philosophes dits soupçonneux. * Karl Marx envisage l’idéologie comme une déformation intellectuelle de la réalité matérielle. Pour en faire comprendre le fonctionnement, il utilise

désir chez W Von Ebrennac de créer une osmose totale de son moi « conscient » avec son moi « subconscient ». 2. LE TITRE : UNE CLEF DE L’OEUVRE ? 2.1 POLYSEMIE DU TITRE : TROIS INTERPRETATIONS POSSIBLES Vercors nous plonge dans un effet de sens dès le titre qu’il a choisi pour son œuvre : « Le silence de la mer  » - titre qui, par sa polysémie, suggère à l’esprit du lecteur plusieurs interprétations possibles. En outre, nous sommes de l’avis que ces variantes de signification sont en rapport avec

D’ailleurs, le côté scientifique du texte est renforcé par l’abondance des connecteurs logiques. Ex. : - « Ainsi donc », l. 3  Conséquence. - « Dès lors », l. 4.  Conséquence. - « Mais », l. 10.  Opposition. - « Car », l. 10.  Explication / Cause. On peut également noter le recours à certaines conjonctions de coordination, qui n’ont d’autre utilité que de mettre en valeur le lien logique entre les phrases et la cohérence de l’ensemble du texte. Ex. : « Et », l. 4, en début de phrase. De

évoque les raisons de son refus : son passé, un passé tragique et douloureux. Il utilise le registre pathétique. La seule cause est la guerre qui est évoquée implicitement «  bombes…prisonnier ». Les conséquences : la mort ( champ lexical) avec 1 évocation explicite «  mourir…partir…tombe ». On peut noter l’euphémisme avec le verbe « partir » + le jeu de mots sur la polysémie ( plusieurs sens) du mot « vers » ( 1. les bêtes 2. ceux du poète) : 2 sens possibles. Il évoque aussi dans les raisons

» l. 112-113 De plus, si Momo dénonce la nocivité de la drogue, ce qui est plutôt une thèse consensuelle, son argument principal est plus déconcertant ; au lieu d’insister sur les conséquences physiques ou sociales de l’addiction, il explicite la cause du succès de la drogue, « chercher à être heureux » l.110. C’est pourquoi il poursuit ensuite en attaquant la quête du bonheur qui sous tend ( induit ) le besoin de drogue. III/ UNE SURPRENANT AGRESSIVITÉ À L’ÉGARD DU BONHEUR a). Momo ne s’en

une métaphore poétique employée afin d'éviter d'utiliser le mot "« vieillesse ») est mise en valeur par le présentatif « Voilà » qui marque aussi l'aboutissement de la progression évoquée auparavant. L'utilisation de l'image du jardin joue sur la polysémie du mot « temps » : Baudelaire montre les conséquences du temps météorologique : celui-ci « fait un tel ravage » (v.3) qu'il ne reste après « qu'un sol lavé comme une grève » (c'est-à-dire rien du tout, une absence totale de matière) ; Cette métaphore

issus du parcours intime de Guillaume Apollinaire. D’ailleurs, le titre « Alcools » au pluriel est évocateur. A l’image de la vie en relief de l’auteur, l’utilisation volontaire du pluriel, couplée avec l’omission volontaire d’article indique une polysémie. En effet, aucun poème du recueilhttps://www.lesresumes.com/litterature/guillaume-apollinaire-alcools-resume-et-analyse/https://www.lesresumes.com/litterature/guillaume-apollinaire-alcools-resume-et-analyse/http://www.lesresumes.comwww.lesresumes

rationalité ? L’intérêt respectif du mutos et du logos est pourtant un vieux débat philosophique. Le mythe arrive-t-il à dire, en authentique langage, par sa puissance poétique de suggestion, sa suprarationalité, des choses que le logos, la raison, à cause de ses limites, de sa rigidité enfermante, ne peut formaliser ou comprendre (c’est la version des romantiques) ? Ou le logos est-il, par sa rationalité précisément, un dépassement du mythe, un progrès de l’humanité dans la connaissance ? On voit bien

de l’évolution du concept, héritée de la figure de la Liberté, associée à la République et parfois même amalgamée avec la France sans toutefois jamais perdre cette connotation combattante issue de l’idée de liberté. Cependant, on comprend bien la polysémie du symbole de Marianne mais également son caractère exceptionnelle. Ainsi, Agulhon signale la spécificité française de cette figure emblématique à travers notamment une comparaison avec les Etats-Unis dont l’un des symboles s’incarne dans les personnes

familier (« s’en fout », « flics »…) => côté populaire, accessible de la poésie de Prévert : on se sent touché, concerné, pris en compte (instaure une complicité avec le lecteur) c) la présence de jeux de mots, de jeux avec le langage, la polysémie : « tête de veau », « malheureuses sardines » (sens d’insignifiantes en quantité, grosseur, importance + sens de pauvres, tristes car sardines enfermées dans des boîtes…), « le monde se paye sa tête » (= se moque de l’homme, profite de lui (paye)