Pontife

renforce son pouvoir : objectif est d’unifier l’empire babylonien par les armes -sentence différente, mais vu qu’il est codifié on peut l’exporter -dernier aspect sur les institutions publique : maj de règle de droit connu seulement dans le secret des pontifes -roi affirme qu’il est à l’origine de toute les sentence, ce qui renforce son pouvoir : chaque sanction doit référé a ce code -objectif : éviter la règle du talion, en passant par le prêtre pour sanctionner -adoucit peine prévu, le roi empêcher

encore partie d’une respublica romaine. Descendant de Jupiter, Dioclétien ne peut être un tyran car les souvenirs du droit républicains sont encore très présents : il va s’appuyer sur son autorité à la fois militaire, politique et divine (il est grand pontife) pour justifier son pouvoir suprême de décision. Ses paroles avaient force de loi et il était aussi juge suprême en justice. Il possédait donc les trois pouvoirs dans ses mains et cela lui a permis de restaurer le pouvoir impérial. Réformes des administrations

taille que peu d’hommes seraient en mesure de prendre(Lettre de l’évêque Avit de Vienne au roi Clovis lignes 2-7 »Beaucoup d’autres dans une situation semblable, lorsqu’ils sont sollicités d’adhérer à la vraie doctrine, soit par l’exhortation des pontifes, soit par la suggestion de leur entourage, ont coutume de mettre en avant les traditions de leur peuple ou le respect des rites de leurs ancêtres de telle sorte qu’ils préfèrent, de manière coupable, rester réservés devant le salut, tout en conservant

où l’héroïne éponyme a fait périr tous les descendants de la famille du roi David. Mais l’un d’eux, un enfant nommé Joas, a échappé au massacre. Troublée par un rêve obsédant dans lequel un jeune garçon la poignarde, elle se confie à Mathan, pontife de Baal. En quoi ce récit est-il utile pour comprendre ce qu’est une tragédie ? Pour répondre à cette question, nous nous intéresserons aux caractéristiques traditionnelles de ce genre avant de montrer que s’en dégage le pressentiment d’une

message de sympathie et de cette demande pour le pape qui voit dans ces tribus tartares depuis 1250 un possible allié dans la lutte contre l'Islam. Pendant deux années, les deux frères, Niccolo et Matteo, vont attendre l'élection d'un nouveau souverain pontife Grégoire X, le conclave s'éternisant depuis la mort de Clément IV en 12683. En 1271, avec un rôle de commerçants mais aussi d'ambassadeurs, ils quittent à nouveau Venise pour retourner en Chine et le jeune Marco les accompagne avec deux dominicains

ne les respectent pas subissent des sanctions religieuses. * Lois des 12 tables : ces lois proviennent d’un groupe de législateurs exceptionnels (10 hommes) * les plébéiens demandaient que les règles de droit soient mis à l’écrit, les pontifes étaient chargés des cultes religieux et chargés également du droit. Les tribuns de la plèbe ont créé une comission chargé de rédiger les lois, les comices centuriates ont nommé 10 hommes qui d’une part étaient chargés de les rédiger, et d’une autre

fonctions. Il officiait de Sofala jusqu'à Macao et il perdurera jusqu’en 1812. Au moyen âge, les inquisiteurs relevaient du Souverain Pontife dont ils étaient officiellement les délégués. Mais à l'époque moderne, les inquisiteurs ne relèvent plus directement du Pape. Ils sont sous le contrôle d'un inquisiteur général, désigné par le roi et nommé par le Souverain Pontife. Le grand inquisiteur, intermédiaire logique entre les inquisiteurs et le Saint siège, avait le pouvoir de nommer les inquisiteurs

''baptistère: l.28'', on finis cette présentation du décors en fessant appel à notre sens olfactif et en nous laissant imaginer les odeurs des cierges odoriférantes.* Clovis fut comme le dit le texte le premier à être baptisé, saint Rémi ici appeler ''le pontife: l.31'' est celui qui aura l'honneur de le baptisé. Par la suite on fera référence à ''Constantin: l.31'', un empereur romain qui comme Clovis fut le premier empereur à ce convertir au christianisme. L'auteur insiste particulièrement sur l'utilisation

le comes, le compagnon d'un dieu (ex : Commode avec Hercule). L'empereur pouvait avoir son effigie dans un temple en tant que sunnaos de la divinité (offrande à la divinité du temple). Elevait l'empereur à la hauteur des dieux. En tant que grands pontifes les princes présidaient les grandes cérémonies religieuses en l'honneur de Jupiter Capitolin ; eux-mêmes sacrifiaient sur les autels et prononçaient les prières exigées. Souvent membres des plus grands collèges officiels (augures, entre autres) et

de vie consacrée sont soumis d'une manière particulière à l'autorité suprême de l'Église, en tant qu'ils sont destinés de façon spéciale au service de Dieu et de l'Église tout entière » (can. 590 § 1). « Chacun de leurs membres est tenu d'obéir au Pontife suprême comme à son supérieur le plus élevé, même en raison du lien sacré d'obéissance » (ibid., § 2). Ce sont là des normes de vie qui, embrassées et suivies avec foi, mènent les religieux bien au-delà d'une conception juridique des rapports existants