Populationnistes

l’enfant est de plus en plus valorisée et importante. 2) Evolution de la conception de l'enfant A) Au XVIIIème siècle Attention particulière des enfants Au XVIIIème siècle, dans les Etats européens, le développement d’un idéal populationniste relié à un contexte politique faisant naître des craintes de dépeuplement ont pour conséquence la naissance d’une attention particulière et soutenue à la santé des enfants. On assiste également à un phénomène de limitation des naissances. Parallèlement

pendant longtemps les économistes sont hostiles à l'idée d'avoir un grand nombre d'enfants et ce n'est qu'à la fin du siècle ou le poids démographique de la France diminue que certains penseurs vont se mettre à penser qu'il faut avoir une politique populationniste pour mettre en place l'armée de demain. IV / Les mobilités de la population A / L'urbanisation -jusqu'en 1850 les campagnes atteignent en France leur maximum démographique et c'est

de leur indépendance et ils connaissent une véritable explosion démographique dans les années 1950-1960. Très vite, la situation des P.E.D donne lieu à des débats qui reprennent les querelles européennes du XIXème siècle : ➥ Les théories anti-populationnistes reprennent la logique de Malthus : les néo-malthusiens appellent à une faible croissance démographique pour assurer le développement : - au niveau microéconomique : la baisse du nombre d’enfants par femme permet une amélioration du niveau de

bancaire -recherche de débouchés développement du transport maritime Le commerce extérieur a permis de stimuler la production. Il y a eu effectivement dans les faits un impact de cette ouverture commerciale. L’accroissement des villes, la politique populationniste a provoqué une hausse de la demande des produits alimentaires. On va chercher à acheter les dernières terres et à les clôturer et les exploiter. Développement de méthodes qui vont améliorer le rendement des terres. Le phénomène d’exode rural

de métaux précieux (jeu a somme nulle). (logique conflictuelle : ce que certains gagnent, d’autres le perdent); * En général il s’agit de conquérir des colonies (sources de richesses ou débouchés); * De plus les mercantilistes sont populationnistes car l’abondance de la main d’œuvre facilite la production pour des salaires bas (Un faible coût du travail empêche les travailleurs de se laisser aller à l’oisiveté). 2) Les différentes écoles mercantilistes : Le mercantilisme espagnole

réglementer les professions et pousser au travail. Pour cela, il préconise la création de manufactures, qui permettraient également de limiter l'importation de produits manufacturés. - Il s'attarde également sur le rôle de la population. Étant populationniste, il défend l'idée qu'une population importante est nécessaire au bon développement de l'industrie, le commerce, etc. Il recommande la mise en place de salaires bas (au niveau du minimum de subsistance), le travail des femmes et des enfants, et

l'extérieur comme un jeu à somme nulle (ce que gagnent les uns est égal à ce que perdent les autres) et développent donc une pensée protectionniste. Une pensée populiste • l'intervention de l'Etat en matière commerciale. Ils sont également populationnistes et l’Etat doit donc encourager l’accroissement de la population. • Jean Bodin (1530-1596) : « Il n'est de richesse ni de forces que d'hommes » (La République, 1576). • L'Angleterre adopte dès 1563 le statut des artisans qui repose sur trois

civilisation. Qu’est-ce que l’homme, comment prendre en compte les besoins physiologiques et les nécessités de la vie sociale ? Cette problématique est dissociée entre le discours du vieillard et celui d’Orou (dans lequel est prônée une doctrine populationniste, où le bonheur de l’espèce est supérieur à celui de l’individu) On pourra rapprocher de Rousseau : nécessité du social, et instauration de la loi. 2. Code social, code naturel, code religieux : Conformité ou discordance. Quelle est

de démographie et d’économie politique de Moheau et Montyon, qui apprend au souverain à accroître sa population (grâce à de bonnes lois sur le commerce, les impôts ou les héritages), se conclut par un programme à la fois environnemental et populationniste : le monarque doit gérer convenablement la nature de son royaume afin de multiplier et fortifier sa population [2]. En 1776, la monarchie fonde la Société Royale de Médecine pour guider sa politique médicoenvironnementale [3]. A sa demande, les

inquiète, elle est vue comme une "trappe malthusienne" qui absorbe les richesses, cercle vicieux de la démo. Lors de la conférence de Bucarest en 74, on insiste sur le fait que le dvpt passe par la maîtrise de la fécond. A l'inverse, des mvmts populationnistes apparaissent, qui insistent sur le fait que la croissance démo stimule la croissance éco (A. Sauvy). E. Boserup (Evolution agraire et pression démographique) parle de "pression créatrice": la pression démo va pousser au changement éco et au PT