Porno chic

de la stratégie du shockvertasing qui consiste à se nourrir de tabous de la société. La sexualité en fait partie, tout comme le racisme, la violence, la drogue, etc. La sexualité flagrante conduit à un dépassement transgressif selon l’auteur, au porno chic, se faire remarquer et créer un univers. Dans cette partie il y a également beaucoup de comparaisons, d’avis très partagés (surtout selon les pays et les religions). Nous, européens du nord, sommes habitués aux publicités de ce type et ne sommes

vendre. Le corps de la femme est alors utilisé comme un objet. Plus tard, pendant les années 90, on constate que ce genre de publicité devient de plus en plus choquant pour marquer davantage les esprits. Tout est permis. C’est la naissance du « porno chic ». De nos jours, la publicité met en scène des modèles féminins qui transmettent une certaine image de la société de consommation  actuelle. Elle essaie de montrer des femmes actives et modernes pour que la majorité des femmes de notre société

des corsets pour s’amincir la taille et faire ressortir la poitrine et les hanches. Au XXème siècle : Les critères de beauté ont beaucoup évolué au cours de ce siècle : dans les années 30, la mystérieuse Greta Garbo, dans les années 60, la femme chic comme Jacqueline Kennedy ou sexy comme Marilyn Monroe, puis dans les années 70, ce sera la femme frêle comme le mannequin Twiggy et enfin, dans les années 80-90, les fashion victims. A partir des années 60, dans cette société dominée par l'égo,

concernent ce stéréotype sont sûrement celles qui nous ont le plus interloquées. Plus tard, dans les années 1990, le sexisme revient, mais sous une autre forme. En effet, celui-ci est influencé par la tendance de l’époque, ce qu’on appelle le “porno-chic”. Une chose est sûre : Le sexe attire l’attention, ce qui ne peut être que bénéfique pour la notoriété d’une marque. Toutes les excuses sont bonnes pour montrer une femme plus ou moins nue, que le produit soit un gel douche, ou alors un parfum.

comme des manifestations de la passion amoureuse. C'est à la fin des années 90, qu'on voit apparaître une nouvelle vague publicitaire nommée "porno chic". Les grandes marques de parfum en profitent, elles n'ont aucune limite: soumission, machisme, sadomasochisme, fantasmes sont sous couvert de la créativité . Cette publicité de Tom Ford, grande marque du porno chic des années 90 et qui a fait renaître la marque Gucci, continue avec sa marque de fabrique qui choque. Dans toutes ses publicités il utilise

Introduction : La publicité est partout, les agences de communication travaillent toutes au même objectif : marquer nos esprits et sortir du lot. Par l’humour et son excellente mémorisation, par l’émotion, le désarroi, mais encore par le hard ou le porno-chic. Tout y passe, la nudité, la drogue, le racisme, la religion, le sida, il en faut de plus en plus pour nous choquer alors les publicitaires mettent le paquet. Benetton est un bon exemple d’utilisation du shockvertising, les premières campagnes

refusées car elles sont jugées trop violentes, trop trash voir trop gores. Des associations luttent contre le sexisme à travers la publicité. En effet, les marques de luxe tel que Dior ou Dolce and Gabbana par exemple, ont mis en avant un certain porno chic ou les modèles féminins sont sous la domination masculine. La publicité encourage aussi les jeunes filles à ressembler aux Top modèles et donc a perdre du poids, surveiller leur alimentation, ce qui engendre l’anorexie. La publicité est donc prête

champignon de fabriquer le champignon et de l’asseoir dessus, que de le faire à l’ordinateur. De même si on veut mettre une fille nue et un singe en plein Time Square... ». Ses influences vont de la peinture baroque au pop art, en passant par le porno chic (abondance de corps nus). De ses années de galère, au début des années 80, il a extrait son style : monter des situations, rendre la vie artificielle, soigner ses décors dans les moindres détails. Tout cela vise à mettre à distance une réalité trop

Ceci a lancé le porno chic, une mode qui a inquiété de nombreux groupes de femmes. Selon eux, ce type de publicité véhicule le stéréotype de la femme-objet et banalise la violence sexuelle en lui donnant une image glamour. Richard Poulin, professeur de sociologie à l’Université d’Ottawa et spécialiste de la pornographie, leur donne raison. Selon lui, la pornographie est profondément sexiste. « La chosification et la déshumanisation du corps féminin [propres à l’esthétique porno] ont pour effet de

employée est de se servir d’un concept émotionnel fort pour augmenter la mémorisation du produit par le consommateur. On distingue quatre procédés principaux. D’abord, l’utilisation du plaisir qui intègre la beauté et le sexe. On parle aujourd’hui de porno chic pour classifier cette méthode. Ensuite, l’humour qui provoque le rire, et permet une mémorisation très importante. De plus, il favorise le buzz marketing. Puis, le trouble qui se matérialise par un message provoquant une stimulation négative,