Porte de Pantin

de la Mort nous malmenant comme des pantins : « Plus encor que la Vie, La Mort nous tient souvent par des li-ens subtils. » On note ici la présence de l'adverbe « souvent » avant la césure et l'accent mis sur ce rapport forcé avec la mort par la diérèse « lien ». La place capitale de la Mort dans le poème est marqué par la majuscule qui fait de la Mort comme de la Vie des allégories, dont l'homme est le jouet. C.une expérience individuelle mais à portée universelle - Il répète la même

Sempiternel retour que l'emploi de l'imparfait souligne non seulement dans sa durée mais encore dans sa répétition : "elle remontait, fermait la porte, le garde-champêtre passait". Ces imparfaits d'habitude n'expriment pas une réalité seulement ponctuelle. Même le rythme des phrases est mis au service de cette impression : "Puis elle remontait /, fermait la porte /, étalait les charbons /", ou encore : "Tous les jours /, à la même heure /, le maître d'école /, en bonnet de soie noire /". On assiste, ensuite

agressivité ___________________________________________ 38 5 2) Prévention et éducation au niveau de la collectivité territoriale ___________________ 42 a. La prévention de la violence au cœur des politiques sportives municipales : exemple de la ville de Pantin __________________________________________________ 42 b. La pratique sportive dans les zones urbaines sensibles _______________________ 43 c. L’Agence pour l’Education par le Sport (APELS) __________________________ 44 d. « Initiative et partage »

Le sol est marron et l’ombre des chaises se reflètent dessus. L ’arrière plan est noir et un rideau vient «fermer» la scène à gauche. Il y a un décalage entre le «banal» de la situation (une partie de carte) et des joueurs représentés comme des pantins ridicules. Les personnages : L ’homme à droite : Il se tient de profil sur sa chaise et il lui manque certains de ses membres, comme ses jambes par exemple. Son nez est dissimulé sous un cache. Sa mâchoire est en fer, son bras est une prothèse

physique laissée par la guerre, à la fois par fierté et par devoir de mémoire. La laideur,jusque là cachée par la censure, a été récupérée par les discours officiels et les associations d’anciens combattants. Dix choisit de montrer ces soldats comme des pantins ridicules. II) Présentation de l’œuvre : III) Description de l’œuvre : Ce tableau nous présente une rue de Prague. On y voit des hommes diminués, porteurs de prothèses mécaniques, des cicatrices hideuses, des greffes

gracieuse personne est un livre d'or , il ne voit pas un brin d'herbe à terre, qu'il ne vous dise comment cela s'appelle en latin ; et quand il fait du vent ou qu'il pleut, il vous dit tout clairement pourquoi. Vous ouvririez des yeux grands comme la porte que voilà, de le voir dérouler un des parchemins qu'il a coloriés d'encres de toutes couleurs, de ses propres mains et sans rien en dire à personne. Enfin c'est un diamant fin des pieds à la tête, et voilà ce que je viens annoncer à M. le baron. Vous

par les dessins sous forme de pantin que l’on dirige aisément et qui n’a pas à réfléchir sur la nature et le sens de ses écrits. Le pot de peinture blanche représente l’encre du journaliste et le pinceau sa plume .Enfin chez Dame Anastasia les ciseaux opèrent elle représente la censure .Ces dessins témoignent de la disparition de l’esprit critique, de l’objectivité et de la sincérité du journaliste. Comme dans certains journaux ces dessins de caricatures ont une porté plus forte que les écrits.

surnaturel que présentait l’ensemble du personnage »(l.8-9).On voit donc dès les premiers instants le surnaturel du personnage mais aussi une idée d’immobilité qui lui donne un aspect de pantin . On a aussi le champs lexical de la mort « pâle, livide »(l.15), « mort »(l.17) « physionomie cadavéreuse »(l.27) qui porte à croire que le Colonel Chabert s’apparente plus à un fantôme qu’à un être humain. Il y a aussi les couleurs qui renforcent cette idée de mort avec « noir »(l.18) et « brune » (l.19)

remarque, Béalu signale une dissemblance qu'il concrétise grâce à cet humanisation des mannequins pour mieux la porter vers le lecteur. La prose est un style particulier de la poésie basée sur la gratuité, généralement elle n'a pas pour but une portée didactique, pourtant « Entre deux clins d’œil » ne peut pas être interprété autrement. Derrière l'aspect onirique Marcel Béalu semble mettre en place une critique de l'Homme, pas très poussé mais tout de même présent cet aspect semble être la traduction

En quoi ce film reprend-il un élément de la tragédie : l'impuissance des puissants ? Le film que nous étudions ici est L'exercice de l’État, un drame franco-belge réalisé et écrit par Pierre Schoeller et sorti le 26 octobre 2011, et porté par Olivier Gourmet dans le rôle de Bertrand Saint-Jean, ministre des transport et personnage « puissant » du film, Michel Blanc dans celui de Gilles, son directeur de cabinet, Zabou Breitman dans celui de Pauline, sa conseillère en communication, Laurent Stocker