Porto Venere

au marché des boissons alcoolisées, mettant en avant non plus la quantité et les valeurs « enivrantes » du vin mais la qualité gustative, et ce dans tous les pays d'Europe (aussi bien pour les vins de France, le Tokay, les vins à liqueur comme le Porto...). Cette recherche de qualité va permettre de distinguer les vignobles. Il conclut sur la défense de la qualité, une défense obligatoire pour répondre aux attentes des acheteurs, pour éviter tout simplement la débâcle dans les vignobles. Il propose

éblouir. Mais populace veut dire: pêle−mêle. Pêle−mêle populacier: là tout se mêle à tout, le saint et le filou, le hobereau et le juif, et toutes les bêtes de l'arche de Noé. Les bonnes moeurs! Chez nous tout est faux et pourri. Personne ne sait plus vénérer; c'est à cela précisément que nous voulons échapper. Ce sont des chiens friands et importuns, ils dorent les feuilles des palmiers. Le dégoût qui m'étouffe, parce que nous autres rois nous sommes devenus faux nous−mêmes, drapés et déguisés par le

héros traduisent un désir d’identification qu’ils essayeront par la suite de concrétiser dans leurs propres agissements. Un désir d’identification qui s’affirmera aussi, dans nombre de romans, à travers des noms d’emprunt inspirés par des héros vénérés. Comme l’explique Gustave Bimbou à partir d’« une tradition répandue dans la société congolaise » (38) et qui rejaillit, en fonction de différents phénomènes, dans le domaine littéraire : Tronquer son nom contre un pseudonyme est vécu comme une

sénile ose m'accuser publiquement de quoi que ce soit, un bataillon d'avocats l'écorchera vif, je n'ai strictement rien à me reprocher. Vous me croyez, j'espère ? L'invité de Sir Ashton prit un carafon en cristal et se servit un grand verre de porto qu'il but d'un trait. – Vous allez dire quelque chose, oui ou merde ? s'emporta Sir Ashton. – À choisir, je préférerais vous dire merde, au moins notre amitié n'en souffrirait que quelques jours, quelques semaines tout au plus. – Foutez-moi le camp

yeux ternes et étonnés, et des cheveux roux se tenant droits sur son front, qui lui donnaient toujours l'air effrayé, je vous apporte, avec les compliments d'usage, madame, une bouteille de Sherry, et je vous apporte aussi, madame, une bouteille de porto.» Chaque année, à Noël, il se présentait comme une grande nouveauté, avec les mêmes paroles exactement, et portant ses deux bouteilles comme deux sonnettes muettes. De même, chaque année à la Noël, Mrs Joe répliquait comme elle le faisait ce jour-là

énigmatique. On y a tous réfléchi pendant un moment en secouant la tête, époustouflés par la sagesse de ce qu’il avait dit. Il nous a vendu un livre. Dimanche Suis allé à la messe. C’était un peu décevant. Ça manquait de peps. Après, j’ai essayé de vénérer un tronc d’arbre qui rappelait le visage du Padre Pio. Avec ça, ça devrait marcher. En fin de compte, quand on y pense, la tradition, on ne fait pas mieux. Patrick Freyne Dessin de Ruben, Pays-Bas. nos héros défunts vont pleurer des larmes amères

sportive n’hésitent pas à occuper le devant de la scène médiatique pour prévenir une éventuelle crise et détourner l’attention des médias sur un objectif bien précis plutôt que sur ses sportifs. L’attitude de José Mourinho, l’ancien entraîneur de Porto, de Chelsea et de l’Inter Milan, vis-à-vis des médias résume parfaitement la situation : le Portugais est toujours en mesure de braquer le projecteur médiatique sur sa personne, quelques soient les actualités sportive et extra-sportive. Aujourd’hui

moustiers, et là, m'irrorant de belle eau lustrale, grignotte d'un transon de quelque missique précation de nos sacrificules, et, submirmillant mes précules — élue et absterge mon anime de ses inquinaments nocturnes. Je révère les olympicoles. Je vénère latrialement le supernel astripotent. Je dilige et rédame mes proximes. Je serve les prescrits décalogiques, et selon la facultatule de mes vires, n'en discède le late unguicule. Bien est vériforme qu'à cause que Mammone ne supergurgite goutte en

heures du soir. » ; « et ça va finir le lendemain à cinq heures de l’après-midi ». Puis, un carton4 est introduit à l’iris5, donnant des informations sur l’épisode de l’acte -- « Madame Georges Valandray sera chez elle le mardi 20 octobre. Thé, porto, bridge » pour le premier acte, et « M. et Mme Georges Valandray seraient heureux de vous recevoir le vendredi 30 octobre de neuf heures à minuit. Au cours de la soirée un extrait de la nouvelle oeuvre de Charlei Brunner « Ame 1 Fondu : cet effet

littéraire du Seigneur (philosophique, historique, métaphysique, religieuse), poussé par son aversion, Driss fait pivoter le premier panneau et met à jour un immense bar où se côtoient des alcools du monde entier : « Vermouth, Martini, saint Raphaël, Porto, Cognac, Chablis, Bourgogne,1 etc. ». Son sens de l’observation est à l’origine de cette découverte, la poussière ( cette sainteté poussiéreuse »2 ) est pour lui un indice, il « a pris conscience du subterfuge et a alors pu mener plus avant son enquête