Portrait de Baldassare Castiglione

Propriétaire Propriété de l'État français, affecté à la collection du Département des peintures du Louvre. Protégé au titre de bien d'un musée de France. Commentaire INV 779 modifier La Joconde, ou Portrait de Mona Lisa, est un tableau de Léonard de Vinci, réalisé entre 1503 et 1506, qui représente un portrait mi-corps, probablement celui de la florentine Lisa Gherardini, épouse de Francesco del Giocondo. Acquise par François Ier, cette peinture à l'huile sur panneau de bois de peuplier de 77 × 53 cm

augmente d’autant le crédit allégué à une parole qui en dénonce les artifices – l’organisation interne du sonnet est plus originale : non seulement la cascade des infinitifs directs sans substantif esquisse, par une sorte de montage serré, un portrait-emblème du courtisan romain mais invite aussi à un autre voyage italien (Abrougui), sous les auspices du poète italien Francesco Berni (1497- 1536). Ce patron textuel singulier emprunté non à Pétrarque mais à Berni permet de dérouler les séquences

mise au point dans les cours italiennes paraissent de même un modèle pour les cours, aux moeurs plus rudes, des royaumes ou principautés du reste de l’Europe ; cette diffusion se fait, entre autres, par l’intermédiaire du « Cortegiano » de Baldassare Castiglione (1528), traduit en de multiples langues, bientôt plagié et transformé : son traducteur polonais n’hésite pas à en transposer la scène à la cour de Cracovie ! 8 4° Une avance dans le domaine artistique Les arts pratiqués dans les villes

Selon la tradition qui veut que ce soit l’apprenti qui prenne la pose[5], Léonard aurait servi de modèle à la statue en bronze de David de Verrocchio. Il est également supposé que l’Archange Raphaël dans l’œuvre Tobie et l’Ange de Verrocchio est le portrait de Léonard[5]. En 1472, à l’âge de 20 ans, il est enregistré dans le « Livre rouge » de la guilde de saint Luc, célèbre guilde des artistes peintres et des docteurs en médecine de Florence, le Campagnia de Pittori. Il y a quelques traces de cette

la philosophie, elle est aussi visible dans le domaine artistique. ! ! ! L'essor de l'art et de l'urbanisme. ! Beaucoup de personnages vont se rendre à Amsterdam pour acheter de grands tableaux comme c'est le cas du célèbre portrait de Baldassare Castiglione peint par Raphaël et acheté par un émissaire de Louis XIV. Rembrandt, Autoportrait, 1660. Une tourbière est une zone humide caractérisée par l'accumulation progressive de la tourbe, un sol caractérisé par sa très forte teneur en

moeurs  » est un terme inventé par un historien connu Norbert Elias. Il dit par cette notion viens de « civilité », cad l’art de bien se comporter en société. Bientôt ce mot va s’approprié à l’urbanisation. Le théoricien de cette civilité est Baldassare Castiglione, qui publie un Manuel du parfait courtisant. Ce livre sera traduit en plusieurs langues. Dès 1528, il est traduit en français et les rois s’en inspirent (livre de chevet). Le traité de civilité puérile écrit par Erasme, dans lequel il apprend

trop épais. Ce tableau exige 12 années de travail > Ils font disparaître toutes les traces de pinceau et donc de l'artiste. 1. Le contrat pictural des époux Arnolfini 1434 Chez soi presque pas de tableaux : Il est rare et réservé à la noblesse. Le portrait est un témoignage de la haute fonction d'un personnage. MAIS, des hommes de petite envergure s'y mettent aussi → Polémique, puis on admet qu'un bourgeois qui sert la cour le puisse, le droit à la mémoire publique. On va se concentrer sur la qualité

Rome, Castiglione se fiance à la superficielle et coléreuse Alessandra, une nièce du duc Di Broglio. Il trahit ainsi l’orpheline Lalage à laquelle il avait promis de s’unir. Sa jalousie est ainsi suscitée. Or elle rencontre Politien qui, en dépit de ce qu’il sait et de ce qu’il a vu, l’aime pour sa beauté et ses malheurs. Comme il veut préserver la gloire de son nom, elle le convainc de la venger de Castiglione qui doit se marier la semaine suivante. Politien le défie en duel ; mais Castiglione tombe

du tableau. La vierge a tout d’une jeune femme italienne, ses traits sont gracieux, elle porte des bijoux, et même si elle joint les mains en signe de prière, elle a une expression toute maternelle (on pourra comparer l’expression de ses traits au portrait de jeune femme située page 80 – ou page 78 pour le manuel ES/S et Techno – datant de la même époque et beaucoup plus figé). Sa robe bleue, symbole du céleste ou de virginité s’intègre parfaitement aux couleurs douces du tableau. Les codes religieux

procédés qui seront durablement ceux du genre romanesque : l'action narrative à proprement parler y est de plus en plus fréquemment interrompue par diverses digressions, qui créent une durée et une temporalité propres au roman. De longues descriptions (portraits de femmes ou descriptions de ville), dilatent la narration : elles ont une fonction esthétique et sont parfois l'occasion de somptueuses inventions langagières, mais elles ont également une fonction didactique, en permettant au clerc de transmettre