Portrait De Condorcet

prépare dans les esprits dès l'été 1791, au lendemain de la fuite de Varennes. → club des cordeliers exige une proclamation de la République que l'Assemblée nationale refuse. Début juillet 1791 : parution du journal Le Républicain à l'initiative de Condorcet. → Thomas Paine y défend l'idée que la République est le meilleur gouvernement possible. Brissot pose la question dans Le Patriote français : « républicain et citoyen libre ne sont-ils pas deux choses inséparables ? ». → introduction du terme

principale est Institutions de Physique, Discours sur le bonheur, traduction en français des Principia de Newton Chénier : (1762-1794) Poète français considéré comme le précurseur des poètes romantiques. Son œuvre principale est Élégies (1819) Condorcet : (1743-1794) Philosophe, mathématicien et homme politique français. Son œuvre principale est Esquisse d'un tableau historique des progrès de l'esprit humain (1795) Crébillon fils : (1707-1777) Écrivain français. Son œuvre principale est La Sopha

révolution française, idée que peuple qui peut faire l’histoire et non pas Dieu, va marquer toute la philo également avec des philosophies de l’histoire. Précurseurs au XVIII : Kant déjà qui parle de progrès de l’histoire, vers la paix perpétuelle, et Condorcet. XIX : philo de l’histoire et du progrès, avec toute une idéologie du progrès avec Hegel  philo de l’idéalisme dialectique, et Marx va s’inspirer de Hegel et va être à la fois dans la dialectique, faire un matérialisme dialectique. Marche de la

connaissance, ne cite la fillette en question dans le célèbre roman-fleuve de Gottfried Keller: La petite fille a existé. Elle est sortie du livre Henri le Vert de Gottfried Keller qui avait en- tendu parler d’elle dans son enfance, avait vu son portrait à l’huile assombri et retrouvé le journal de l’ecclésiastique, repris ici5. Dans le récit de Corinna Bille, il sera question, à plusieurs reprises, de ce tableau commandé à un peintre par les parents de la petite fille. La toile peinte a toutes

l’éclaire à travers la Fenêtre. Elle est destinée par La Sagesse a devenir une femme réfléchie, sensée et avisée comme l’est sa mère. De plus, L’éducation permet de s’affranchir de l’Etat de Tutelle et comme beaucoup d’autres Précurseurs, Condorcet et Rousseau préconisent dans des ouvrages comme « Emile ou de L’éducation » ou encore « Mémoire sur l’instruction publiques » l'institution d'écoles publiques, accessibles à tous, et indépendantes du pouvoir religieux. L’Utopie du Bonheur Laïque

préparer des mariages. Le baron de Staël met sept ans à obtenir la main de Germaine Necker. Mlle Quinault sert d'entremetteuse pour réussir à marier Helvétius à la nièce de Mme de Graffigny. Les relations amoureuses extraconjugales sont nombreuses. Condorcet fréquente le salon de Julie de Lespinasse pour draguer Mlle de Meulan. On est là au cœur de la mondanité. De même qu'avec les spectacles qu'on donne. On se passionne pour le théâtre. Dès 1732 le Mercure de France affirme qu'il en existe plus de

La Bruyère (1645-1696) Cet avocat et trésorier a laissé des œuvres se rattachant à la littérature morale et mondaine. Ainsi « Les Caractères ou moeurs de ce siècle », oeuvre publiée en 1688 est un mélange de portraits et de maximes qui sont des observations sur la vie humaines. Ces portraits sont la partie populaire du livre. Il y dépeint satiriquement les dispositions morales de ses personnages et leurs attitudes physiques. Dans plusieurs chapitres de cette œuvre , La Bruyère critique ses contemporains

non écrite sur laquelle on écrit l’adresse approximative du destinataire et sur laquelle on appose un cachet de cire. Mise en abyme : on trouve à l’intérieur du roman un débat sur le genre épistolaire. Valmont et Danceny défendent la lettre (« portrait de l’âme » pour Danceny, lettre 150), moyen de séduire pour Valmont (lettres 34, 70). Madame de Merteuil, au contraire, estime que la lettre ne touche pas les cœurs à distance, préfère les rencontres directes. Madame de Merteuil doute, en fait, qu’il

 Roman en deux parties Première partie (chap. 1-10): Le texte débute sur une description au présent de la cité de Monthiers qui se trouve en face du lycée Condorcet et où les élèves se rendent pendant les grandes pauses (à 10.30 et à 16 heures). Leurs jeux sont qualifiés de brutaux. C'est un soir d'hiver, et les élèves de la cinquième s'y rendent pour faire une bataille de boules de neige. Un élève pâle, un peu claudiquant (Paul) se rend dans la cour de la cité pour s'approcher de Pierre Dargelos

son Mémoire pour la liberté de la presse: «On n’a pas osé autoriser publiquement un livre, et où cependant on a senti qu’il ne serait pas possible de le défendre». Les permissions tacites accueillent des oeuvres nouvelles, celles d’Helvétius, de Condorcet, de Mirabeau ou encore La Nouvelle Héloïse de Rousseau. Elles sont accordées également aux oeuvres déjà largement répandues par la clandestinité, comme Les Lettres persanes de Montesquieu, publiées anonymement en 1721 à Amsterdam. C'est une solution