Portrait De Etienne Lantier

exemple, Dephine et Corinne de Mme de Staël, qui constituaient de pâles imitations de La Nouvelle Héloïse ou de Werther. Il montre des âmes sensibless en proie au vertige des passions, mais fidèles aux impératifs du devoir (=> leçons de morale). Portrait des héros : Ils ne sont que des "silhouettes aimables", dépourvus de vie vraie, il est incinsistant et désincarné. Le décor de leurs amours sont les plus belles villes d'Europe et les héros appartiennent à l'aristocratie. Le monde dans lequel se

l’autre. L’extrait étudié se situe dans la deuxième moitié du roman qui raconte l’histoire de Gervaise Macquart, mariée au couvreur Coupeau après avoir eu deux enfants avec Lantier. Elle est en même temps courtisée par Goujet, un ouvrier forgeron qui l’aime d’un amour platonique. Dans le passage, elle vient chercher son fils Etienne, apprenti dans la forge où travaille Goujet, dont le surnom est Gueule-d’Or. Ce dernier se livre devant Gervaise à un duel avec un autre ouvrier, surnommé Bec-Salé, dans

intéressants. UNITÉ 2 C'EST DANS L'AIR « C’est dans l’air » signifie que quelque chose est dans l’air du temps, à la mode. Le thème : la mode. La citation de Oscar Wilde auteur irlandais. Dans la préface de son ouvrage le plus célèbre, Le Portrait de Dorian Gray. Cette phrase peut être interprétée de deux manières différentes : soit on vit dans la certitude, peut-être illusoire, de suivre les critères de la mode considérant que les autres sont en retard par rapport à ces critères ; soit

s’inscrivent dans l’environnement. A la description de lieu, suive celles des personnages : les portraits balzaciens sont minutieux, influencé par la physiognomonie et par la doctrine élaborée. Balzac voit une relation entre le traits physiques et les traits de caractères. Cette croyance explique les nombreux détails de ses descriptions physiques, puisqu’ils éclaircissent la psychologie des personnages. Dans ses portraits il donne importance à la manière de s’habiller, en effet à son époque l’apparence est

narrateur. La fin du film nous donnera l'explication de la destruction du manoir. Pour aborder la question du narrateur, on pourrait aussi évoquer sur un mode voisin le film d’Otto Preminger Laura (1944): après le générique montrant un décor avec un portrait de femme à l'arrière plan, le film s'ouvre curieusement sur un fond noir avant même de nous montrer des images, sur lequel une voix — que nous identifions vite comme celle d'un personnage de l'histoire — Waldo Lydecker, intervient ; il semble alors

Paris, ne faisant rien, n’ayant pas de ressources, sollicitant des emprunts, contractant des dettes, abandonnant des meubles et des objets au mont-de-pièté sous la griffe du besoin, n’ayant devant lui aucun avenir. Il logea seul 24 rue Neuve-Saint-Étienne-du-Mont puis dans un hôtel meublé sordide 11 rue Soufflot où il rencontra une fille galante, Berthe, avec laquelle il fit «l'expérience de l'amour réel», tandis qu’il composait des contes de fées et des centaines de vers imités de Musset, dans lesquels

2. LE PERSONNAGE La désignation du personnage L’auteur apporte en général plusieurs informations qui constituent une carte d’identité du personnage : il est doté d’un état civil (nom, prénom, âge…). • L’auteur dresse généralement un portrait physique, moral, psychologique qui donne des indications précieuses pour la suite de l’action. Madame Grandet était une femme sèche et maigre, jaune comme un coing, gauche, lente ; une de ces femmes qui semblent être faites pour être tyrannisées

condamnation (pour immoralité ou irréligion), mais cela offre également la possibilité de faire entrer plus facilement le lecteur dans un univers dont il pense qu’il est « vrai ». En outre, le roman a autant de narrateurs qu’il y a xviiie  Portrait de Montesquieu, 1728 (Musée national du château de Versailles). de personnages écrivant les lettres. De ce fait, des points de vue divergents sur un même épisode se confrontent, et le lecteur a le plaisir de saisir les incompréhensions, de

certains points communs se dégagent : la narration d’épisodes centrés autour de personnages que le lecteur suit dans leur parcours ; une prose au service de l’action et de la peinture des sentiments. xviiie Portrait de Montesquieu, 1728 (Musée national du château de Versailles). Portrait de Jean-Jacques rousseau par Alain ramsay, 1766. siècle : du roman pastoral au roman d’analyse Avec la Renaissance, les divertissements de Cour, les modes et les comportements se transforment : les spectacles

condamnation (pour immoralité ou irréligion), mais cela offre également la possibilité de faire entrer plus facilement le lecteur dans un univers dont il pense qu’il est « vrai ». En outre, le roman a autant de narrateurs qu’il y a xviiie  Portrait de Montesquieu, 1728 (Musée national du château de Versailles). de personnages écrivant les lettres. De ce fait, des points de vue divergents sur un même épisode se confrontent, et le lecteur a le plaisir de saisir les incompréhensions, de