Portrait De Monsieur Poiret

d’analyse se concentre tout particulièrement sur l’intériorité des personnages pour étudier leurs conduites et leurs émotions. Il invite à considérer de près l’imbrication des discours, la manière dont sont rapportées les paroles ou les pensées, l’art du portrait et l’utilisation du vocabulaire des sentiments. Le récit des événements comme la peinture du monde extérieur y sont au service d’une exploration psychologique, qu’il convient d’étudier dans ses subtilités avec les élèves, en veillant à distinguer

extrait) — L’exposition du roman (« Une pension bourgeoise ») — Rastignac chez le Père Goriot (« L’entrée dans le monde », extrait) Ensemble du roman II. Le personnage, image du réel — La description — Description de la pension — Le portrait Vauquer — Portrait de Mme Vauquer (« Une pension bourgeoise », extraits) Le roman psychologique et l’analyse des sentiments Balzac sociologue et historien Les amours ambiguës de Rastignac et Delphine (« L’entrée dans le monde », extrait) Le père Goriot vu

changement dans la structure sociale influe aussi bien sur le sujet que sur les modalités de l’expréssion artistique. Au XIX sc, à l’ère de la machine et du capitalisme moderne, on vit se modifier non seulement le caractère des visages dans les portraits, mais aussi la technique de l’œuvre d’art. Celle-ci commença à transformer les modes d’expréssion d’une manière inconnue jusqu’alors. C’est ainsi qu’apparaissent, avec le progrès mécanique, une série de procédés qui devaient avoir une portée considérable

Brigitte Bardot. Pour sa prestation, elle avait d'ailleurs remporté un BAFTA en 1967. Losey a aussi fait de nouveau appel à elle pour Monsieur Klein et La Truite. Encouragée par Orson Welles, elle passe à la réalisation avec Lumière en 1976 et L'Adolescente en 1979. Jean-Pierre Mocky révèle ses talents comiques dans Le Miraculé avec Michel Serrault et Jean Poiret et l'adaptation de Frédéric Dard par Laurent Heynemann : La Vieille qui marchait dans la mer, lui vaut le César de la meilleure actrice

rue Neuve-Sainte Geneviève, la maison Vauquer (du nom de sa tenancière), se côtoient des pensionnaires et des habitués du quartier qui ne viennent y prendre que le dîner . Ils ont pour nom Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac et le père Goriot. Quelques personnages émergent de ce groupe de pensionnaires falots : Vautrin, mystérieux pensionnaire d'une quarantaine d'années qui se fait passer pour un ancien commerçant; Eugène de

riche veuve et fille de Madame Argante Dorante, neveu de Monsieur Rémi Monsieur Rémi, procureur et oncle de Dorante Madame Argante, mère d’Araminte Arlequin, valet d’Araminte – qui deviendra au cours de la pièce le valet de Dorante Dubois, ancien valet de Dorante et valet actuel d’Araminte Marton, suivante d’Araminte Le Comte, prétendant d’Araminte Un domestique, Un garçon joaillier 3. L’histoire Présenté par son oncle Monsieur Rémi, Dorante, jeune homme désargenté, vient comme intendant

l'Est et Châtelet. 1 Les Fausses Confidences de Marivaux mise en scène Didier Bezace avec Pierre Arditi Alexandre Aubry Christian Bouillette Jean-Yves Chatelais Anouk Grinberg Robert Plagnol Isabelle Sadoyan Marie Vialle Dubois Arlequin Monsieur Rémi Le Comte Araminte Dorante Mme Argante Marton collaboration artistique Laurent Caillon assistante à la mise en scène Dyssia Loubatière scénographie Jean Haas lumières Dominique Fortin costumes Cidalia Da Costa perruques et maquillages Cécile

«Eugène de Rastignac avait un visage… de tous les sentiments »(Approche linéaire) | Connaître le rôle de la description dans un roman réaliste | Identifier les procédés descriptifs | Activité de production écrite | 1H | Rédiger un portrait | Décrire une personne. | Esquisser par écrit les traits physiques et moraux d’une personne  | Séquence 2 Compétences : Reconnaître les techniques de la description et ses fonctions dans le roman réaliste. Capacités : Identifier les

à la fois le double et le négatif du second personnage, le baron de Nucingen, qui a construit sa fortune colossale sur le jeu en Bourse et souvent sur le malheur d’autrui. Un demi-siècle plus tard, dans Le Joueur, Dostoïevski peint les portraits de deux personnages contrastés et truculents. Mademoiselle Blanche, une femme de mœurs légères, tient sous sa griffe le général, et tous les hommes à qui elle prête de l’argent pour jouer à la roulette. Inversement, la grand-mère, qui apparaît d’abord

conventions esthétiques et à l’inverse son inclination pour les jeux verbaux populaires. Avec les calembours, qui le traite de manière décapante, le langage se trouve rajeuni. Et plus récemment nous nous référerons à La minute nécessaire de Monsieur Cyclopède où Pierre Desproges n’hésite pas à les accumuler : - " Liliane d’Homère Sharif - Comment distinguer une gardienne d’immeuble d’un oléoduc ? Le pipe-line s’appelle Paulette et la pipelette s’appelle Pauline - Apprenons à reconnaître