Portrait De Quasimodo

Présentation orale : Victor Hugo Musique Notre dame de Paris (déchire mon portrait) François : Citoyens, peuple de Paris, je suis Quasimodo, le sonneur de cloche, tout droit sorti d’entre les lignes, celui que vous attendez tous est enfin de retour d’exil de Guernesey après 19 ans d’absence. Oui cher patrie, mon auteur celui qui a du fuir suite au coup d’Etat mené par Napoléon et s’exilé est revenu et vous a donné rendez vous ici sur le parvis de la cathédrale NOTRE DAME, lieu hautement symbolique

le lecteur. Victor Hugo, lui, dans Notre-Dame de Paris, fait d’un lieu (la cathédrale Notre-Dame) le centre de son roman, qu’il choisit de situer à la fin du moyen-âge => La cathédrale est la vedette de ce roman et relègue presque au second plan Quasimodo. Malraux, dans La condition humaine, dépayse son lecteur par le cadre oriental qu’il choisit, et situe son histoire pendant la révolution communiste chinoise, ce qui sensibilise le lecteur au contenu historique de ce roman (à son contenu purement

siècle, et a comme lieu principale la cathédrale Notre- Dame de Paris . L'histoire raconte celle de Frollo (un prêtre) et Quasimodo qui aiment Esméralda, mais celle-ci préfère le beau capitaine Phoebus. Frollo poignarde alors Phoebus,et, pour se venger de l’Égyptienne qui l’a repoussé, il la fait accuser. Sur le parvis de Notre-Dame, elle est condamnée à être pendue. Mais Quasimodo l’enlève et l'emporte dans la cathédrale. Là, le droit d'asile est sacré. Cette extrait nous montre bien là que l'auteur

les découvertes ont déjà été faites par les générations précédentes ainsi que les guerres et les tentatives de changements politiques. Le « mal du siècle » traduit donc le sentiment désespéré de cette génération qui ne croit plus en l'avenir. Portrait d'un héros romantique : Le héros romantique est un héros dominé par le malheur et la mélancolie auquel son destin échappe. Il est rongé par le désespoir, l'ennui et montre son refus du monde qui l'entoure. Il se révolte contre les normes bourgeoises

héroïcomique mais grotesque car il s’agit moins ici du rapport avec les modèles que d’une opposition frontale avec le Sublime. De plus, le grotesque inclut plus fortement l’ambivalence : coprésence du rire et d’un sentiment incompatible avec le rire (cf Quasimodo). - La parodie du Pyrame et Thisbée : le rire se retourne en émotion « sanglot », c) Mais également pathétique, dimension souvent occultée par le metteur en scène, cf définition freudienne de l’humour (on se refuse à la souffrance, on souligne

étudiera la composition de la nouvelle. Ce passage contient une dramatisation. Le Gueux vit dans un cadre étriqué duquel il ne peut jamais échapper. En outre, la mort du Gueux est déjà annoncée. La deuxième partie s’efforcera de révéler le portrait du Gueux. Son état de santé, son physique et ses capacités intellectuelles prouvent qu’il s’agit d’un marginal par excellence, qui n’avait jamais eu une chance réelle dans la vie. La dernière partie s’attachera à montrer que la société est

terre Découverte d’un monde inconnu nt exempl e /Ex: Tolkien, Le Seigneur des anneaux / anneau magique qui rend invisible commenté B. Certains personnages très « singuliers » / par leur physique, exception sociale, intellectuelle ou morale Ex: Quasimodo dans ND de Paris, Hugo / Ex: Vautrin dans Le Père Goriot de Balzac Bosse / génie du mal: Vautrin C. Dimension héroïque de la vie des hommes/ personnages comme des modèles Le duc de Nemours ou la Princesse de Clèves/ Kyo dans La Condition humaine

os, un gros nez, un gros front, de gros yeux… » (Honoré de BALZAC, Eugénie Grandet .) Cette phrase dresse un portrait caricaturé d’Eugénie dans le but de se moquer d’elle. c/ l’hyperbole consiste à exagérer fortement la réalité de façon à frapper l’imagination. Ex : Je meurs de faim. (La personne qui parle a très faim

de l’intérieur ». Reste la grimace, rictus du monstre, entre douleur et rire, porteuse de toutes les misères humaines. Hugo, épris des contraires, affectionne les laids au cœur tendre, confrontés à la beauté faite femme. Ce sont les couples de Quasimodo et Esméralda, Gwynplaine et Déa, qui démontrent que le monstre est rarement celui qu’il semble être : le masque torturé du bossu de Notre-Dame ou de l’Hommequi-rit cache une grande âme tourmentée. La forme hugolienne, ce n’est pas la perfection de

personnages repoussants qui fascinent Certains personnages peuvent être laids, voire monstrueux physiquement. Victor Hugo, au nom de son idéal romantique, veut faire une place au « grotesque » à côté du « sublime ». C'est ainsi qu'il crée le personnage de Quasimodo dans Notre-Dame de Paris, le sonneur de cloches, bossu, borgne, sourd et boiteux, qui a été abandonné par ses parents à cause de sa difformité : « La grimace était son visage. Ou plutôt toute sa personne était une grimace. » Or Hugo parle de sa « grimace