Portrait De Vauquer

2012 Question sur Corpus: Le corpus proposé est composé de trois textes. Le texte A, extrait du roman Le père Goriot de Balzac a été écrit en 1835. Dans cette extrait, Jacques Collin dit Trompe-la-mort qui se cache dans la pension de Mme Vauquer sous un faux nom (Vautrin) est repéré par un officier de police. Le texte B, extrait de La cousine Bette, a également été écrit par Balzac en 1846. Cet extrait nous présente la mort d'Adeline Hulot après qu'elle ait appris que le baron la trompait

insistent sur sa vertu : « brave et honnête » n’a jamais nui ni fait de mal ;. On peut noter aussi qu’avec la tournure symétrique (jamais/jamais) et les négations ne jamais/ personne), Balzac insiste sur le faible poids de Goriot sur cette terre. Ce portrait est ailleurs renforcé par les désignations de « pauvre homme », de « bonhomme ». Commentaire : Au début du roman, le Père Goriot était apparu « chargé », accompagné  de tous ses objets et de ses biens, dans la pension minutieusement

faire le portrait du héro avec des symbole : épervier et Napoléon d’un côté, image favorisante ; de l’autre côté le paon, image dévalorisante Conclusion : Les deux textes ont beaucoup de point communs : ils sont plutôt réalistes est décrivent la société contemporaine à travers le portrait d’un jeune homme ambitieux. Mais on observe des nuances : les modalités de la narration sont différentes et il est plus difficile de s’identifier à Gil Blasme car l’écrivain Lesage de brosse pas le portrait d’un

(durée du récit) Temps de la fiction : de quand à quand pour les évènements / personnagesTemps de la narration : lignes et pages (Novembre 1819 - Début février 1920)2- Vitesse narrativeVOIR SCHÉMA COURSPause : passé des personnages / descriptions et portraits ( page 179 – rideaux)Scène : dialogues / discours Dans le Père Goriot , le plus utilisé est la scène alors qu’au théâtre ce sont les ellipses. II- Ordre de la narrationVOIR SCHÉMA COURS1- Ordre chronologique

l’ambition » et qui lui sont profitables. (d’abord Eugène de Rastignac, puis Lucien de Rubempré). Honoré de Balzac se serait inspiré d’Eugène-François Vidocq pour créer ce personnage (ancien bagnard, voleur et escroc) I. Portrait 1) Physique Vautrin, l'homme de quarante ans, à favoris peints, servait de transition. Il était un de ces gens dont le peuple dit: Voilà un fameux gaillard! Il avait les épaules larges

de la société à travers les classes sociales grâces à la mise en scène de plusieurs personnages qui peuvent éclairer les rapports entre les couches sociale ou plus largement le fonctionnement de la société. C’est par exemple le cas dans la pension Vauquer où cohabitent les différentes classes sociales dans Le Père Goriot de Balzac De plus la lecture des romans est plus attractive pour le lecteur en effet tout d’abord les différents moyens mis en œuvre captive le lecteur. Premièrement le romancier

maisons, faisait parler les gens et observait les coutumes. Maurois dit qu’ « [u]n romancier peut et doit intervenir, mais à partir d’un fond de vérité. » Il constate que Balzac ne jugeait pas les personnes qu’il rencontrait mais il peignait leurs portraits (Maurois 136). Il paraît que plusieurs personnes dans les parages de Balzac ont servi de modèles aux personnages dans les divers romans. Ce que Balzac décrit et l’image qu’il donne vient de son propre expérience de Paris, des provinces qu’il a visitées

Gide déteste les descriptions et préfère faire parler son personnage pour éviter la technique du portrait. « Parle, afin que je te voie ! » Meursault, dans l’Etranger de Camus, se révèle plutôt par ses attitudes et ses actions que par sa description physique. Le lecteur a alors pour tâche d’interpréter un comportement, d’en déduire une personnalité. Ce procédé est souvent complémentaire, indirect du portrait du personnage .  Balzac met l’accent sur la recomposition que le romancier doit opérer à partir

Exemple : Balzac cherche à dresser un portrait des mœurs d’une société entière à travers quelques personnages dont les traits sont grossis à l’extrême. Le Père Goriot est ainsi un protagoniste tout entier conçu pour la démonstration des ravages de la passion. Par cet effet de sélection et d’amplification, le lecteur doit avoir le sentiment de pouvoir appréhender le réel dans son essence, d’englober le monde dans son intégralité. Citation : Peinture de la Pension Vauquer « Une réunion semblable devait

isolée, solitaire, misérable, d’un pers bn. III. De l’art de conclure : le paradoxe d’une fin ouverte. A. Une fin sous le signe de la rupture et de l’ouverture vers l’avenir. - La fin comme tremplin vers une autre plénitude espéré: de la pension Vauquer à l’air parisien, de l’adolescence à l’âge adulte, de la dépression à l’age adulte, de la dépression à l’exaltation. - Dernière phrase : projeter dans la suite de la destinée d’Eugène « et » > élan et tourne vers le futur la phrase. - Emprunt des